Bonus

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Précédemment dans le chapitre 41 :

- Je ne lui ai pas demander de ne pas venir, je lui ai demander de me venger, en plus de ça je lui ai donné la localisation de ton foutu hangar, riais-je.

Il devint rouge de colère, il sortit son arme

POINT DE VUE DE VICTORIA

Après que Damien ai raccroché, je décidais de réunir tout le monde au salon pour leur parler de ma conversation avec Julian. Ils descendirent les uns après les autres et se tenèrent face à moi.

- Damien Dalgarde vient de m'appeler et j'ai pu parler avec Julian. Il est blessé par balle, il se vide de son sang donc il va falloir faire vite.

- On a fait des recherches sur les hangars qu'on a pu trouver à proximité. Répond Juan. Mais c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin.

- Je croyais qu'on avait une piste ? Que vous aviez trouvé le hangar ? Demanda Isa.

- Oui, on n'a cru que c'était une piste mais y avais des flics en pleine patrouille là bas et s'ils avaient trouvé quelque chose, on l'aurai su, lui répondit Alex. Il ne nous reste plus qu'à chercher les autres hangars un part un.

- Pas besoins de chercher, Julian m'a indiqué l'emplacement du hangar. On a toujours rêvé de vivre dans une maison à l'extérieur de Miami près de la forêt et à ce que je me rappelle il existe un hangar près de cette maison. C'est là qu'il se trouve. Cet abruti croit que je vais simplement le venger sans le ramener en vie chez nous.

- Ok, alors on se prépare et on prend ce foutu hangar d'assaut, on prend cet abruti de Julian, on bute les connards qui sont dans le coup et on se casse. Dit Alex.

Je met perdit dans mes pensées.

FLASHBACK

Nous étions tout les deux enlacés dans son canapé, mon dos tout contre son torse musclé, sous un plaid extrêmement doux. Je me tournais vers lui le, sourire aux lèvres. Il m'interrogeait du regard.

- Qu'est-ce qu'il y a mon ange ?

Je continuais à sourire.

- Je suis simplement heureuse. Si seulement notre vie ce n'était que ça, pas de gang, pas de mission, juste toi et moi dans notre maison avec un portail blanc, nos enfants qui courent dans notre immense jardin, Julian et Victoria junior, dis je en riant.

Il me tournait vers lui pour mieux me voir.

- Victoria Fuentes, tu me surprends, je ne savais pas que tu avais l'intention de procréer avec moi, ça me rassure qu'avoir des relations extras-scolaires 😜 avec moi soit toujours quelque chose qui traverse ton esprit, surtout à ce moment précis. Dit il en riant.

Je le frappais gentiment en riant.

- Je retire ce que je viens de dire, je ne soumettrais pas à l'humanité à une autre calamité que toi. Il n'y aura que des Victoria junior pas de Julian junior.

- T'y crois vraiment à ça ? Je crois qu'au fond de toi tu remercies Dieu que je ne sois pas quelqu'un d'autre, de moins possessif, de moins con parfois, de moins jaloux, de moins beau, dit il en riant à gorge déployée.

Je souriais.

- Malheureusement je crois bien que je sois moi aussi atteinte de la maladie du JulianAmour, c'est une maladie incurable comme le cancer, une fois qu'elle touche le coeur, on ne peut plus rien faire.

Il m'attira vers lui, pressa tendrement ses lèvres sur les miennes.

- Je t'aime, me dit-il dans un souffle chargé de désir.

- Moi aussi malheureusement, dis je sans m'en empêcher.

Il approfondit notre baisé, puis le rompit, me laissant pantelante, pour me punir.

- Je crois que j'ai la maison qu'il nous faut. Dit il après m'avoir fixer durant de nombreuses minutes.

- Vraiment ? Répondis-je, surprise.

- Oui, ça fait un moment que je chercher une maison. J'ai vu celle-là et j'en suis tombé amoureux. Mets tes chaussures, je t'emmène la voir, elle se situe à l'extérieur de la ville.

Après nous être chaussé, nous montâmes dans sa voiture. Le trajet passa rapidement, j'aperçut alors une maison de deux étages, entourée d'arbres, un hangar blanc à 500m de la maison.

Nous nous arrêtâmes  devant la maison et descendîmes de la voiture.
J'admirais quelques instants la maison dans toute sa splendeur.

- Elle est magnifique, c'est le genre de maison dans laquelle je ai toujours voulue vivre avec toi, merci.

Il me sourit.

- Si j'avais su que pour te faire taire il fallait que je t'amène devant une maison, je l'aurais fait plutôt. Dit il en riant.

Je le frappais gentiment, riant à mon tour. Nous restâmes là, en face de cette maison à la façade d'un blanc immaculé. J'étais la femme la plus heureuse pendant ces quelques minutes, ne pensant à rien, qu'à un futur heureux avec l'homme que j'aime, qui me rends complètement chèvre. 

FIN DU FLASHBACK

Je me souviens alors à quel point c'était  bon d'être dans ses bras, sa tête niché au creux de mon cou, ses mains autour de ma taille, mes mains dans ses cheveux extrêmement doux. Je me rappelais alors à quel point je l'aime et que le perdre me briserai le coeur de manière définitive. Julian O'Connor a intérêt à rester en vie ou je devrais le ramener à la vie et ça, je vous assure qu'il ne souhaite pas que ça arrive !

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Un chapitre et un bonus = un Noël avant l'heure.
Vu que je n'ai pas écrit depuis longtemps donc j'essaie de me faire pardonner, j'espère que vous aller apprécier le bonus, continuez à voter et à commenter

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