Disparition au Collège ?!

Chapitre 4: Une collaboratrice plus que charmante

La matinée se finit dans la bonne humeur et je dis au revoir aux élèves qui ont déjà ramassé leurs affaires et qui sont partis en courant à l'entente de la sonnerie pour aller manger.

Je reste avec Madame Krist et l'aide à ranger les différents travaux des gnomes.

- Vous voulez que je les pose où ?, lui demandais-je les mains chargées d'affiches avec les noms et renseignements sur chaque genres de textes: fantastiques, réaliste,...

- Vous pourriez les déposer sur la grande armoire tout au fond s'il vous plaît ?, répondit-elle après avoir relevé la tête pour voir de quoi je parlais.

- Bien sûr.

Je me déplace doucement pour ne pas renverser la pile de papier que je tiens dans les mains et arrivé devant l'armoire, pas si grande que ça pour moi aux vues de mon un mètre quatre-vingts, je place délicatement les travaux des élèves sur un paquet de grandes feuilles A3 encore vierges.

Une fois cela fait, je me retourne et observe l'institutrice finir de ranger ses affaires.

En d'autres circonstances, j'aurai sûrement cherché plus qu'une relation professionnel ou de l'amitié: elle était plutôt grande, dans les un mètre soixante-dix, avait de longs et magnifiques cheveux roux qui ondulaient jusqu'à sa taille mince. De plus, sa peau était si clair que l'on pourrait la comparer à une poupée de porcelaine, et ce n'es pas ces magnifiques yeux bleus saphir qui vont changer cette image. Ce qui me plaît encore plus, c'est qu'elle embome d'intelligence et s'intéresse de près à la littérature.

Je fus interrompus dans le cours de mes pensées, par son raclement de gorge, qui me ramène de suite à la réalité.

Mince ! La discrétion n'a jamais été mon fort et cette situation le prouve: ses joues sont rouges et elle se mordille la lèvre inférieure comme si elle était gênée.

Mort de honte d'avoir été pris sur le fait, je détourne mon regard et tourne ma tête en direction de la fenêtre, tout en sentant le rouge me monter aux joues. Je racle ma gorge mal à l'aise.

- Vous disiez ?, je lui demande timidement.

- Qu, que, qu'il fallait descendre manger au self avant qu'il n'y est plus rien, me dit-elle en bégayant.

L'entendre parler de cette voix si mignonne me fit directement tourner la tête. Qu'elle était belle.

Je me reprends vite et lui dis qu'en effet il faudrait descendre. Ma voix devait être légèrement plus grave que d'ordinaire.

Je sors le premier pour qu'elle puisse fermer.

J'attends appuyé sur le mur en face de la porte qu'elle verrouille sa classe. Quand la jeune femme la fait et qu'elle se tourne vers moi comme si elle attendait quelque chose, je finis par lui dire avec un sourire en coin :

- Vous savez mademoiselle, je ne connais pas le collège, alors si vous attendez que je prenne la direction du self pour me suivre on est pas prêt de manger.

Elle me regarde surprise, puis je vois dans ses yeux qu'elle vient de comprendre et un fou rire la prends ce qui fait redescendre la tension qui était montée.

- Il est vrai !, me répondit-elle un fois ses éclats de joies calmé.

Madame Krist prend le couloir de droite tandis que je la suis, puis s'arrête d'un coupant. Pris par surprise je manque de lui rentrer dedans mais me stoppe juste quand il faut.

- Prévenez moi quand vous vous arrêter si brusquement, j'ai faillit vous rentrer dedans ! Lui dis-je sévèrement.

Elle s'excuse en baissant la tête, puis la relève en s'exclamant:

- Vous savez, vous pouvez me tutoyer et m'appeler par mon prénom sauf devant les élèves bien-sûr , car après tout, on a presque le même âge.

- Avec plaisir...

- Agnès.

- J'accepte seulement si vous faite de même.

- Avec joie, déclare-t-elle les yeux brillant.

Je lui souris et m'apprête à repartir en direction du self, quand ce qu'elle vient de me dire m'interpelle.

Je redirige mon regard sur elle et lui demande:

- Nous avons à peu près le même âge ?! Comment le savez-vous ?

PDV Agnès

Il me sourit, ce qui fait apparaître ses fossettes et ne le rend que plus charmant puis commence à s'avancer, quand comme moi il se stoppe et se tourne vers moi.

- Nous avons à peu près le même âge ? Comment le savez-vous ?

Et mince...

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Et voilà j'espère que ça vous a plus ^^. Désolé pour ce temps d'absence.