chapitre 18 : popcorns

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Emma: Papa...

Je la déposa immédiatement au sol.

Papa: Je dois te parler seul à seul.

Moi: Tu veut que je reste ou que je parte ?

Emma: Non c'est bon tu peu partir je t'appelle si il y a un problème.

Moi: D'accord.

Je lui embrassa la joue et rentra dans notre chambre.

Pdv Emma:

Alexander: Je vois que tu as oublier le garçon que tu aimais tant. Comment s'appelait t'il déjà ? Ah oui Matthew, je vois que tu es vite passer à autre chose en venant ici.

Moi: Non je n'ai pas oublier Matthew la preuve il vient juste de rentrer dans notre Chambre.

Alexander: C'est donc lui ?

Moi: Oui... qu'est ce que tu fais ici ?

Alexander: Je suis venue te voir pour parler.

Moi: Parler de quoi ?

Alexander: Tu ne m'a pas donner de nouvelle depuis ton départ pour Harvard et je voulais aussi que l'on parle de ton frère et ta sœur.

Moi: Non Hailey et Brice n'ont jamais était un frère et une sœur pour moi.

Alexander: Même il faut en parler, Hailey à besoin d'aide de sa Demi-soeur elle va partir pour Harvard dans 1 mois et il faut qu'elle arrive à s'intégrer tout comme Brice.

Moi: Il est hors de question que j'aide ces deux monstres à s'intégrer.

Alexander: Pourquoi les appelles tu ainsi que t'ont t'ils fait ?

Moi: Des choses qui ne te regarde plus vue que tu as renoncer à ton rôle de père envers moi.

Alexander: Pourquoi dit tu cela, je suis toujours là pour toi.

Moi: Oh oui c'est vrai, tu m'as accepter chez toi contre de l'argent.

Alexander: Juste pour cette histoire d'argent encore.

Moi: Il n'y pas que ça, où était tu ''papa'' quand j'allais mal dans ma peau ? Où était tu lorsque je me suis couper les veines pour pouvoir mourir à cause de mon chagrin ? Mais oui tu étais là à l'hôpital mais je me souviens très bien de ce que tu m'a dit ce jour là . « N'as tu pas fait assez honte à notre famille comme sa ? Que vont pensé les gens ? Les rumeurs vont courir et nous allons passer pour la famille qui torture une enfant. Tu me fais honte Emma vraiment honte ». Et à ce moment là tu es partie tu m'as laisser seul à l'hôpital alors que j'aurais eu besoin de mon père à ce moments là et après j'ai décidé de partir à l'Université la plus prestigieuse mais aussi la plus loin de toi.

Alexander: Oh je t'en prie Emma tu sais très bien que je t'ai tout donné depuis ton enfance.

Moi: Non il y a une chose que tu ne m'as jamais donné, l'amour... l'amour qu'un père est censé donné à son enfant.

Alexander: Emma comme je te le répète. L'amour est une faiblesse, ne t'y fie jamais tu finiras mal à cause de cela.

Moi: C'est trop tard je sais qui j'aime et je sais qui je déteste.

Alexander: Pauvre fille, tu es si pitoyable avec tes discours sur l'amour parentale.

Moi: Pauvre con tu es si pitoyable avec ton cœur de pierre, juste une question tu l'aimes ta femmes tu les aimes ses enfants ?

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