Juste... Je t'aime

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Sur un banc, dans un parc, se tenait assise une jeune fille. Ses cheveux noirs de geais lui fouettait le visage et ses yeux observaient au loin. Ce qu'ils observaient?   Je ne sais pas.
Pourquoi elle était là?  Je ne sais pas non plus. Mais ce que je sais en revanche, c'est qu'elle attendais.

J'attendais, les yeux vers le lointain. Sur le banc ou jetait assise, il n'y avait jamais personnes ormis moi. Les gens m'évitaient mais cela me convenait. Je ne les comprenais pas. Mais ce matin où le soleil éclairait les balançoires et maveuglait, une ombre me recouvris.  Je leva la tête pour observer la masse sombre et frêle. Une fille me regardais avec un sourir au lèvres.  Je ne l'avais jamais vu ici. Ses yeux vert tout droit tirer d'un lacs me devisageais comme ceux d'un enfants.
Elle s'assit.
"Salut, moi c'est Emma, tu dois être Sally. 
On m'avais dit que tu n'aimais pas grand monde. Mais ça va changer!"

Elle m'avait dit ça en souriant, toute enjouée. J'allais lui prouver qu'elle avait tord. On as discutée, ris...
Je l'ai même invitée au bout d'un mois. C'était la seule personne que j'appréciais.
J'avais appris à la connaître, à rire avec elle et elle a rire avec moi. Je l'ai connus appréciez et aimer.
Je l'aimais, voilà la réalité. Et je ne pouvais pas lui dire. Alors j'ai fais comme si de rien n'était. C'était de plus en plus dur.
Et puis, un jour d'avril ou les oiseaux chantaient et les fleurs s'épanouissaient, elle m'a embrasser. D'un baiser chaste mais réel. Elle m'a regardé de ses yeux rieurs, ma souris puis à ris. Moi aussi j'ai souri. Puis je l'ai embrassé. J'ai appuyé mes lèvres contre les siennes.
Elle est restée stoïque un instant, puis à répondus à mon baiser. Nous étions heureuses!
Nous étions amoureuses ET heureuse.

Puis un jour elle était à l'hôpital. Je ne savais pas pour quoi. J'ai continuée à la voir. Je l'embrassait, la faisait faiblement sourir. Alors que je lui car essais le visage, une infirmière est entrée
" Tu as ta chimiothérapie ce matin."

Emma avait un cancer. Elle savait que c'était incurable. Elle est partie pour sa chimiothérapie.  Je suis retourné la voir le lendemain. Elle était en train de mourir. Et elle m'a soufflé ces quelques mots.
"Juste... Je t'aime"
Elle l'avait dit en un souffle saccadé. Je lui ais dit que moi aussi je l'aimais.  Puis elle s'est éteinte dans la chambre de ce maudit hôpital.
La chambre 314.

Je suis allé  à l'enterrement. Et sur sa tombe nous avons gravé "Juste... Je t'aime." Il y avait mon nom en dessous de cette phrase. J'ai  pleurer tellement longtemps que j'en était d'ésidrater
Je l'aimerais à jamais.

poèmes d'une Fille Triste Puis HeureuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant