Un scientifique pas comme les autres

Chapitre 2:la nuit dilluvienne

'-Soyez patient'
Telle était les mots de l'assistante lorsqu'il rouvrit les yeux ,
Affalé sur un brancard des docteurs venu d'ailleurs autour de lui,
Le regardait avec des airs inquiets et par un mouvement vicieux,
il regardit à travers la fenêtre et évalua qu'ils faisaient nuit.
Dehors l'air était glacial et la pluie,flocon givrer,
Sur le toit de fer de l'ambulance,
Se déposait formant un tapis blanc si dense,
Qu'il était difficile de déterminer,
Le véhicule de la route enneigée.
Frazier ne voulant paraître insolent,
Se garda bien de dire un mot toujours dans la tentation,
Se contenta d'observer les affiches éclairé par des néons des magasins passant,

Repensant à son essais infructueux il en conclut que la meilleure solution n'était pas l'ionisation.