Ma Rubi

"1👩Elle👩"

" Une action détermine qui vous êtes"



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J'étais dans un appartement lugubre, qui me fait froid dans le dos, pour régler ce gros problème, avec ce mafieux, qui bouffe du terrain, sur mon territoire. Ça m'énerve énormément, qu'il veut me faire de l'ombre. Comment ose-t-il diller de la drogue, dans le lieu que je dirige! je suis tellement énerver, que même mes gardes du corps, ressentent de loin mon mauvais aura, ils n'osent même pas ouvrir la bouche, sous peine de me contrarié et de recevoir une balle en pleine tête.

Dans l'entrée du bâtiment, l'odeur nauséabonde, me donne l'envie de rendre mes tripes, j'ai envie de prendre mes jambes à mon coup et retourner dans mon villa luxueux, je ne suis pas habituer a tant d'insalubrité, mais pas question qu'il me considère comme un lâche, on a un rendez-vous, je dois m'y tenir et le respecté. Il faut que je règle ce petit problème, tout seul, tout de suite et c'est aujourd'hui que je dois le faire, il ne faut jamais remettre à demain, ce qu'on peut faire le jour même, dit si bien le dicton.

Près de la porte de la chambre la plus éloignée de l'appartement, j'entends des sons étrange. Quand j'ouvre la porte, j'entends des gémissement étouffer, j'allais me rétracter, mais cette voix est une douce supplice a mes oreilles, la façon d'on cette femme supplie son bourreau de la laissée partir, me transperce le coeur, faudrait être un monstre pour ne pas la relâchée, je sais que moi aussi je suis un monstre et que parfois je tue pour le plaisir et que tous ce qui osent me regardé avec dédain, ou osent soutenir mon regards, meurt d'une lente agonie en me suppliant de ne plus continuer de déchiqueté leurs membres un par un, je sais que j'aime voir souffrir les autres et que j'aime la peur qui se lit dans leurs yeux et les frissonnement de terreur qui leur font pisser dessus en m'entendent parler. Mais je ne force aucune femme à faire ce que je veux et contre leur volonté, c'est d'une lâchetés, c'est tellement exaspérant. Je n'ai pas de pitié pour personne et tout le monde ce plie à mes désirs, d'une façon ou d'une autre, mais jamais j'ai utiliser de mon pouvoir, pour pouvoir abusé d'une femme, à mes yeux elles sont plus que ça, je ne dit pas qu'elles méritent de faire ceux qu'elles veulent, mais elles méritent d'avoir le choix de vouloir partager une nuit avec nous ou pas .

C'est cette voix si douce, qui me fait sortir de ma transe.

- Je vous promet, tout ce que vous voulez, lâchée moi.

- S'il te plait ne fait pas ça, à l'aide, au secours. Dit-elle d'une voix étouffée par les sanglots.

- Tu peux crier tant que tu veux salle chienne, personne ne viendra t'aider.

- Non arête......

Ses cris et ses pleurent son étouffer par une claque, ça me fait vraiment mal, je ne connais pas cette femme, non loin de la, mais c'est comme si sa douleur était ma douleur, comme si ses pleures deviennent instantanément mes pleures, mon coeur se déchire et je traverse ce grand couloir non éclairé et qui fou la trousse.

Cet endroit n'est vraiment pas pour une femme.

@Z❣S

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