Les Gardiens Tome 1 ( Le seigneur des anneaux: la communauté de l'anneau)

Chapitre 4

Pdv Elerinna

Nous marchions depuis une bonne heure, la neige nous ralentie, les hobbits et Gimli ont de plus en plus de mal à marcher et la pente se fait plus raide. Isíl se plaint et nous rappel que nous les elfes avons de la chance, nous ne sentons pas le froid ni la fatigue. Tuor lui a gentiment demander d'arrêter de se plaindre. Bien qu'ils ne soit pas entièrement des elfes, tous deux avait herité pesque de toutes les capcités d'un elfe. Je m'explique, elle se plaint du froid mais elle le sent à peine, et contrairement a un elfe elle se fatigue plus vite mais moins qu'un homme ou un nain. Isíl allait encore se plaindre mais en voyant le regard noir de Tínûvíel elle se tue. Nous continuons notre marche sans pose, et dans le silence complet cette fois si. Legolas est en tête de file suivit par Gandalf, Tuor et Isíl, Gimli est juste derrière eux avec trois des hobbits, Boromir et moi les aidons à avancer. Aragorn et Tínûvíel reste à l'arrière avec Frodon. Ce dernier tellement fatigué tombe et roule dans la neige, le rodeur le rattrappe avant qu'il ne devale toute la montagne. Frodon se releve et la gardienne de la porte ouest lui retire la neige qui se trouve sur lui. Le petit hobbit s'agite et semble chercher quelque chose, du coin de l'oeil je vois Boromir ramacer l'anneau. Instinctivement Aragorn, Tínûvíel et moi mettons la main sur le pommeau de nos épées.

<Boromir ! Lui ordonna Aragorn>

L'homme du Gondor ne sembla pas l'entendre, on aurait dit qu'il était dans un autre monde. Il resta la à fixer l'anneau.

<C'est une étrange fatalité que nous devions éprouver tant de peur et de doute pour une si petite chose, une si petite chose !

- Boromir ! Rendez l'Anneau à Frodon ! Retenta Aragorn.

- A vos ordres !...Je n'en ai cure ! >

Il donna l'anneau à Frodon, et lui secoue les cheveux. Il passe devant moi. Nous reprennons notre acention. Tínûvíel, le rodeur et moi restions derrière pour surveiller le fils de l'intendant.

***

Voila plus de trois heures que nous marchons, Tuor, Aragorn et Boromir portent les hobbits, Gandalf ouvre un passage dans la neige, Isíl le suit de près. Mon époux, Tínûvíel et moi marchons tranquillement sur le côtés, grâce à nos facultées d'elfe nous ne nous enfonçons pas dans la neige. Quand à Gimli, c'est à peine si on voit sa tête depasser, il tient les rênes du poney pour pouvoir avancer.

<Voulez vous maître nain, que l'on vous porte comme les hobbits. Proposa Legolas.

-J'aimerais bien vous y voir elfe. Grogna Gimli.

-Oui mais grâce aux valar je n'ai pas cela à subir. 

-Legolas arrête de le provoquer et avance veux-tu ? Lui demande-je.>

L'elfe sylvestre recommança à avancer, tout en me lançant un <Je ne peux même plus plaisanter>. Gimli fut plutôt content que je réprimande mon mari. Nous continuons jusqu'à ententre un voix .

<J'entend une voix sinistre dans les airs. Averti Legolas.

-C'est Saroumane ! Répondit Gandalf.

-Il essaye de déclencher une avalanche ! Gandalf ! Il faut faire demi-tour. Annonce Aragorn en regardant le sommet de la montagne.

-Non ! S'obstina le magicien.>

Il se mit au bord de la falaise et commança ses incantations. Mais il n'était pas assez fort. Un éclaire frappa le sommet et une avalanche nous tomba dessus.

***

Nous venons à peine de tous sortir nos tête de sous la neige. Legolas me souleve pour me sortir entierement. Je fit de même pour Tínûvíel et Isíl, cette dernière est deja entrain de raler. L'homme du Gondor prend la parole.

< Il faut quitter la montagne. Prennons par la trouée du Rohan, faites un détour par ma cité.

-La trouée du Rohan nous rapproche trop d'Isengard. L'arrêta le rodeur.

-On ne peut pas passer par dessus la montagnes, alors passons par dessous. Passons par les Mines de la Moria. Tenta Gimli.

- Laissons le Porteur de l'Anneau décider. Déclara Gandalf.

- Peut importe la décision qu'on la prenne vite je n'ai pas l'intention de rester ici. Rala Isíl.

- On ne peut pas rester ici ou se sera la mort des Hobbits. Informa Boromir.

- Frodon ? Demanda le magicien.

-Nous passerons par les Mines.

-Gandalf il faut nous reposer,de plus le soleil se couche. Nous devrions refaire le camp là ou nous l'avons fait pour la derniere fois. Lui annonce-je.

-Qu'il en soit ainsi ! >

***

Nous revoila sur nos pierres a faire un feu pour rechauffer les hobbits. Merry et Pippin se sont mis à mes cotés, sous l'oeil attentif de Legolas, Sam et Frodon sont au près de Tínûvíel et Isíl. Nous avons perdu du temps, et nous voila épuisés.  Tout le monde se coucha tôt, nous avons trois jours de marche pour arriver à la Moria. Legolas se plaça derrière moi de façon à ce que je me retrouve entre ses jambes. Il m'explica que Gandalf monte la garde pour qu'il puisse reprendre des forces.

Nous reprime la route au petit matin. Le premier jour de marche personne parla encore fatigué de la veille. Mais le second jour, les hobbit semblaient avoir retrouvé leurs forces. En particulier Pippin qui nous posa pleins de quetions.

<Bilbon nous a raconté son histoire quand on étaient petit, Mais il nous a pas dit que vous étiez tous du voyage. 

- Tuor et moi l'avons aidé quand il était à Fondcombe. Je me rappellerai toujours la tête des nains, quand ils ont pensé qu'il n'y avait que de la verdure au menu. Rigola Isíl.

-Oui, quand on à apporté la viande ils nous on soulevez comme si on était des sauveurs. Enfin, la c'était un peu le cas. Mais seul Tínûvíel et Elerinna on participé à la guerre des cinq armées.

-Juste vous deux ? Mais vous aviez pas peur ? Demanda Pippin.

-On était pas seule, il y avait les nains et puis Legolas et Tauriel étaient là eux aussi. Mais, se dont je me souviens le plus, c'est quand j'ai guidé la companie de Thorin, dans la forêt. Je me suis retournée ils étaient plus là. Je les ai retrouvé avec la garde royale. D'ailleur il me semble que lorsque je suis arrivée tu parlais avec Gloin, le père de Gimli. Raconta Tinuviel.

-Je ne m'en rappel pas. Répondit le prince elfe.

-Moi c'est la tête du roi Thranduil lorsqu'il a apprit qu'on avait nourrit les nains, ils étaient prisonniers, et on a aidé Bilbon à les faire sortir de là. Mon beau- père était fou de rage.

-Vous avez jamais eu peur du roi ? Demanda Pippin.

-Non et c'est bien ça le problème, elle lui tient toujour tête. Rigola Legolas.>

Pippin eu toutes les réponses à se questions. Le troisime jour Gimli ne cessa de nous parler de la Moria, de son cousin ou de l'hospitalité des nains. Gandalf nous annonça que nous allions arriver à la nuit tombée. Il prit Frodon avec lui surment pour savoir comment il va. Bientôt nous allons pouvoir revoir Balin.