" 44 🥺 Peur de te perdre 🥺 "

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Elle a passée la journée à vomir et elle refuse de manger quoi que ce soit m'a dit Martha au téléphone.
J'annule de suite ma réunion et la renvoie pour une autre fois et me dirige rapidement à la maison.

En toute hâte je rentre chez moi pour pouvoir être avec elle, parce que je déteste quant elle ne se sent pas bien et que je ne suis pas la pour la réconforter et la prendre dans mes bras.

Arrivé je monte quatre par quatre les marches de l'escalier et déboule dans notre chambre, je ne la trouve pas je me dirige dans la douche et je la vois dormir par terre, je regrette de ne pas avoir été là avant, je la porte à son lit et me couche avec elle.

Elle tourne dans tout les sens dans le lit, puis fini par ouvrir grandement ses beau yeux et cour dans la douche pour pouvoir vomir encore une fois.

J'arrive rapidement derrière elle, je tiens ses cheuveux puis caresse doucement son dos.
Quand elle fini je l'aide à se relever et la conduit prendre une douche, je l'aide à prendre son bain, l'habille puis la dépose encore une fois sur notre lit.

- Merci Oli.

- Je t'en prie mon amour, laisse moi me changer puis après j'appelle rapidement le docteur pour qu'il puisse venir t'osculter.

- C'est rien mon chéri, c'est le poisson d'hier soir qui ne passe pas très bien.

- Tu es sûr.

- Oli ne t'inquiète pas, je vais très bien maintenant.

- Comment ne pas m'inquiéter je t'ai vue allongée sur le sol de la salle de bain.

- Je me suis juste assoupie, par ce que j'avais sommeille c'est rien chéri.
Elle prend mes mains et la dépose sur son front.

- Tu vois je n'ai même pas de fièvre, ça va vite passer.

J'embrasse son front puis m'allonge tout près d'elle. Elle me demande de lui raconter ma journée et c'est ce que je fais, rapidement elle tombe de sommeil, le bruit apaisant de sa respiration me calme et rapidement moi aussi morphée fini par me prendre dans ses bras.

Rubi se porte à merveille, maintenant il faudrait que je retourne au travail même si elle m'a promit d'aller voir son docteur pour que je sois certains que c'est rien de grave.

Arrivé au bureau je me concentre sur ce que j'ai à faire mais je reçois un appel d'urgence, le cartel du Sud veux une rencontre rapidement avec moi, ne sachant pas le but de leur intervention je suis un petit peut réticent mais son chef voulait que ce soit moi en personne qui y assiste.
Je ne pouvais pas déléguer une autre personne, car selon lui cette réunion est important pour le bon fonctionnement de nos affaires.

Je dis à ma secrétaire de renvoyer tous mes autres rendez-vous parce que je ne sais pas pour combien de temps je serais absent.

Mais arrivé au parking ma voiture ne voulait plus s'allumer, essayant de le faire démarrer ça ne marchait pas, levant le capot je vérifie et tout me paraissait normal.

Voyant l'heure passé à toute vitesse j'ai fait appel à mon chauffeur pour qu'il puisse me venir en aide mais il m'a dit que Rubi n'était pas encore à l'hôpital, qu'elle ne se sentait pas bien et que ça la retardé de quelques heures.

D'un coup je suis stressé et angoissé, je savais qu'elle me cachait quelque chose et j'espérais sincèrement que ce soit rien de grave par ce qu'elle représente ce qu'il y a de plus précieux dans ma vie, puis je ne voulais pas l'intimider pour qu'elle puisse me le dire, je souhaitais sincèrement qu'elle le fasse de son propre plein gré, alors je calme mon côté calculateur et dominant puis lui laisse du temps er de l'espace, c'est pourquoi je lui ai rien dit.
Essayant de me débrouiller tout seul je n'ai pas vu le temps passer.

- Monsieur je suis là.

Je le regarde étonné et lui dit rapidement.

- Où est ma femme.

- Madame avait envie d'un café elle est partit la chercher au starbucks en face de l'entreprise.

- Tu l'as laissée y aller toute seule.

- Je je je ....

- Bon vas-y laisse tomber, je vais aller la chercher de suite, mais toi pendant ce temps essaye de voir si tu peux faire redémarrer la voiture, sinon appelle sur-le-champ une dépanneuse.

- Oui monsieur.

Je sors aussitôt du parking et me dirige à l'endroit exacte ou il m'a dit qu'elle était mais en arrivant devant l'entreprise j'entends le crissement d'un pneus.

- Rubi fait attention à toi.......

Mais c'était déjà trop tard la voiture l'a déjà frapper de plein fouet, et son corps roule comme une masse sur l'autoroute.
Allongée par terre je cours la prendre dans mes bras et la supplie de ne pas m'abandonner.
Je crie son nom encore et encore mais rien n'y fait ses yeux ne s'ouvre plus.

Ma RubiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant