Il a tout ce qu'un homme peut vouloir dans la vie, mais a perdu son essentiel. Mike K. est obsédé par ces images qui le hantent à propos de Léa... Elle est partie sans raisons, dans le silence et une mare de sang.
Pourquoi?
La réponse se trouve da...
Je monte les escaliers pas à pas, en imaginant tout ce que je ferai à ma Léa cette nuit. J'ouvre silencieusement la porte et découvre notre chambre plongée dans l'obscurité. Seul l'abat-jour posé sur la commode sert de phare dans la pièce, créant quelques contrastes. Sur le lit je distingue une forme à demi éclairée dans la pénombre, mais surtout une croupe que tente maladroitement de cacher un drap. La seule vue de ces deux fesses réveille en moi un grand feu, qui se traduit par une forte pression dans mon boxer. Je retire mes vêtements ne gardant que le boxer, avant de me diriger vers le lit. Le drap n'oppose aucune résistance à mon envie de mordiller ces fesses, et je ne m'en prive pas. Bisou après bisou mes lèvres remontent tout doucement vers sa nuque en explorant chaque centimètre carré de peau, ce qui a pour effet de la tirer de son sommeil. Ma langue s'aventure sur le lobe de son oreille, et la respiration de ma belle s'accélère.
- Chéri... dit-elle entre deux souffles.
- Chuuuuut
Je la retourne et nos lèvres fusionnent, dans un long et doux baiser. Les siennes m'ont manqué et leur saveur est semblable à celle du fruit de la passion. Mes mains pendant ce temps s'activent sur chaque parcelle de peau, parcourant son cou, sa poitrine avant de s'aventurer plus bas... Elle me serre contre son corps, me rendant mon baiser avec une telle fougue.
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Ces étreintes décuplent la pression dans mon boxer, qui a de plus en plus de mal à contenir le fauve qui s'y trouve.
- ''Prends moi, maintenant mon coeur'' , me susurre t-elle au creux de l'oreille.
Je me redresse un instant pour retirer cette barrière de tissu entre nous, avant de repartir à l'assaut de ses lèvres et des auréoles de ses seins. Mon membre se fraye un chemin entre ses cuisses, puis je me glisse en elle pendant que nous nous regardons dans les yeux. Ma belle pousse un gémissement de plaisir, se mord la lèvre inférieure et agrippe fermement mes fesses. Je fais jouer mon bassin entre mouvements doux et rapides, pendant de longues minutes tout en la couvrant de baisers.
C'est si bon de se retrouver à la maison, mais surtout dans les bras de sa femme... Cette escalade de plaisir nous conduit tous les deux vers la cime de l'extase, dans une jouissance commune. Je ressens les contractions qui parcourent tout son corps, pendant qu'elle me dit ''Je t'aime chéri ".
Je le lui rends avec mon plus beau sourire, avant de lui donner un baiser sur le front: " Je t'aime aussi mon Poussin ".
Elle vient poser sa tête sur mon torse, et le sommeil fini par avoir raison de nous quelques minutes plus tard.
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