Partie 13

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Il m'attrape par Le Bras. Et approche dangereusement son visage du mien

Yassine: À quel jeu dangereux tu joue, Ibtissam?

Moi: POUAAHHHH RECULE ! TU PUE D'LA GUEULE C'EST GRAVE.. MAIS TU .. TU A BU!!??

Yassine me pousse violemment contre La voiture

Yassine: Mes activités ne concerne que moi , Ibti.

Moi: PUAHHH MAIS ! Tu me dégoûte Yassine!

Je ne le reconnais pas.
Il a changer , je ne sais pas si c'est à cause de moi Mais il a changer..
Il n'avait jamais toucher à une seul goutte d'alcool avant !
Je ne le reconnais pas.

Moi: Lâche moi.

Il me rit au nez, comme si Il ne m'entendais pas.

Je commence à lui mettre des coups de points sur Le torse.
Il rit de plus belle, mes coups n'avaient aucun impact sur lui.

Je fini par réussir à me libérer de son emprise. Et je commence à me diriger vers l'hôpital.

Mais il en décide autrement et prit une nouvel fois La parole:

Partie 13

Yassine: N'oublie Pas , Ibtissam ****** (mon nom de famille) , A partir de demain tu va vivre sous MON toit, seul Dieu sait ce qui pourrait t'arriver !

Et Il rit de plus belle , je retourne à l'intérieur de l'hôpital sans prendre compte de ce qu'il m'a dis

Je remarque que Walid était devant la porte .. ce qui veux dire qu'il a tout vu. (BRAVO! TU EST VRAIMENT TRÈS INTELLIGENTE IBTI!!)
BREF!

Walid: Euhh.. ça va ?

Je lui fais mon sourire Le plus faux

Moi: euh, Oui ! Très très bien!!

Walid: mhhh. Viens on rentre à l'intérieur

Bon. Il n'est pas convaincu.. Pas convaincu DU TOUT.

On rentre dans l'hôpital et je tend la veste à Khalti.. je lui en veux un peu !

Khalti me sourit et nous dis que Walid va nous ramenez chez nous pour qu'on prennent nos affaires puis que Le lendemain Il viendra nous chercher vers 15 heures.

Soumia, Walid et moi nous dirigeons vers la voiture et Il démarre.

J'appelle Léa :

📱Conversation téléphonique 📱

Moi: Allo..

Elle: Oui?

Moi: Euh, Demain on pourra pas se voir, je suis désolé , Jai trop de problème La..

Elle: comment ça ? tu m'explique ?

Moi: je peu pas pour l'instant , Mais en gros ma mere est tomber dans le coma et je dois aller vivre chez Samira.

Chronique d'Ibtissam : "La parole est d'argent, le silence est d'or"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant