Les Gardiens Tome 2 ( Le seigneur des anneaux : les deux tours )

Chapitre 8

Pdv Sam

Frodon semble perdu.

<Qu'est-ce que vous faites ? Où est-ce que vous allez ? C'est moi. C'est votre Sam. Vous ne reconnaissez pas votre Sam ?

-Je n'y arriverai pas Sam.

-Je sais, c'est injuste. D'ailleurs on ne devrait même pas être là. Mais on y est. C'est comme dans les grandes histoires, M. Frodon. Celles qui importaient vraiment, celles où il y avait danger et ténèbres. Parfois on ne voulait pas connaître la fin car elle ne pouvait pas être heureuse. Comment le monde pouvait-il redevenir comme il était avec tout le mal qu'il s'y était passé ? Mais en fin de compte, elle ne fait que passer cette ombre, même les ténèbres doivent passer. Un jour nouveau viendra et lorsque le soleil brillera, il n'en sera que plus éclatant. C'était ces histoires dont on se souvenait et qui signifiaient tellement même lorsqu'on était trop petit pour comprendre. Et je crois M. Frodon, que je comprends. Je sais maintenant que les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner mais ils ne le faisaient pas. Ils continuaient leur route parce qu'ils avaient foi en quelque chose.

-En quoi avons-nous foi, Sam ?

-Il y a du bon dans ce monde, M. Frodon, et il faut se battre pour cela.

-Frodon Sacquet, je crois qu'enfin nous nous comprenons. Lui dit Faramir.

- Vous connaissez les lois de notre pays, les lois de votre père. Vous perdrez la vie si vous les laissez partir. Rappel un solda au frère de Boromir.

-Alors je la perdrais. Relâchez-les. Venez ! Ce sont les anciens égouts. Ils passent sous la rivière jusqu'au abords de la cité et vous aurez l'abri de la forêt.

-Capitaine Faramir... Vous avez prouver votre valeur. La plus haute !

-La Comté doit vraiment être un grand royaume, Maître Gamegie. Où les jardiniers y sont tenus en si grand honneur ! Quelle route prendrez-vous une fois les bois atteint ?

-Gollum dit qu'il y a un passage près de Minas Morgul qui grimpe dans les montagnes. Lui répond Monsieur Frodon.

-Cirith Ungol. Est-ce ainsi qu'on le nomme ? Demande Faramir, tout en tenant Gollum et le menaçant de son épée.

-Non, non ! Oui !

-Frodon ! On dit qu'une sombre terreur demeure dans les cols qui dominent Minas Morgul ! Ne passez pas par là ! Nous informe l'homme du Condor.

-C'est le seul chemin. Le Maître dit que nous devons aller au Mordor. Alors nous devons essayer !>

Nous commençons à partir mais Gollum ne nous suit pas, j'attend qu'il arrive à ma hauteur pour lui parler.

<Allez ! Suivez-nous ! M. Frodon ne voulait pas que les Rôdeurs vous fassent du mal. Vous le savez n'est-ce pas ? Il essayait de vous sauver la vie ! 

-De me sauver ? 

-Alors sans rancune ! On pardonne et on oublie.

-Non pas de rancune !*Gollum*Gollum* Oui Maître gentil Hobbit !

-C'est généreux de votre part. Oui très généreux ! Vraiment Gollum ! >

Enfin nous allons pouvoir continuer notre route vers le Mordor.
***

Pdv Gimli

La bataille semble perdu, les hommes perdent espoir, même leur roi n'a plus la force de se battre, maais Aragorn ne veut pas laisser tomber, et nous la communauté de l'anneau le suivrons jusqu'à la mort.

<Vous avez dit que la forteresse ne tomberait pas tant que vos hommes la protégeraient ! Ils la défendent encore! Ils sont morts en la défendant ! N'y a-t-il pas un autre moyen pour les femmes et les enfants de sortir ? Y a-t-il une autre issue ? Insiste Aragorn au prêt du roi.

-Il existe un passage. Il conduit dans les montagnes. Mais ils n'iront pas loin. Les Uruk-hai sont trop nombreux. Lui répond Gamelin.

-Faites dire aux femmes et aux enfants de passer par les montagnes. Barricadez l'entrée.

- Autant de morts. Mais que peuvent les Hommes face à tant de haine? Dit le roi qui semble de plus en plus perdu.

-Venez avec moi. Venez à leur rencontre. Lui propose Aragorn.

-Pour la mort et la gloire.

-Pour le Rohan. Pour votre peuple.

-Le soleil se lève. Leur informe-je, ce qui me fit penser aux paroles de Gnadalf. ''Attendez ma venue aux premières lueurs du 5e jour. A l'aube, regardez à l'est.''

- Voici venue l'heure de tirer l'épée ensemble. Cruauté réveilles-toi. Qu'importe le courroux ! Qu'importe la ruine ! Et que l'aube soit rouge ! Pour Eorlingas ! Dit Théoden pour motiver ses troupes.>

Un groupe de cavalier apparait à l'est menait par Eomer, un solda du Rohan, Gandalf se trouve à ses côtés. Cette guerre je peux dire que nous l'avons gagnez maintenant.

***

L'heure des compte est arrivé, le maitre ekfe s'approche de moi avec un grand sourire, son arc à la main.

-Au total .... 42 !

-42 ! Ca n'est pas mal pour un prince Elfe aux grandes oreilles pointues. Pour ma part, je suis assis sur mon 43e !

-43 ! Me dit-il après avoir tiré une flèche sur mon siège.

-Il était déjà mort !

-Il bougeait encore !

-Il bougeait encore parce que ma hâche était enfoncée dans son système nerveux !>

Je vous jure les elfes sont des êtres insupportable bien que la présence de celui-ci me dérange de moins en moins. Il retourne au près de dame Elerinna. Gandalf nous informe que nous allons chercher la dernière Gardienne et les deux petits hobbits.