Mélanie -ils terrorisent tout le lycée, un simple regard de travers et ta réputation est ruinée. Voici les populaires... Bon, pas de mort proche en vue, moins de croustillant.
Moi-Mélanie, allo la terre? Dis-je en claquant des doigts devant ses yeux. Ici c'est pas le genre de livre ou les populaires sont des gens à respecter, réveille toi, connu ou pas je m'en bas les couilles. Ruiner ma scolarité pour un regard mal interpréter? qu'ils le fasse, leurs petites tête de bouffon ne me font pas peur
Mélanie-t'as l'air d'avoir du caractère et d'avoir peur de rien toi
Moi-si tu savais..
Apres lui avoir donner mon numéro et lui avoir dis au revoir, je reprends ce bel endroit, que j'apprécie: le bus, en direction de la maison.
J'ai appris a connaître un peu mieux cette ville, c'est vraiment magnifique et sa change de mon trou paumé..
Je suis presque arrivée quand je vois au loin la moto de mon frère Maxence, il est rentré!!
Je courus jusqu'à la porte d'entrée avant de sauter partout dans la maison Lara l'hystérique 1.0
Moi- MAXENNNNNNNNNNNNNCE!!!!!!!!!!!!!
Maxence- LARAAAAAAAAAA!, crie-t-il avant de me sauter dans les bras
Moi- ta gueule de con m'as manquer
Maxence- la tienne aussi étonnamment
Moi - à ce que j'ai entendu, baiser tes putes est plus urgent que venir me voir? ?dis-je en arquant un sourcil
Maxence- et a ce que j'ai cru comprendre, tu avais comme intention, je cite, me "niquer" après avoir appris ca
Je me retourne vers Rafael qui observait la scène depuis toute à l'heure, il se contenta d'hausser les épaules comme signe qu'il était d'une part désolé mais plus satisfait de sa connerie, je lui lance un regard noir J'ai qu'une chose à dire: trahison
Maxence: et comme Rafael avait si bien dit, une grosse balayette allait t'arriver en pleine gueule , rajouta-t-il
Moi-NON!Max...
Je n'ai pas le temps de finir ma négation que j'ai le cul au sol, je releve la tête et vois la gueule mes deux frères ainés penché au dessus de moi qui ne s'arrêtent pas de rire
Moi- AH.AH.AH quel humour! dis-je avec un regard froid
Rafael- bon assez rigolé, dit-t-il en me tendant sa main
Moi- au faite, vous ne vivait pas seuls ici, ou sont vos chères amis? dis-je en me relevant
Rafael- ils ne sont pas la pour le moment, tu les verras quand tu rentreras de cours
Moi- je suis tellement pressée! dis-je sarcastiquement