Lorsque la nuit tombe, les démons dansent. Les corps deviennent froids et ont se délecte de sang brûlant. Les cris se perdent dans le grand silence. La lune est nôtre et le soleil est leur. Rouge et noir tel des soldats de l'enfer. Nous marchons sur...
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Australie
Tout a commencé par quelques disparitions. Puis, nous avons trouvés des corps couverts de morsures canines. Les marques avaient clairement été faites par nos semblables. Le phénomène se reproduisait de plus en plus avec le temps. Nous sommes passé de 5 morts au causes similaires à 100 morts en six mois. Je fais parti de l'équipe affiliée à cette enquête et j'espère que nous trouverons vite le coupable.
- Léonard, 19 février 1801
Les livres qui nous ont été légués par nos ancêtres ne parlent nullement de ses créatures sadiques.
-Léonard, 25 février 1801
L'équipe et moi avons trouvé des ressemblances sur les corps morts; les corps sont en désintégration, ils n'ont plus de sang, il ne possèdent que des marques de dents.
-Léonard, 5 mars 1801
J'ai parcouru une bonne partie du monde. Personne ne connaît rien de cette espèce.
-Léonard, 3 août 1801
Ils sont sept, sept monstres parcourant notre pays et tuant nos civils. Nous devons collecter d'autres informations sur ces créatures. Nous devons faire une fiche pour prévenir les autres.
- Léonard, 10 août 1801
Les démons de la nuit sont des créatures en constante recherche de sang ou de chair fraîche. Ils ne digèrent plus les animaux, seule nôtre espèce; les loups garou. Notre pays a été mis en quarantaine et nous mourrons tous un à un durant les nuits. Espérons qu'ils disparaissent eux aussi.
- Léonard, 23 août 1801
Ils ont commencés par ravager les villages, bientôt ils arriveront en ville. Il est vrai que j'ai peur pour ma vie. J'espère qu'ils mourront. Il paraît que ces démons se sont associés avec l'enfer. Des loups-garou qui ne peuvent que manger leur anciens semblables.
-Léonard, 15 septembre 1801
Ils sont arrivés en ville. Mes compères sont tous morts. Je me suis réfugié dans un sous-sol de maison. Personne ne sait où je suis. Je m'étais préparé; j'ai assez de nourriture pour survivre un moment. J'ai peur, mais j'essaie de rester calme pour ne pas me faire remarquer.
-Léonard, 30 septembre 1801
Sa pue le sang à plein nez. Je ne dors plus, c'est impossible. Les cris, les grognements et les bruits horribles des corps se fessant déchirés se font entendre tout les soirs.
-Léonard, 9 octobre 1801
Ils l'ont déchirée. Ils sont là, ces démons sortis de l'enfer. Certain possèdent des cornes, des ailes, une queue ou même des yeux rouge sang tel ceux des dragons. Ils m'ont vu, je suis mort. Adieu et bonne chance.
