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Erin

Cette soirée a été très mais alors très fatigante, mais je remercie Jon de m'avoir laissé bosser ce soir. J'en ai vraiment marre d'être à la maison puis je n'aime pas trop rester à la maison sans rien faire, je crois que j'ai vécu bien longtemps dans une pièce refermée pour ne pas en profiter maintenant.

Après avoir tout bien nettoyer et ranger et avoir dit bonne nuit a Jon et mon équipe je me dirige à ma voiture et conduit jusqu'à la maison. J'espère sincèrement que Alexander ne soit pas là ou s'il y est qu'il soit de bonne humeur car je commence vraiment à en avoir marre de lui et de son humeur massacrante, je n'ai vraiment pas besoin de tout cette négativité dans ma vie.

Lorsque je me gare une moto y est mais je ne fais pas très attention même si elle me paraît bien familière je fait abstraction et continue ma route en entrant dans la maison. Une fois le pat de la porte franchis, Enzo se lève, il était assis sur les premières marches des escaliers. Son air à l'air grave, mon dieu, Alexander a encore dû péter les plombs et il s'en ai pris a lui.

-Dieu merci tu va bien. Dit t'il en me prenant dans ses bras.

Il est clair que notre relation ai évoluée mais pas a ce point là, du moins c'est ce que je croyais.

- Écoute si c'est à cause d'Alexander je vais lui remettre les pendules a l'heure.

- Il n'a rien fait mais tu devrais aller dans le salon.

Son air à l'air inquiet, je n'ai jamais vue Enzo de cette manière, c'est vrai, qu'il est plutôt distant, l'air grave voir menaçant mais je ne l'ai jamais vue comme ça, inquiet et cela m'inquiète.

Sans dire un mot je fait ce qu'il m'a dit, il est derrière moi et me suis de très prés. Lorsque j'arrive dans le salon je suis sous le choc, mais qu'est ce qu'ils font là. Il se passe quoi ici ?

- Papa ?

Tout le monde ce tourne vers moi et ils sont tous soulagé de me voir. D'accord, si personne ne m'explique ce qu'il se passe je pense que je vais péter les plombs.

Mon père se jeté sur moi et me serre fort contre lui.

- Il se passe quoi ?

Alexander se racle la gorge tandis que Parker ne me lâche pas du regard. Oui, Parker est là, dans cette maison avec mon père et Alexander. Depuis quand ils se connaissent ? Puis c'est quoi ce merdier.

- Je vous parle ! Quelqu'un m'explique ce qu'il se passe ! Dis je assez énervée.

- Tu devrais t'asseoir ! Me dit Alexander

- J'en ai rien à foutre de ce fauteuil, racontez moi tout de suite sinon....

- Sinon quoi ? Demande pour la première fois Parker

- Sinon je me casse et vous n'aurez plus jamais aucune nouvelles de ma part !

Ils se regardent tous, je crois que ma menace prend tout son sens. Mon père se racle la gorge.

- Très bien, on va commencer par le début.

- Aucun mensonge, aucun élément oublié compris ? Dis je en les pointant tous du doigt

Tous hochent la tête puis je m'installe sur le fauteuil près de Parker, c'est une coïncidence alors ne vous enflammer pas, je lui en veux toujours.

- Tout a commencer lorsque tu a disparus, tout le monde dans cette salle connais l'histoire alors je vais sauter cette partie. Dis mon père.

Je sais que cette épisode de sa vie lui  fait mal, je dirais même que lorsqu'il en parle ça le tue petit à petit.

- Les premiers jours, semaines j'ai laisser faire la  police, j'avais confiance en eux, je pensais sincèrement qu'ils te retrouverons mais j'avais tord. Plus les jours passaient plus j'avais l'impression de te perdre et c'était inconcevable pour moi de perdre la seule femme de ma vie. Après une année sans te voir, te toucher, sentir ton odeur ou même te parler j'ai décidé de contacter un vieil ami a moi. Cet ami est le père d' Alexander, je ne savais pas qu'il avais un fils, on avais perdu contact après la fac. Je ne l'ai plus jamais revue, j'ai pris l'avion et je suis partie en Russie. Je lui ai alors demandé de l'aide pour te retrouver. Sans aucune hésitation il m'a offert son aide, il a envoyer des hommes a ta recherche, dans différents États des États -Unis mais aussi dans le monde. Tout le monde te recherchais.

Pris au piège Où les histoires vivent. Découvrez maintenant