Petit miroir qui écoeure mon être
Le charme de tes courbes, l'amour ,
Sentiment tumultueux reflétant le paraître
Le silence de mon chagrin... ces contours
Que je déteste en tes yeux doux
Si vert si profond je ne cesse de confondre
Je suis belle à tes yeux j'aimerai que tu me le conte
Car le reflet de mon âme fais couler des larmes sur ma joue
Mon ultime désir serai pour moi d'être tienne
De pouvoir dire c'est mots doux comme Rimbaud à Verlaine
Nos deux âmes ce liant tel une goutte épousant les courbe d'un lière
La rosée du matin étincelant la lueur du soleil , qui ouvre ces paupières