chapitre 36

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***la veille à la maison ***

On quitta la clinique ma tante devrait déposer un colis à l'aéroport on est donc aller là-bas suis descendu attendre dans un restaurant j'avais pas faim, j'ai pris une glace mon oncle a fait pareil il a fallu attendre 1h pour la revoir j'avais hâte de rentrer j'arrivais pas à m'asseoir et resté debout était compliqué ma tête tournait.

En route elle m'expliquait les réactions des filles mes surtout de mon cousin sory que j'appelle mon chéri coco.

***ma tante ***

Ils ont demandé après toi quand j'ai dis que tu passais la nuit à l'hôpital ça été la guerre froide dans la maison  sory me sort
Sory:mais comment une personne peut tomber malade de la sorte et on m'informe même pas c'est quoi s'est manière
Tante:je lui fit eh suis ta mère et depuis quand tu as ton mot à dire dans les affaires de la maison
Sory:je suis un grand garçon maintenant

Les filles :oui maman sory à raison notre cousine est gravement malade et vous nous informé pas

Tante:c'est moi votre copine allez y donc demandé à votre père pourquoi il vous a pas informé

Ils sont tous monté dans leurs chambres à l'instant lui c'était pas un jouait ils le savait c'était leurs demi Dieu j'arrêtais pas de rigoler. Ce matin quand j'ai dis que je venais te chercher tous était prêt mais quand leurs père a dit qu'il sortait c'était la douche froide tous me regardais l'air énervé donc soit sûr que ton retour est vivement souhaité.
Moi:ils me manque tellement

Tante:tu vas leurs expliquer ce que tu as
Moi:suis pas sur qu'ils comprendrons peut-être les grandes filles mais mon chéri et ma copine comprendront kedal

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On était arrivé mes cousines et mon chéri sont sortis en courant pour m'accueillir ils avaient remarquer ma manière de marché mes personnes n'osait poser de questions les filles avaient fait des gaufres pour moi j'ai mangé et me suis couché.

Les deux premiers nuit était pas mal celle à l'hôpital et à la maison mais le troisième jour là douleur était atroce j'arrivais pas à me tenir en place tellement j'avais mal tous dormait moi je défilai dans la maison je voulais crié ma douleur mais je pouvais pas, je voulais pas déranger en plus le ramadan avait commencé ma tante se réveillait à 4h pour faire le petit déjeuner moi j'avais interdiction de jeûné cela me plaisait pas mais j'étais vraiment malade, à 3h j'ai réveillé ma tante tellement la nuit m'a semblé longue

Tante :mais il est 3h

Moi:désolé

Tante :tu n'arrive pas à dormir

Moi:non

Tante:couche toi ça va aller

Ça va aller  un mot rassurant mais pas pour mon état j'attends vivement le lever du soleil ☀ pour courir vers la clinique. 5h j'étais prête on attendait Dimitri et filles finissaient pas de se ponponné j'étais tellement pressé.

7h j'étais à la clinique quand l'infirmière m'a vu elle m'a directement installé dans une chambre et m'a mit une perfusion de paracetamol j'étais KO  et comme une conne j'avais mis un pantalon plus chemise je saignait grave elle m'a enlever tout çà avant de me dire d'éviter les pantalons, slip pour quelques temps je devais acheter des cullotes couche pour grand 17h Dimitri est passé me prendre je lui ai dit que j'avais l'ordonnance à acheter à sandaga à la pharmacie guidon puis j'ai informé les enfants qu'on aura un petit retard. En route ma tante m'a appelé quand je lui ai dit ou je partait elle a pété les plomb je comprennait pas sa réaction elle m'explique que y'a trop d'embouteillage là-bas que les enfants sont fatigué après les cours de ne pas les faire attendre j'ai donc demandé à Dimitri de faire demi tour il avait entendu la conversation il m'a répondu
Dimitri :ze retour pas les enfants, les enfants  ouf toi ti pas enfant de quelqu'un et ti malade ze t'envoie au guidon les enfants si ils attendent pas qui vole ousse z'est quoi çà

Je rigolais malgré ma douleur son français me redonnait le sourire c'est mon pote sûr. Mais j'insiste sur le faite de se retourner il refuse mon oncle à appeler il criait tellement que je comprennait rien

Dimitri :ze m'en fout  ze emmener toi ou ti veux

J'étais super constipé il me fallait des produits pour çà aussi. La pharmacie guidon était rempli de monde mais vu mon état ils se sont occupés de moi j'ai appelé les enfants ils étaient rentrer en taxi je sens que ça va chauffer connaissant mon oncle.

Je rentre et passe par la cuisine je m'excuse au près de ma tante et des enfants, je salut mon oncle au salon

Oncle :après tu viens je veux te parler

Moi:ok

Je me suis douché puis suis revenu le voir au salon il convoque ma tante puis commence

Oncle :chez moi ici on obéi à des ordres ya des règles à suivre c'est pas comme chez ta mère ou chacun fait ce qu'il veut la voiture et le chauffeur m'appartient c'est mon argent qui a acheté on a pas cotisé pour l'avoir et c'est pas avec ton père que j'ai cotisé, les bêtises que tu fais chez toi marche pas ici  tu peux rester ou partir ou tu veux sa m'est égal , il se tourne vers sa femme toi j'étais dit d'arrêter d'aller chercher les gens à l'aéroport dans ma voiture parce-qu'apres ils se croient tout permis. C'est compris

Moi:oui tonton

Ma tante avait la tête baisser pendant tout le discours. Il n'a même pas remarqué que j'étais pas vraiment assises je m'adossais au bord du canapé je suis monté me coucher à l'heure du dîner ils m'ont appelé suis pas descendu j'avais plus faim il avait pris mon appétit. Ma tante est venu après me voir je lui ai parlé comme si de rien n'était je rigolais avec les filles tranquille de toute les façons c'est pas elle qui m'avait insulté.

Je réfléchissais à partir de leurs maisons j'avais pas ma place ici j'ai rassemblé mes affaires mais j'ai pensé à l'inquiétude que je ferais à mère et je voulais pas qu'elle se dispute avec son frère à cause de moi suis donc rester de toute les façons j'avais plus que deux semaines puis je rentrerai chez moi. Mes relations avec mon oncle se limitait au bonjour chaque matin après je lui parlait pas ma tante me disait que je suis culotté d'être chez lui et ne pas lui parler mais je m'en foutait je lui parlais pas je sortais avec les enfants pour mes contrôle je finissais à 12h mais j'attendais devant l'école des enfants jusqu'à 17h pour rentrer c'était dure mais j'avais pas trop le choix j'avais plus aucun sou les ordonnances tombaient tout les 3jours je demandais rien à personne j'avais décidé d'assumer toute seule et je comptais bien continuer ainsi.
Mon oncle est parti en France la maison raisonnait on était libre de crié danser et regarder la télé il me restait 4jours sur mon billet et je pouvais pas prolonger suis allé à la clinique j'ai expliqué à docteur diop il m'a dit que je pouvais rentrer que tout se passait comme prévu de revenir en novembre pour le  traitement final.
Ce qu'il ignorait j'allais devoir reprendre le boulot aussitôt pour rassembler cet argent sinon mes soins prendrai fin là

Hi mes amours, mes boutchous

N'oubliez pas l'étoile juste en bas. Merci 😘😘😘💕💕💕💕💕

Sidime 11 l'excision Posté sur whatpad

Le 15/12/2017

Privé De Ma Vie (En Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant