𝐂𝐈𝐍𝐐

415 41 0
                                    

ᴄɪɴϙ
𝐂𝐈𝐍𝐐𝐔𝐈𝐄̀𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐄

◈❖◈

  JE sais, ça coupe toujours. tu sais, le jour ou t'as quitté rapidement l'établissement, quand il te poursuivait, j'étais là. les poings serrés, je suis venu devant lui, près à lui infliger ce que toutes ces filles avec qui il jouait voulaient lui infliger, mais tu m'as dis que « non, luji, c'est un ami... » parce que t'avais vu son regard meutrier t'ordonner de le dire. alors j'ai quand même tenté de trouver une lueur dans tes yeux qui voulait le contraire. mais c'que j'avais oublié, c'est que tes yeux étaient vides. vides quand il te frappait, vides quand elles te riaient au nez, vides quand ton papounet te poussait, mais pas vides quand tu les scellait dans les miens. j'y voyais une lueur de malice, mêlée à d'la tendresse. parce qu'on s'aimait, on s'aimait sans limite. ça...

𝕵'𝐏𝐀𝐒𝐒𝐄𝐑𝐀𝐈𝐒 𝐌𝐀 𝐕𝐈𝐄 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐓𝐎𝐍 𝐇𝐀𝐔𝐓 𝐏𝐀𝐑𝐋𝐄𝐔𝐑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant