Os Couples Harry Potter

Tu es bien plus que mon ami

Harron  (Harry×Ron)

Harry se réveilla doucement dans son lit au terrier. C'était les vacances de noël et, comme toutes les années il passait Noël au terrier. Molly avait décidé de faire revenir tout le monde et de maintenir cette tradition même après la guerre. Après la bataille finale de septembre, les élèves ont dut rentrer chez eux pour que Poudlard puisse être reconstruit sur les zones où c'était nécessaire. À la rentrée de septembre, les élèves et les anciens septième année sont revenus à Poudlard qui était comme neuf. Au début des vacances d'hiver, le trio d'or s'est retrouvé au terrier pour célébrer Noël ensemble comme chaque année.
Aujourd'hui, le vingt-deux décembre, Harry se réjouis dans son lit bien douillet que Noël ne soit plus que dans trois jours. Il avait beau avoir tué le plus puissant mage noir de tout les temps, pendant la période des fêtes, il restait excité comme un enfant de cinq ans.

C'est donc avec le sourir qu'il se leva. Son sourir s'agrandit encore plus en voyant qu'il avait recommencé à neiger par la fenêtre. Soudain, une magnifique idée lui vint en tête.

"Ron ! Réveille toi ! Il a recommencé à neiger ! On peut faire une bataille de boules de neige ! On n'en a pas encore fait ! Allez, viens, s'il te plaît !"

Un "mmmm" endormi lui répondit de dessous la couette.

En effet, Harry et Ron logeaient dans la même chambre, ainsi que Hermione avec Ginny.

Mais Harry avait peut être perdu une bataille, mais il n'avait pas perdu la guerre. Et il comptait bien la gagner. Il prot sa bagutte sur la table de chevet, la pointa sur sa gorge et prononça un sortilège de changement de voix.
Il imita la voix de Molly Weasley:

"RONALD WEASLEY ! TU VAS DESCENDRE IMMÉDIATEMENT!"

"HEIN ? QUOI ? OUI MAMAN ! J'ARRIVE TOUT DE SUI-"

Ron était sorti en trombe de son lit, avait balancé la couette de l'autre côté et courait à présent vers la porte, en pyjama.
Il s'arrêta cependant en plein milieu de sa phrase et de la pièce quand il vit Harry en train de se tordre de rire à côté de son lit, baguette à la main.

"Hahaha... Très drôle Harry... cette fois tu m'as réveillé pour de bon !" Grommela t'il en se laissant retomber mollement sur le lit.

"Tant mieux !" Répondit Harry. "Regarde, il neige dehors ! On a pas encore fait de batailles de boules de neige depuis le début des vacances ! J'ai pensé que ce serait l'occasion d'en faire une !"

"Tu as de drôle de pensées à huit heures trente du matin..." Répondit Ron, toujours manifestement de mauvaise humeur.

"Allez, lève toi ! On s'habille, on va chercher les filles et les jumeaux et on sort !" Supplia encore Harry.

"Hmmmm... Pas avant d'avoir mangé." Répondit Ron après longue réflexion.

Harry leva les yeux au ciel. Ahh... Ron ne changera donc jamais... Il sera toujours un estomac sur pattes.

"Bon d'accord. On s'habille, on va manger et après on sort." Abdiqua Harry.

Ron se leva donc et sortit pour aller vers la salle de bain. Quand Ron eu finit, Harry entra à son tour dans la salle de bain et s'habilla également.

Quand ils furent tous les deux prêts, ils toquèrent à la porte de chambre des filles et des jumeaux et ils descendirent tous les deux préparer le petit déjeuné. Ils dirent bonjour à Molly qui était en train de tricoter devant un émission moldue qui passait à la télévision et à Arthur qui lisait la gazette du sorcier dans un fauteuil près de sa femme.

Ils s'installèrent à la table de la cuisine et commencèrent à manger en attendant les autres.
Au bout de longues minutes, deux têtes rousses identiques apparurent dans la cuisine.

"Salut Harry, salut Ron !" Dirent t'il d'une seule et même voix.

"Salut !"
"  'lut !"

Les jumeaux s'installèrent à la table de la cuisine et commencèrent à se faire des tartines de pain beurré.
Aujourd'hui, ils portaient leurs pulls spécialement tricotés par Molly où l'un avait un grand G, l'autre un grand F.

Puis les filles arrivèrent, emmitouflées dans des couvertures bien chaudes.

Tout le monde dejeunait dans la bonne humeur, en riant aux blagues des jumeaux.
Quand les jeunes gens eûrent finit, ils allèrent tous se préparer et mettre des manteaux bien chauds.
Et, enfin, quand tout le monde fut prêt, ils sortirent sous la neige.

"Bien, on va faire des équipes." Dit Fred.

"Les filles ensemble..." Renchérit Georges.

"Harry et Ron ensemble..." Continua Fred.

"Et nous deux ensemble !" Finirent t'il d'une seule et même voix.

Tout le monde approuva et la bataille pu enfin commencer. Les filles furent vite mises hors jeux par les jumeaux qui s'amusaient à les ensevelir sous la neige à chaque fois. Puis Harry et Ron réussirent à battre les jumeaux facilement, car il étaient tordus de rire en voyant la couche de neige qu'Hermione et Ginny avaient sous leur bonnet.
Ils ne restait plus qu'Harry et Ron quand Georges cria:

"Et maintenant Harry et Ron, chacun pour sois !"

"On va voir lequel de vous deux est le roi de la bataille de boules de neige !" Renchérit Fred.

Alors Harry et Ron se séparèrent et se lancèrent des boules de neige à la figure. Ron courut vers la forêt et Harry le suivit, bien décidé à lui faire manger de la neige. Ils couraient à travers les arbres, quand Harry repris l'avantage et sauta sur Ron, qui tomba à terre entraînant Harry dans sa chute. Ils se retrouvèrent tous les deux allongés dans la neige, Harry couché sur Ron, leur visage face à face.

Harry regarda les lèvres de Ron, elles étaient si tentantes...
Alors, sa raison l'abandonna et ses lèvres se posèrent sur celles de son ami. Ron ne le repoussa pas, au contraire, il approfondit le baiser.
Ils s'embrassèrent encore et encore, reprenant leur souffle à certains moments. Ils s'aimaient, et ils venaient tous les deux de s'en aperçevoir.

Ginny et Hermione courèrent vers les jumeaux qui revenaient de la forêt.

"Alors ! Vous les avez trouvé ? Qui à gagné ? Ça fait dix minutes qu'ils sont partis !" S'écria Ginny.

"Ils ne reviennent pas ? Personne n'a gagné ? Ils n'ont pas encore terminé ?" Dit aussi Hermione.

Les jumeaux se regardèrent avec un sourir complice.

"Non, ils n'ont pas encore terminé..." Dit Fred.

"Ils vaut mieux les laisser encore un peu." Poursuivit Georges.

Et, en rigolant, ils regargnèrent tous les deux le terrier, laissant les deux jeunes filles ahuris.

Ce noël s'annonçait prometteur.

FIN