Les âmes sensorielles

Les âmes sensorielles #1

Dans ma petite ville du nom de Moltila, les personnes qui y vivent ne sont pas comme toutes les autres personnes du monde. Les personnes vivant à Moltila, doivent avoir trouvés leur âme sensorielle avant leur majorité mais pas avant leur 6ème anniversaire.

En ce moment, tous les jeunes sont à une réunion, qui a lieu tous les trois mois. Elle consiste à savoir quel jeune n'ont pas encore trouvés leur âme sensorielle. Dans ma famille, les Kanoya, on raconte que les filles ne possèdent pas d'âmes sensorielle. Cette histoire, je l'entend depuis mes 5 ans, cela me concerne particulièrement puisque j'ai 16 ans et que mes frères ont leurs âmes sensorielles. Je m'appelle Ritsu Kanoya et depuis mes 6 ans, j'attend mon âme sensorielle. Les autres enfants se moquent de moi parce que je suis une fille Kanoya sans âme sensorielle.

Ce matin, les cours sont suspendu pour les 16 et 17 ans. Je me réveille donc sans réveil programmé. Je descend et je vais prendre mon petit déjeuner. Ma mère vient me voir et me demande :

Maman : Bonjour mon trésor, bien dormie ? Dit moi, pourrais-tu aller chercher les fleurs de Yako pour les âmes sensorielles de tes frères au temple s'il te plaît ?

Moi : Mais maman, pourquoi c'est toujours moi qui doit y aller ?

Maman : Ritsu, tu y vas et tu discutes pas !

Moi : Ok... Je vais me préparer...

Je me leva et alla me préparer pour sortir. Une fois prête, je sortis en direction du temple. Sur le chemin, je croisa les jeunes de mon âge, ils se mirent à m'insulter comme d'habitude et bien sûr je ne les écouta pas et me dirigea vers le temple.

A mon arrivée au temple, madame Midoriko, la doyenne du village, voulait me parler au sujet de mon âme sensorielle.

La doyenne : Bonjour Ritsu, comment vas-tu ?

Moi : Bonjour doyenne, bien et vous ?

La doyenne : Bien, alors dis-moi as-tu trouvé ton âme sensorielle ?

Moi : Eh bien non, et je ne pense pas en avoir une un jour...

La doyenne : Tu ne devrais pas être si pessimiste, peut-être en aura-tu une tôt ou tard. Qui sait ?

Moi : Advienne que pourra... Je vais aller chercher les fleurs que ma mère m'a demandé pour les âmes sensorielles de mes frères.

La doyenne : Très bien, à plus tard Ritsu.

Moi : À plus tard, Madame Midoriko.

Après cette entrevue avec la doyenne, je partis chercher les fleurs de Yako pour mes frères avant d'être en retard pour les cours de l'après-midi.

Une fois les fleurs obtenues, je me rendis chez moi avant de partir pour l'école à 1h.

J'arriva avant tout le monde et m'installa à ma place habituelle, à côté de la fenêtre au fond. Lorsque la sonnerie retentit tous les élèves de ma classe arrivèrent avec le prof et le cours commença.

Le prof s'interrogea des élèves sur des définitions et la première fut les âmes sensorielles.

Une fille de ma classe leva la main, et le prof l'interrogea :

Le prof : Oui, Yuri ?

Yuri : Une âme sensorielle est un être vivant avec certains pouvoirs magiques plus ou moins puissants qui doit être en symbiose avec nous-même.

Un gars : Oui mais certaine personne n'en auront jamais.

Cette dernière phrase fit rire tout le monde sauf moi et le prof.

Le prof : Eh bien, puisque vous trouvez tous ça drôle que Ritsu n'ai pas encore d'âme sensorielle, vous allez tous passez chacun votre tour une journée avec Ritsu sans âme sensorielle !

Toute la classe se mit à geindre comme des bébés.

Le prof : Tout le monde prenez vos agendas et mettez-vous d'accord pour vos journée et attention vous serez surveillez donc n'essayer pas de faire les malins avec moi.

La fin des cours sonna et je partie vers la maison quand un groupe de jeune vint me trouvera la sortie.

… : Salut, dis-nous pourquoi

es-tu venue en cours alors que tu n'as pas d'âmes sensorielles ? De plus, par ta faute nous devons tous passer une journée avec toi.

Moi : Bonjour Arata, contente de te voir moi aussi...

Arata : Tu as compris ce que je viens de te dire ?!

Moi : Oui, oui, ne t'inquiète pas. Seulement moi, je n'y suis pour rien vois-tu.

Arata : Mais oui, nous allons te croire peut-être ?!

Moi : Libre à vous de me croire ou non, ce n'est pas mon problème, maintenant j’aimerai bien rentrer chez moi.

Arata : Tu crois vraiment que on va te laisser rentrer alors qu'on doit tous passer une journée avec toi ?!

Moi : Eh bien voyez entre vous, moi je suis libre tout le temps, comme tu l'as sans doute remarqué...

Arata : Ouai, on va faire ça de toute façon, tu t'en fous.

Je n'attendis pas qu'il ai finit de parler et rentra chez moi.