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Mason Parker ( petite frère de Parker)

Erin
J'ai mal, vraiment très mal. Je ne sens aucune partie de mon corps Mais je continue à marcher. Si je veux m'en sortir je dois continuer. Mes pieds me font horriblement mal, je suis presque nue. La seule chose qui couvre mon corps c'est un bout de tissu blanc et encore il est plus noir que blanc. Je ne sais pas où je suis, il n'y a aucune civilisation autour de moi, la forêt voila où je suis, en plein coeur d'une forte. Je n'ai aucun repère. Mon corps n'est plus que os, j'ai maigri je le sais rien qu'en voyant mes jambes, je tiens sur deux cures dents. Mes blessures me fo t mal, mon corps réclame de m'arrêter mais mon cerveau m'ordonne de continuer alors c'est ce que je fais. Si je m'arrête ils me retrouverons. Je marche pendant toute la nuit je ne sais pas qu'elle heure il est, je ne sais pas depuis combien de temps je marche Mais je continue. La seule chose qui m'empêche de m'arrête c'est DE retrouver mon père, il doit être fou d'inquiétude. Je commence à courir car je sais qu'ils sont derrière moi, je peut les entendre.

Lorsque je me réveille en sueur, des Bras me tiennent fermement. Sans perdre une seconde je le serre d'avantage, les larmes coulent. Il me caresse le dos et me chuchote des mots doux pour me calmer et ca fonctionne. J'avais oublier à quel point il avait cet emprise sur moi.

- Erin tu veux en parler ?

Je sais qu'il meurt d'envie de le savoir et je sais aussi que je peut lui faire confiance alors pourquoi pas lui en parler. Me livrer un peu de ce fardeau.
Je me détache de lui et prend une forte inspiration.

- Je dois juste te prévenir que ça peut te choquer, que tu me verra sûrement d'un autre œil.
- Je t'aimerai toujours autant.
Il m'embrasse le front puis je me lance.
- Comme tu sais je me suis faite enlever par ma mère et son copain, j'ai été torturer et violer pendant plusieurs mois. Que j'ai tuer un homme pour me sortir de cet enfer. Même si je m'en veux terriblement d'avoir fait ça je peut t'assurer que je le referais si c'est pour sauver mon cul. Si tu veux que je te disse ce n'étais même pas le plus dure, le plus dure c'était de sortir de cette forêt car bien évidement ils m'ont enlever et emmener dans un coin tellement perdu que j'ai cru mourrir dans cette forêt. J'ai courus pendant trois jours, sans boire et sans manger. Je ne dormais pas, je ne pouvais pas m'arrêter alors lorsque mon corps voulais s'arrêter je ralentissais. Je savais que je ne pourrais pas m'arrêter pour reprendre mon souffle car ils étaient là, derrière, á ma recherche. Puis un soir, j'étais tellement faible, j'avais tellement froid que j'ai cru que mon heure était arrivée. C'est la seule fois où je me,suis arrêter car aucun DE mes membres ne m obéissaient. Je suis tomber par terre, mes jambes n'étaient plus celles que je connaissaient, elles étaient maigres, sales et surtout remplis de bleues. J'ai alors pleurer et pleurer pendant des heures, je suppliais dieu de me ramener vers lui, de mettre fin à cette souffrance mais mon heure n'est jamais arrivée et je lui en voulais. J'en voulais au monde entier, je me disais que c'était sûrement mon destin, que je devais mourir dans ses conditions atroces. Pendant que je pleurais, mes hommes de Juan s'avançaient de plus en plus près, puis j'ai entendu du bruit au loin, des hommes parler. Je savais qu'ils étaient loin Mais je devais continuer d'avancer alors j'ai pris sur moi, je me suis lever malgré la douleur et j'ai courus. Encore et encore, de plus en plus vite sans m'arrêter. La seule chose qui me motivais c'était la promesse que j'avais fait á Stuart. Puis j'ai trouver une route et je me suis dit que c'était un signe de dieu, que au final il ne voulais pas que je meurt. Alors j'ai courus encore et encore jusqu'à me retrouver en pleine ville. Les gens me regardent comme si j'étais folle, ils essayaient de m'approcher mais j'avais peur qu'ils fassent parti des hommes de Juan. Alors je me suis assise par terre tellement fatigué. Un homme d'environ 50 ans m'a donner une bouteille d'eau et m'a ordonner de boire, c'était la plus belle chose que j'avais vue. De l'eau. Curieusement, j'ai eu confiance en lui, il a commencer à me donnée à manger qu'il avait acheter plus tôt dans le magasin juste face à nous. Il s'est assis à une distance convenable de moi et il parlais. Jamais il m'a demander ce qu'il m'étais arriver, qui j'étais ou d'où je venais. Il se contenait de parler de lui et de sa famille. Puis l'ambulance et la police est arrivée et je me suis mise à pleurer car je savais que je venais d'être sauver, que j'étais en sécurité. Puis grâce à mon ADN ils ont sur qui j'étais. Ils ont appeler mon père et qu'est ce qu'il pleurait, ca me fessais du mal de ne pas le prendre dans mes bras car malheureusement personne n'arrivais à me toucher. J'étais beaucoup trop choquée et terrorisé. Les premiers mois étaient difficiles. Je ne parlais pas, j'étais un fantôme. Puis le procès est arrivé, les médias aussi et ils empiraient la situation. Toutes leurs questions étaient terrifiantes. Puis j'ai tout raconter à la cours, ce qu'ils m'avaient fait, ce qu'il c'était passée. Plusieurs médecin ont pris ma défense grâce aux testes, l'avocat de ma mère voulais me jeter en prison pour avoir tuer cet enculer. Mais mon père et mes amis n'ont rien lâcher et me voila aujourd'hui.

Pris au piège Où les histoires vivent. Découvrez maintenant