Chapitre 1

1 1 0
                                    

Parfois on se demande ce que nous avons mérité pour vivre sa. Pour vivre l'enfer. Moi, je me le suis demander pendant toute ma vie. J'ai attendu que les réponse viennent a moi, comme sa, toute seul. Si je pouvais retournée en arrière, une dernière fois, je ferais les chose différament. Je pouvais attendre des heures, assise sur mon lit, en me questionnant sur la question suivante : pourquoi l'ais-je cru? J'ai souvent tenter de m'enlever la vie, moi, Caterina. Je devais mappeller assodie. Mais ma mere a laisser tomber. Je suis d'origine italienne, et voici mon histoire.

Mon cadran sonne.

Cela faisait longtemps que je n'avais pas entendu ce son. Un sourire se dessina le long de mes lèvres encore coller. Je sortis alors de mes draps fraichement laver de la veille pour mettre mon uniforme scolaire. C'est ma 5e année dans un secondaire inconnu mais pourtant, je n'ai pas le traque. Même si mes amies ne me suivaient pas dans ma nouvelle école, j'étais enfin sortit de ma ville. Cette ville remplie de secret, de mensonge et de...

Meurtre.

J'enfila alors ma jupe carotter et mon chandail blanc a manche courte de nexfac high school, mes bas et mes souliers noirs suivirent. Je me brossai mes cheveux blonds boucler. Me maquillât à peine mes yeux verts et me mit du gloss. Je me regardai dans la glace, et sortit de ma chambre. Et puis de ma maison sans oublier mes clefs.

Tu es belle mais, tu n'aurais pas oublié ton sac par hasard ? Me souffla ma conscience.

-    Ha mais non !

Cette fois ci je pris le temps de vérifier si j'avais tout. Surtout mon sac d'école. Je tournai la clef dans la serrure pour refermer la porte et entrepris mon chemin pour l'école, mon téléphone dans la main. J'entras alors dans l'application ''maps'' pour trouver le chemin de mon école.

« Continuer tout droit et tourner à gauche » lança mon téléphone. Je fis alors ce qu'Il me demanda.

Je ne savais rien de cet école. Peut-être était-elle renommée dans le pays, Londres, ou peut-être la pire école de tous les temps. Mais pour l'instant, je ne me faisais pas trop de souci. J'avais l'impression que si je parlerais à Tania, elle saurait quoi faire. Elle me dirait que tout irait bien et que ce n'était pas comme si les gens étaient des terroristes, ou bien même des tueurs en série, mais je ne pensais pas comme elle. Je me disais que...

Elle ne savait pas ce qui se dresserait devant mes yeux. Peut-être que tout ce que j'allais voire était des vieux qui ont redoublée toute leur vie. Mais je préférais ne pas me concentrer sur sa. Je regardais alors autour de moi. Les maisons paraissait très vielle et en décombrement. Elles étaient pour la plupart très sale et leurs couleurs semblaient s'effacer peu à peu. La route était craquée laissant voir un filet d'eau traverser au ritme du vent jusqu'à temps de déboucher dans un champ de quenouilles. J'alla donc voir ce qu'il y avait.

Un magnifique lac se trouva alors devant mes yeux. Avec le lever du soleil qui venait de se créer, les couleurs s'y trouvant était à la foi triste et joyeuse. Une petite ile s'y trouvait sur le quel était un arbre et une balançoire y était installés. Je ressentis alors un besoin énorme de m'y installer pendants quelque minute. Je pris alors une barque qui était sur la terre ferme et la glissa dans l'eau avant d'y embarquer. Le courant n'est pas très fort, donc je devrais développer mes muscles, mais s n'était pas grave. Je forçais alors pour pouvoir avancer plus vite. Rendu à l'ile, je débarquai alors de la barque et commença à avancer. L'herbe était froide et mouiller. La brise du matin était chaude mais il faisait quand même frisquet. Je m'assis alors et pensa à tout et a rien tout en oubliant le temps, qui j'étais. Tout semblait s'immobiliser, comme si le temps avait arrêté. Comme si plus personne existait. L'eau ne bougeait plus, le vent avait arrêter de souffler et la brise semblait disparaitre comme s'il n'y avait plus rien au monde. Que moi et cet ile.

CaterinaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant