sur la falaise

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Le vent soufflant d'un rythme monotone
Les vagues accompagnant mes larmes qui volent
L'eau coule, voulant m'inviter, me voir tomber
Et comme mon cur endommagé, me briser

La noirceur de la nuit, noirceur de mon âme
Les étoiles brillent tel mon cur s'enflamme
Dans mon cur, tout passe, toute joie s'efface
Et tel un loup dans sa meute je me cache

Mais on ne peut contrôler ses sentiments.
C'est l'amour qui choisit, c'est l'amour qui en rit
Et c'est moi qui le vit, et c'est moi qui en rit

Et l'amour,ce doux sentiments tant recherché
Et l'amour, le vilain sentiment qui m'as brisé
L'amour, donne de l'espoir pour te le voler


Note sur 20?
On est d'accord c le pire poème que j écrit dans 14 ans moins 11 jours

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