De Glace Et De Feu....

Chapitre 2: Lilly et Antoine

Pourquoi suis je là ?
Pourquoi j'existe ?
A quoi je sert dans la vie ?
Qui suis-je ?

Pourquoi tu m'a amené ici ?

Charlotte déambulait entre les lycéens heureux, déçus , malheureux, soulagés. Ses objectifs : 1.trouver Lilly,sa meilleure amie pour l'aider à récupérer de la course et pour discuter
2.Trouver Antoine, son petit copain pour lui souhaiter bonne chance car la course des garçons suivait celle des filles. La lycéenne  vit d'abord Lilly qui, rouge et trempée, franchissait  vaillamment la ligne d'arrivée.
-Alors je suis arrivée combien ? Demanda l'intéressée , Vas y tu peux me le dire tout de suite je suis habitué aux déceptions
- Lilly , t'es vraiment bête répondit Charlie tu est 15ème !!!C'est genial !!!
- Dis- elle alors qu'elle est première rétorqua Lilly sur le ton de l'humour mais qui était singulièrement déçue
- Oh mais elle, elle a des fusées dans les chaussures je suis sûr qu'elle triche vas y montre moi ça
- Antoine s'écriairent les jeunes filles en coeur
Le jeune homme avait attrapé le pied de Charlie pour voir ses chaussures
- Lâche moi je vais tomber dit-elle en rigolant , Arrête sinon je t'appelle Toinet
- Ah non n'y pense même pas répondit il, mais il était tellement choqué qu'il lâchat la chaussure
-Vous deux,vous faites la paire, dit Lilly, puis explosa de rire. Antoine et Charlie l'observerent d'un air soupçonneux. Quand Lilly rigolais comme ca c'était soit parce qu'elle a raconté une blague ou sois parce qu'elle s'apprêtait à faire une blague ou une farce dont elle seule avait le secret
- Et après on dit que c'est moi qui suis bête dit-elle toujours plié de rire, mais vous comprenez pas les blagues vous,
La paire , paire de chaussures et vu que tu lui tenais sa chaussure , oh mais c'est plus drôle vu que j'explique , vous avez ruiné ma blague . Puis elle tourna le dos et commença à bouder
- Désolé Lilly dirent Antoine et Charlie parfaitement synchro
La blagueuse s'apprêtait à répondre mais ses mots furent recouvert par un bruit tonitruant...la tribune s'écroula,le sol s'ébranla comme si il y avait un séisme ,des mottes de terre  volèrent  aussi vite que des balles de pistolet et le stade ainsi que ses occupants furent soufflés par la puissante onde de choc  de l'explosion. Le stade n'était plus que ruines fumantes mais on voyais très clairement un avion bombardier affublé d'un énorme C s'éloigner au loin.