" 39 😎Faire de plus ample connaissance😎"

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Je suis réveillée depuis longtemps, je sens que je suis attachée sur une chaise et qu'il met impossible de trop bouger, je ne sais pas depuis combien de temps je suis ici, ni quel jour nous sommes, ni quel heures il est parce que j'ai perdu toutes notion du temps, mais je ferme toujours les yeux par peur en les ouvrant de devoir affronter mes démons, peut-être que c'est une mauvaise idée de ne pa vouloir les ouvrir parce que je revis sans cesse mon premier enlèvement et cela me donne encore plus la trouille.

Ça peut paraître absurde mais j'ai peur qu'il soit revenue d'entre les morts et qu'il essaie encore une fois de me me faire du mal ou qu'il parvient à me violer cette fois si parce que la personne qui m'a fait enlevée ne sait pas encore manifesté que ce soit physiquement ou verbalement, je n'arrive plus à retenir ma respiration et je suis plongée dans une crise de panique, je revois encore et encore ce jour ou j'ai faillit tout perdre.

Je suis comme en transe parce que je entrain de revivre ce jour en boucle et je frisonne de plus en plus de terreur, pitié que quelqun me sort de ce cauchemar, qui que ce soit pour l'amour de Dieu vient moi en aide.

J'entends clairement son timbre vocal grave, dénoué d'émotion et remplie de sous entendus qui me donne envie de vomir qui me chuchote à l'oreille d'ouvrir mes yeux, je me débats comme je peux pour sortir de ce cauchemar, mais je suis comme en apnée, je crie, je pleure encore plus fort mais personnes n'est la pour me venir en aide.

- Tu es sûr de ne pas vouloir ouvrir tes yeux? Me dit-il d'une voix grave et sadique.

Je secoue la tête pour lui prouver que non, quelques secondes après je ressens un coup de poing bestial en plein ventre qui me fait cracher du sang, la douleur était tellement réelle que je ne peux m'empêcher d'ouvrir immédiatement les yeux et il était la, oui cet homme de la trentaine qui a une grosse cicatrice sur la joue droite était devant moi, je le vois qui me dévore des yeux avec dédain et envie, je sens ses caresses tout le long de mon corps, puis ses grosse mains dégoûtantes malasque mon sein droit avec plus de force, ensuite il glisse ses doigts sous ma robe puis déchire ma culotte, ses doigts sont rêches sur mon clitoris ce qui fait que je ferme mes pieds, ses mains sur mes cheveux avec force me fait encore plus de mal, maintenant il commence à se déshabiller, je le supplie du regard d'arrêter, mais il me fusille à son tour du regard puis se positionne devant moi tout en se masturbent j'ai envie de vomir, quant je le vois aborder avec ses dents jaunâtre un sourire de psychopathe, sa bouche dégueulasse ce pose sur la mienne et il essaie de m'embrasser avec fougue, je lui mord la lèvre inférieure de toute mes forces, il hurle mais je continue tout de même de la mâchée, il me donne des claques, mais je continue, jusqu'à sentir le goût de son sang, sa lame qui est maintenant planter dans mon ventre me fait hurlée tellement que j'ai faillit m'évanouir, il continue de jouer avec le couteau en me forçant à le regarder dans les yeux, après il frotte son érection à l'entrée de mon sexe, je me sens salit, humiliée et je suis dégoûtée de moi même, de la vie, dégoûtée de tout et de tous.

Je veux que ça cesse parce que je n'en peux plus, j'arrive presque plus à respirer, mon cœur bat tellement vite que j'ai l'impression qu'il essaie de sortir de ma poitrine. Oli je t'en supplie vient me chercher encore une fois parce que j'ai tellement peur que j'ai l'impression que je suis entrain de mourir.

J'essaie encore de sortir de ce mauvais rêve et quant j'y arrive je vois que Carlos était la depuis tout ce temps entrain de me regarder dénué de toute émotion comme un vrai sociopathe et ce qu'il me dit me glace le sang et une sueur froide coule le long de mon échine.

- Bonsoir ma belle petite poupée, le cauchemard ne fait que commencer. Dit-il d'une voix grave charger de sous-entendus, tout en explosan d'un rire cynique en voyant mes yeux effrayés.

Il me touche les cheveux d'une manière malsaine qui me déplaît fortement alors je bouge la tête dans tous les sens pour qu'il cesse de me caresser le cuir chevelu mais ça semble ne pas le déranger puisqu'il continue de les touchés comme si de rien était, Il prend une mèche l'enroule autour de ses doigts puis il hume l'odeur tout en me regardant dans le blanc des yeux, je commence à avoir de plus en plus la frousse de lui, parce qu'au fond de ses iris brûle un désir pernicieux qui est comme un brasier près à me consumer jusqu'au cendre.

Sa main descend jusqu'à atteindre ma bouche qu'il caresse de façon fourbe et sensuelle, je me retiens in extremis de vomir.

-Tu m'as tellement chauffée que tu ne sais même pas comment et tu m'as fait bandé durant toute la soirée le jour de cette fête.....

J'allais répliquée pour le démentir mais il me regarde tellement avec dédain et animosité que je ferme ma bouche et le laisse dans son délire.

- Tu sais dans ma tête maintenant il n'y a que toi, je ne peux plus dormir si je ne me masturbe pas en pensant à ton corps de déesses et à tes lèvres rose et pulpeuses, comme tu es la maintenant ma poupée ce calvaire va prendre fin. Dit-il tout sourire.

Je ne pensais pas qu'il était aussi dérangé de la tête, mais putain comme toujours je me suis trompée sur les hommes, je le regarde avec les larmes au bord des yeux tout en ayant maintenant la crainte de parler.

Son téléphone sonne il paraît un peut bouleverser, il se lève puis caresse lentement mes cheveux et me dit d'une douce voix tout en me faisant un clin d'oeil de manière salace.

- Ne t'en fait pas petit coeur je reviens tout de suite et on continuera à faire de plus ample connaissance, si tu vois ce que je veux dire.

Quand il sort et me laisse, je tourne la tête dans tous les sens espérant savoir où suis-je? Mais je n'ai aucune idée, c'est une pièce fermer car il n'y a aucun courant d'air qui passe, il n'y a ni fenêtre, ni d'autres meubles à part les deux chaises et un pauvre lit miteux renverser près d'un mur, il n'y a qu'une porte et pour simple lumière une ampoule dans le plafond qui est sur le point de claquer et qui grince quelques fois, j'ai tellement peur que mes dents grincent, mon corps tremblent, mes pensées par encore dans tous les sens, mon coeur bat à la chamade, mes joues son baignés de larmes et ma décision de ne plus pleurer pour quelque soit la personne qui essaie de me faire du mal par au oubliettes.

@Z❣S


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ZeroStress

Ma RubiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant