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Elle pensait être seule dans ces vestiaires.
Elle tourna sa tête pour regarder autour d'elle, elle ne vit personne.

Enfin c'est ce qu'elle croyait.

Elle savait qu'elle serais encore en retard en sport et que le coach la fera encore courir 5 minutes de plus. Elle adorait ça.

Elle hôte directement son gros pull et fixa sa hanche gauche, ses nouvelles cicatrices. Elle n'osait plus les toucher. Ça la faisait grimacer.

Je me sentis bouillir de l'intérieur, moi qui aimait tant toucher sa peau, je pouvais le faire pendant des heures et des heures en l'entendant pleurer comme d'habitude.

Je m'avançai vers elle d'un pas silencieux, elle ne remarquait rien jusqu'à ce que je sois derrière elle et que je souffle sur son cou.

Elle sursauta et se retourna apeuré d'être pris en flagrant délit.

Parce qu'elle connaissait la suite.

Je posa ma main sur sa gorge en la faisant légèrement glisser, son coeur bat d'une vitesse folle.

Elle se figea en sentant ma main descendre sur sa poitrine tandis que je contemplais amoureusement son corps. 

Ma main descend le long de son corps pour se placer sur sa hanche et je frôlais délicatement ces cicatrices du bout de mes doigts, je lève les yeux vers son visage si pâle. Elle avait peur.

—Pourquoi abîme-tu de l'art ? Lui-ai je dis dans un chuchotement

Aucune réponse elle frissonnait, ça me rendais fou qu'elle puisse détruire se qui m'appartenait,
alors je me mis à caresser ses cicatrices et je la vis du coin de l'œil grimacer, je souris.

Je la fait avancer et la plaque d'un coup contre son casier. Ma main serra sa gorge et je la fixais furieux.

—Regarde toi, c'est pas beau. T'es qu'une salope de merde putain ! Ce que je touche je me plait pas. Ta compris ? Lui criai-je

Elle essaya de retirer ma main sans y parvenir et je la fixais.

—Et tu va changer ça, n'est ce pas ? Dis-je dans un chuchotement en penchant légèrement la tête vers elle.

Elle hocha la tête et je souris d'un air mauvais en la lâchant, elle tomba brusquement au sol en tentant de reprendre son souffle tandis que je sortis des vestiaires de ce lycée à la con.

skinnyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant