Une étrange situation

Chapitre 12 : Piste de solution et compréhension

#Bureau de l'Hokage, Konoha#

Tsunade avait fait rassemblé Naruto et ses amis ainsi que Kakashi, Jiraya, Temari et Kankuro. Ils avaient tous fait des recherches pour découvrir comment fonctionnait la technique qui avait envoyé Gaara et Itachi dans un endroit inconnus. Ils avaient tous fait chou blanc, sauf Naruto au vu de ses petits sauts sur place surexcité. Tsunade soupira et laissa la parole au blondinet énergique.

- Et bien, j'ai fait appel à ma mémoire et j'ai essayé de me souvenir des mots que le ninja déserteur avait utilisé pour lancer cette technique. J'ai noté plusieurs possibilités jusqu'à aboutir a une technique complète qui semble être celle qui a envoyé Gaara et Itachi ailleurs. Expliqua avec un sérieux rare Naruto.

Tsunade fut intrigué par son air plus que sérieux. Naruto avait très bien pu trouver qu'elle avait été la technique employée. Il posa un parchemin d'écriture sur le bureau de l'Hokage Tsunade et le déroula. Il y avait plusieurs mots mit les uns à la suite des autres et au centre, en plus grand, était écrit ce qui ressemblait à une technique.

- "Que ceux qui me fassent face disparaissent de ce monde ci." Lu à voix haute Tsunade.

- Il me semble que c'est ce qui ce rapproche le plus des mots que le ninja déserteur à prononcé avant de faire disparaître Itachi et Gaara. Dit Naruto.

- C'est possible effectivement. Acquiesça Kakashi. Tu as bien travaillé Naruto.

- C'est normal, Gaara est mon ami et Itachi et le frère de mon meilleur ami. C'était normal de travailler sérieusement sur cela. Je ne suis pas juste l'idiot du village. Bouda Naruto.

- On le sait bien Naruto, et on te remercie pour ton aide. T'es recherche vont beaucoup nous aider. Sourit Tsunade.

- Merci Obāsan !

- Je ne suis pas vieille ! Cria Tsunade, agacé.

Les autres sourirent et rirent face à cette scène si comique et normal pour eux.

#Maison des Howaitofezā#

Tout était prêt pour accueillir avec chaleur le docteur Libra Miracle, qui revenait pour la septième fois dîner à la maison des Howaitofezā. Amélia et les autres cuisinier avait préparé un délicieux repas chaud et avait le sourire aux lèvres. Ils étaient heureux de pouvoir accueillir un ami de Armand et de le voir si impatient et fébrile. Il ressemblait au jeune Armand qui attendaient la jeune Céleste pour le repas. Ce Libra semblait plaire bien plus qu'il ne l'admettait à Armand. Et ça, Lune l'avait parfaitement bien remarquée, et Libra semblait ressentir la même chose (Lune était devenue amie avec le médecin et elle avait remarqué qu'il regardait très souvent à la dérobé son père). Elle avait alors monté un plan pour essayer de les faire se rapprocher dans la soirée. Et elle s'était renseignée sur un site de météo, et il était prévu une tempête dans la soirée vers les vingt deux heures. C'était l'occasion de faire se rapprocher son père de Libra, ils seraient très mignon ensemble. Lune alla accueillir Libra en le voyant ce garer devant la maison.

- Coucou Libra ! Sourit Lune.

- Bonjour Lune. Comment vas tu aujourd'hui ? Ton nez à bien désenflé à ce que je vois. Sourit Libra en s'approchant de l'entrée.

- C'est grâce à tes crème. Elles sont vraiment super efficace ! Allez, tout le monde t'attend ! Sourit Lune en entraînant Libra à sa suite.

Le médecin rit doucement et suivit docilement la jeune femme toute sourire. Armand arriva bien vite pour saluer son invité et Lune s'eclypsa discrètement quand elle les vit commencer à discuter. Elle monta à l'étage et allait ouvrir la porte de son salon, quand elle entendit des bruits de soupir et de gémissements. Intrigué, Lune se pencha pour s'accroupir et regarder au travers du trou de la serrure. La jeune femme devint rouge pivoine en voyant Itachi et Gaara s'embrasser avec passion en se déshabillant fébrilement sur le lit déplié du canapé. Elle posa sa main sur sa bouche pour ne pas faire de bruit ne put détacher son regard de la serrure qui lui montrait un instant si particulier dans la relation de deux personnes qui s'aiment. Lune savait qu'elle devait s'éloigner, elle n'avait pas à les regarder, mais son corps ne voulait pas bouger comme mue par sa propre conscience. Les rougeurs sur le visage de Lune devinrent encore plus vif quand elle vit Gaara et Itachi complètement nu. Quand elle les vit s'embrasser avec amour et se murmurer "je t'aime", elle sentit son cœur se serrer fortement dans sa poitrine. Elle ferma les yeux et se releva, partant en courant a l'opposé de son salon. Elle monta sans vraiment sans rendre compte à l'étage, dans le grenier, et elle s'assit sur un fauteuil à bascule en bois. Elle se laissa bercer par le mouvement de balancier de la chaise à bascule et son regard se perdit dans la contemplation du ciel au travers de la fenêtre du grenier. Pourquoi avait elle eu si mal en voyant Itachi et Gaara s'embrasser et se dirent amoureusement "je t'aime" ? Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Quand elle pensa à chacun des deux garçons en train de lui sourirent et de l'appeler par son prénom, son coeur s'emballa et ses joues devinrent rouge. Lune posa brusquement ses mains sur sa bouche pour qu'on ne l'entende pas et ferma fortement les yeux en laissant échapper de grosses larmes. Elle était amoureuse. Non pas d'un mais de deux garçons. Deux garçons amoureux l'un de l'autre. Itachi et Gaara. Lune se leva fébrilement et ouvrit la fenêtre. Le ciel devenait noir et grondait fortement, mais Lune n'y faisait pas attention. Elle enjamba la fenêtre et descendit grâce à la gouttière pour descendre dans le jardin. Elle partie en courant, les larmes dévalant à toute vitesse ses joues. Elle entendit qu'on l'appelait, mais elle ne se retourna pas. Elle accéléra même jusqu'à s'enfoncer dans les bois dense de la forêt bordant la maison. Elle couru, encore et encore sans s'arrêter. La pluie avait commencé à tomber à averse et Lune se retrouva vite trempée. Elle trébucha et tomba en avant. Elle ne se mit à genoux, la tête basse. Elle ne pouvait pas aimer Itachi et Gaara. Ils étaient ensemble et heureux. Ils ne voudraient pas d'elle dans leur couple. Lune sentit son cœur lui faire mal dans sa poitrine et elle pleura, ses larmes se mêlant à la pluie diluvienne.