Texte 4 ( écrit par Armand )

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  Ma voix n'a pas de couleur comme la connerie ou l'ignorance,

 Elle puise sa force dans la douleur,l'humiliation et les offenses.

 J'écris des phrases peu censé, c'est censé plaire à autrui,

 j'ai plus confiance en l'amour, depuis qu'la vie ma détruit.

 J'ai appris que pour être bien, le mieux c'était de rester absent.

 Le vécu d'un homme triste, à la recherche d'espoir,

 A fait de lui un artiste, qui s'endort plus le soir.

 Apprendre de ses erreurs c'est bon, mais ça nous rendras pas meilleurs,

 J'ai vu la paix effleurer ce monde, à plus de milles kilomètres heure.

 Maintenant je me contente de vivre, même si le sourire s'efface de mes lèvres,

 c'est quand je chute dans mes souvenirs, que je trouve la force, et que je m'relève.

 J'ai connu le bonheur c'est vrai, c'est peut-être pour cette raison que je lâche pas,

 J'ai vu l'amour de près, s'éloigner, tellement loin, qu'il faut qu'j'agrandisse mes pas.

 On récolte la souffrance qu'on sème, quand on s'attache, on s'fuis.

 Va pas dire trop tôt qu'on s'aime, avant que tu saches qui je suis.

 Trop de gens se souciant de problème insignifiant,

  Mais moi je m'en fou de tous ce monde inintéressant.

  Je voie plus loin j'ai envie de changer d'air d'aider les gens dans la misère,

 Encore sous se lampadaire un soir d'hiver,

 Je passe le temps à rêver de mon monde imaginaire,

 J'ai rencontré trop de gens. Mais combien sont resté ?

 Au final tous formaté, comme un vague souvenir d'une soirée trop alcoolisé.



   La jeunesse se déchaîne, brise ses chaines car la vie est une chienne  

Anyone write thisWhere stories live. Discover now