Connected Stories

Prologue: A la fin ...

  Nous voici déjà à la fin de tout. Qui aurait crut que la fin serait si proche ? Qui aurait crut que George Hist meure à la fin de celle-ci ? Pas vous en tout cas et pourtant. Mais sachez une chose.

La vie n'est qu'un fil, court ou long selon le temps de notre existence sur Terre. Et celui-ci, comme tout les autres finit par cassé et nous mourrons. Mais avant cela, notre film peut rencontrer d'autres fils. Vous voyez de quoi je parle ? Et oui, tout au long de notre vie nous fessont des rencontres. Certaines insignifiantes, et d'autres au contraire magnifique. Faites pour durer ou non. Le but de ce livre, vous raconter chacune de ces rencontres.                                         

  Bien évidement, je ne suis pas le premier à faire ça. D'autres écrivains l'on fait, mais qu'elle sont ceux qui l'avouerez ? Pas grand monde. "La tour sombre" de Stephen King est le chef-d'oeuvre de l'auteur qui réunit tous ses romans passés, présents et futures. Préparez-vous à découvrir un notre monde prez du notre, bien plus prez que vous l'imaginez.              

 Tout commence à la fin

  Temps brumeux, pluie diluvienne et aussi glaciale que la glace elle même. Sur le toit d'un vieux moulin, un garçon. Celui-ci vous ait totalement inconnu, et pourtant. Vous pourriez bien l'avoir déjà croisé. Ou vue sa dernière demeure. Sa tombe. Car là ou nous commençons, son histoire prend fin. Je sais que je vous donne peu d'informations et je m'en excuse d'avance. Mais tout sera éclaircit à la fin.                                                                                                                            

 Le vent, tellement puissant et froid que ce garçon s'inflige la pire des tortures en restant sur le tout de ce vieux moulin. Un moulin pas comme les autres, il faut l'avouer. Un moulin rectangle. Je ne plaisante pas, sauf que les roues qui accueillaient l'eau qu'elles fauchés lors de leurs passages lent, ce situent à l'intérieur. Bien sure, d'autres activités pouvaient être faites dans ce grand bâtiment.  De l'ébénisterie, la construction de machine bien plus vielle que vous et moi si vous êtes née après les années 50. Mais nos grands-parents eux les connaissaient.                          

 Je ne dis pas que l'histoire va être triste, mais il y aura des moments éprouvant à certains moment. Car à la fin, nous sommes humains.                                                                                                

 L'ancien moulin, couvert en partit de lierre grimpant, comme si la nature elle même voulait cacher cette horreur aux yeux des Hommes. La cheminé, située dans la cour centrale du terrain été légèrement penché et d'un côté, le lierre l'entourant aussi, l'avais presque totalement recouvert de ses longs bras verts. Un éclair déchira le ciel, illumina dans ce jours sombre le jeune garçon sur le toit. Des cheveux roux et court, d'un gabarit svelte et des lunettes sur le nez. Il regardait en bas, le vide pure et simple. Enfin pour lui, pour nous le trottoir autrefois noire comme le néant était devenu gris avec le temps. La route étroite et encore après, séparant une rives de l'autre, une rivière agitée par la houle du vent.                                                                               

  Au loin une lumière orangée. Vers les deux point de pierres, tout deux massif, une circulation dense et une voiture grise qui ce démarqué des autres. Son phare gauche brisé en millions d'éclats. L'église sous cette angle était à la fois belle et menaçante. Les éclaires semblaient jouer avec les deux paratonnerre situé sur chacune des deux tours. La mairie de la ville semblait normale, mais pourtant un je ne sais quoi semblait trahir cette normalité. Une Apocalypse ? Une catastrophe naturelle ? Une attaque ? 

  Une fin parfaite pour ce livre. Une question qui se pose, mais nous ne savons pas laquelle.           

  Un dernier soupir pour le garçon car son heure sonne, et la mort attends. L'eau sur le toit avec de légère craquelure, fait s'infiltré le liquide transparent à travers les différents étage ou le plancher manques à certains endroits. Et encore un éclaire près du moulin déchire le calme pourtant faux de la situation.                                                                                                                             

   L'adolescent prend ses lunettes en mains, puis les lâches dans le vide. Comme si le temps se ralentissait, la monture et ses verres liées tombèrent au ralentit. Avant même que celle-ci ne touche le sol, notre personnage lui aussi se lança dans le vide. Les lunettes atterrirent au sol, fessant un rebond. L'un des verres se détacha de la monture pour aller deux centimètres plus loin. Le séparant de son jumeaux et de la monture fessant office d'habitacle.                                     

  Bizarrement, aucun corps ne vint les rejoindre. Même pas une goûte de sang ne vint tâcher le sol humide et immaculement gris. Un bruit pourtant, celui d'un corps qui s'écrase contre le sol se fit entendre. Mais toujours aucun corps. Pourquoi ?                                                                               

   Aucun Homme sur Terre n'aurait put échapper à cette chute. Et pourtant, le tic tac du temps poursuit son cours. Enfin, c'est ce que l'on croit. Mais tout ce que nous voyons n'est que foutaise. Car, à la fin tout n'est pas expliqué.