Un être nous manque, parfois très cher. Seulement les souvenirs restent et pour moi... je m'en rappelle... ma petite, blanche colombe me manque. Je l'aime... Je l'ai toujours aimé même si le ciel me l'a pris. Cet être de lumière, disparu de ma vie rendant chaque jour de plus en plus difficile à vivre. Il me manque... Je me répète mais je m'en fous... Sa mort a été horrible... Pourquoi ne peut-on pas l'enterrer? Parce que sa vie s'est retrouvé écrasé ! Un bloc de pierre sculptée en forme de croix ! Montrant que c'est ce seigneur de la vie! Qui me l'a enlevé ... seulement un soir... Je l'ai vu... Rayonnant et brillant d'une lumière Angélique. De belles ailes blanches dont les plumes se perdaient à ma fenêtre et un sourire que je n'ai jamais vu chez lui. Je me demandais même si c'était lui, mais c'était sur mes larmes, que je sus que cet ange était le miens. Il disparaît... Je le pleure, le mouille de larmes. Je cours et essaye de garder ses plumes... Mais elles disparaissent avec lui. Je crie, hurle sa mort à chaque fois que je retourne dans cette chapelle maudite, bâtiment de souvenirs mais aussi de cauchemar... je le veux à nouveau, l'enlacer, le protéger avec mon corps mais il n'en est rien... vu que c'est lui qui s'est sacrifié à ma place... mon ange disparu, errant dans les rues macabre ne pouvant atteindre la lumière... C'est de ma faute...
Je l'empêche de voler et franchement... J'aime ça. Je ne connaissais pas mon côté sadique mais je l'ai trouvée il est adopté... Pour notre plus grand malheur. J'en souffre plus que lui... Je ne me reconnais plus... La mort ammène plus qu'une tristesse cela amène une rage! Voir des gens refaire leur vie si facilement provoquant un désarroi et une envie de tuer intense... Leurs vie m'apporte peu mais leur malheur oui. Je te voulais... Je t'ai gardé. Vous savez comment ? Je lui ai arraché les ailes, les exposés sur mon mur. Et son corps ? Je le préserve enchaîné à moi il est mon serviteur et ce pour toujours... Parfois je le regarde, enchaîné du pied au sol et se laisser tomber sur le lit blanc luisant comme son âme rempli de gentillesse. Je le vois, son regard, triste ce qui déchire mon cœur mais qui accentue mon côté sadique, ce côté interdit. Seulement pourquoi me souri-tu... ? Ne me regarde pas... Ne pose pas tes doux yeux verts sur moi... Pas cette tristesse et gentillesse mélanger ensemble. Des fois, tu me demandes « pourquoi ? » mais je te réponds par un silence et un regard qui en dit long... Je ne peux confronter ton regard tapisser d'étoiles, montrant ton pardon et ta paix. Seulement tes yeux se briseront, se déchirerons tel une relique de grande valeur frappé par un pauvre chat. Pourquoi me dis-tu encore « je t'aime et je resterai à tes côtés Joseph » avec un sourire qui a le don de me faire regretter de te garder aux côtés d'un monstre. Le monstre que je suis devenu... Ahh... je veux hurler... sortir mes vrais sentiments et te dire ces mots qui brûle, cœur et âme... un simple... Je t'aime. Un jour, tu es venu alors que j'étais mal... Tu m'as soigné... Tu m'a guéri. J'avais besoin d'un amour, un peu de tendresse venant de ce monde, venant de toi, Caesar. J'avais besoin d'une colombe. Tu as été ma colombe... ma colombe quand tu liras mes pensées dans mes livres, ma lettre... Je ne serai plus... Tu te diras que mon âme devait être libre avec toi mais arracher des ailes et t'avoir enlevé aussi elle m'a valu un aller en enfer... Je t'aime... Je veux juste que tu le saches, je ne te voulais aucun mal... mon âme est corrompu par un esprit, une personnalité que je ne connaissais pas... Tout est de ma faute... pardonne-moi... je ne suis qu'un incapable, un faible ! Trouve toi une femme qui te conviendra... Tu sais... J'aime ma colombe ! Ma belle colombe doré aux yeux émeraude reflétant mon âme d'une façon douce, voire adorable. Je t'aime tellement... Seulement la feuille arrive à sa fin, tout comme moi et si j'avais plus de place j'aurais écrit des tonnes et des tonnes de « je t'aime» encore et encore. Seulement... Ma vie arrive à sa fin et les larmes abîme la feuille de plus en plus. Prends les clés qui sont dans ma poche, celle de mon long manteau noir reflétant ce qu'est devenu mon âme... c'est deux clés de mènera à la liberté... Pardon... Et juste un dernier petit « adieu... ».JosephJoestar,
Désolé d'avance pour
mon cadavre sur la table~~~~~~~
C'est un homme tremblant et en pleurs qui s'effondre sur la table. Quand à ce moment, une colombe dorée se réveilla d'un long sommeil et pris d'un frisson, se leva. Il se mit à courir, courir de toutes ses forces, alors que le son des chaînes qui enchaîné sa jambe, amena une douce mélodie effrayante. La colombe blanche, tomba à genoux en apercevant un ange noir aux côtés du corps de son ancien amant.
« Joseph... ?» sa voix tremblait, au bord des larmes, il entendit les pleurs de cet oiseau noir, face à lui. Ce corbeau ayant l'apparence du jeune Joseph. Le ciel devint rouge, alors que les chaînes de flammes attrapèrent les ailes du brun et le tira en arrière. Un seul souvenir lui revint et il pointe la table du doigt, cette lettre... puis il disparu dans les cris de douleur de la colombe dorée... En enfer... Caesar ne se rappelait plus d'avoir eu un ami, un amant il se demander même ce qu'il faisait attaché ici. Une maison en ruine dans l'odeur de l'alcool s'effaçait dans l'air. Jusqu'au moment où il aperçut le cadavre d'un vieil homme et une lettre... L'enfer a le déshonneur d'effacer la mémoire des anges qui sont avec un habitant des flammes mais... Seul, un ange... se rappela... et ce miracle par une lettre... Un simple « je t'aime » laissé par l'ange déchu disparu dans l'abîme de flamme.Un simple « je t'aime » réussi à faire chanter la colombe avec une voix triste, pour sa dernière fois...
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Une Colombe Venue Du Ciel (CaeJose)
FantasíaC'est une histoire faite pour un contrôle C'est une lette destiné pour Caesar De Joseph...