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sorry I only know self destruction™





Demain ça fera 1 an. 1 an que je suis attiré par ses yeux noisette et par ses lèvres si tendres. 1 an qu'elle me hante l'esprit.



Mais aujourd'hui, était un jour spécial.



Aujourd'hui elle n'avait pas mis de sweat. Elle s'était légèrement maquillée et elle avait soigneusement lissé ses beaux cheveux bruns, elle portait une robe. Elle avait presque un teint normal, ce qui troublait tout le monde.

C'est quoi encore cette journée de pute ?

Je pensais que l'idée de prendre soin d'elle la fatiguerait après tout ce que je lui faisais subir et la voilà en train de montrer à tout ses fils de chiens de cette école à quel point elle est belle.


Etait-elle amoureuse ?

L'idée me rendais malade.

J'vous jure si un con a le malheur de m'adresser la parole qu'il s'étonne pas que je lui casse un membre.

Cette histoire me tracassait tellement la tête que je me lève d'un coup pour sortir de mon cours de math.

–Je peux savoir ou es-ce que vous allez Bieber ? Dit le prof en me barrant la route

Putain Justin, non craque pas ne lui défonce surtout pas sa gueule de pd retiens toi.

– Bah j'me casse en gros ça se voit pas ? Répliquai-je

Il fronça les sourcils et je soupira d'impatience sous le regard de la classe.

–Je ne vous est pas permis de sortir de la classe.

–J'me permet tout seul. Dis-je en ouvrant la porte

–Revenez tous de suite avant que j'appel la directrice ! Dit-il en criant

Je sortis en terminant ma phrase:

–Non seulement je fais ce que je veux mais en plus de ça j'vous emmerde.





Salle Art visuel 908


Elle était en train de ranger ses affaires en mettant sa mèche rebelle derrière l'oreille tandis que les autres était déjà partis, le prof s'était absenté pour des photocopies alors je m'approche doucement et elle sursauta quand je ferma brusquement la porte pour la fermer à clé.

–Just—

–Ta gueule.

Je l'empoigna par les cheveux en l'avançant vers moi malgré ses gémissement de douleurs.

–De quel droit oses-tu porter cette robe de pute ? Lui-dis je en tirant plus fort sa chevelure

A vrai dire, la robe était simple, ni trop court mais personne n'avait le droit de la voir comme ça, à part moi.

Aucune réponse, comme à son habitude.

Je la gifla une fois et l'obligea à me regarder droit dans les yeux en passant mon pouce sur le bas de sa lèvre.

–Vasy dis moi qui est ce fils de pute ! Lui crachai-je en mettant mon autre main autour de sa gorge

Aucune réponse.

J'entre doucement mon pouce à l'intérieur de sa bouche en appuyant sur sa langue et je continua de la fixer.

–Tu compte toujours pas répondre ? Dis-je dans un chuchotement.


Elle renifla discrètement en trembla.

–Très bien.

Sur ce, je la gifla une seconde fois plus fortement et elle lâcha un hurlement de douleur en tombant au sol.

Je la tire par le bras pour la forcer à se relever et la porte pour la poser sur le bureau du professeur sans délicatesse.


J'écarte ses cheveux de son visage et m'approcha de ses lèvres inondé par les larmes puis y dépose un baiser.

Les marques sur sa joue était plus voyante que jamais, elle était dans un sale état. Elle n'avait même pas pris la peine de remettre les bretelles de sa robe en place, elle était à bout.


–Ça ne se reproduira plus, n'est ce pas ? Lui dis-je en passant mes mains dans ses cheveux


Elle fixa le sol sans émotions en hochant lentement sa tête. Elle était totalement vidé d'émotions. Tout comme moi.

Je caressais tendrement ses cheveux lissé et pris des ciseaux posé sur le bureau derrière elle et lui coupa quelques mèches, lui raccourcissant la longueur de ses cheveux, tendit qu'elle était appuyé contre moi, la tête sur mon épaule tentant de calmer ses haut le coeur.

Personne n'avait le droit de la voir comme moi je la voyait.

skinnyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant