Bien,cela fait longtemps que je ne t'ai pas parlé n'est ce pas? Tu sais tu es un peu ma confidente. On as joué longtemps ensemble,tu te souviens? Je gagnais toujours,mais de peu. Une fois j'ai bien cru que ce serait toi qui allait gagner et j'ai eu peur. Une peur immense qui montait dans mon ventre. C'était horrible. J'espère gagner la bataille finale.
Meme si parfois, tu sais, parfois, je me dit que ce serait bien que je perde. Mais ce serait une défaite éternelle. Ça abrégerait mes souffrances. J'en ai marre de voir le regard inquiet des médecins lorsqu'ils me voient branchée. Je suis lasse de jouer avec toi à ce petit jeu.
Pourquoi ne me prend tu pas,hein la mort?
Je n'aurais plus à me battre.
Je n'aurais plus à faire de chimiothérapie.
Je ne verrais plus papa et maman pleurer.
Foutue cancer. Mais je doit me battre contre toi. Et je gagnerais,je le doit.Dans la chambre au murs blancs, trônaient un lit, une petite table et un écran noir. Pas loin du lit,tout un matériel de soin. Une jeune fille se reposait sur le lit,les yeux fermés et les bras tombant dans le vide. Elle avait l'air fatiguée et ses joue témoignait d'une récente crise de larmes.
Sur la petite table, on pouvait apercevoir une fine couche de poussière, la chambre 314 était moins utilisé qu'avant. Un carnet et un stylo y était disposée. L'écriture était maladroite et les pages étaient sales.Dans la salle plusieurs bruits étaient distincts : la re pirate on lente et saccadée de l'adolescente; les cents pas de ses parents et les bruit stridents des machines autour du lit.
Les infirmières allaient et venaient dans le couloir. Les patients attendait et s'indignent de l'attente.
Et dans une chambre du troisième étage,une adolescente s'était battue jusqu'au bout,mais le cancer avait gagner. En ce samedi de mars,Emma s'eteindrait.Dans une villes pas loin de là des cris retentissaient . La panique était à son comble. Le sol blanc était désormais jonché de cadavres et de sang.
La folie humaine se refait ait dans les yeux des tueurs.
Les terroristes attaquaient. Une femme voulait pleurait car son enfant était à ses pieds. Il gisait, le sang coulait de ses tempes. Il n'avait que cinq ans. Il était mort.Peu importe le jour,la date,le lieu où la raison. Nous mourrons tous un jour.