Le sourire de la vie heurte celui du démon.
N O A M
Encore un peu défoncé, je sors de la boîte de nuit et sors une petite cigarette qui petit à petit disparaît.
Je la jette et prends ma voiture pour rentrer chez mes grands parents.Le lendemain, je me réveille par des petites caresses qui vite se transforme en tape.
Je regarde la personne et un gros visage se forme rapidement. Malonne!
- Putain Malonne.
Malonne- Mais papa début!
- Tu me donne pas d'ordre et ta gueule frère.
Malonne- Mais...
- Chut!
Malonne- Mama est où?
- Putain casse tête hein! Tu sais où elle est ta mère? Six pieds sous terre aller casse toi!
Malonne- Hein?
- Dégage de la chambre de papa!
Je la pousse un peu et me retourne sur moi même mais quelques choses de dur m'y empêchait, je tâte avec ma main et découvre un corps féminin pour plus de précision.Je la secoue un peu et une fille un peu mate voir métisse me regarde et ce recouche vite. Malonne me regardait avec ce regard interrogateur mais je ne lui dit rien et pousse légèrement sa tête pour qu'elle sorte de la chambre. Une fois fait, je glisse ma main sur le corps de la jeune fille et nous faisons quelques petits jeux au pluriel.
Quarante-cinq minutes à peu près, nous sortions tout les deux de la maison de mes grands parents et partons vers le centre ville. Au passage elle s'appelle Dania.
- Oh ça va pas la robe.
Elle portait une robe noire qui la moulait un peu trop je trouves.
Dania- Toi t'as rien à dire enfaite, on a baisé une fois et maintenant tu te prend pour qui? Tchuips!
Je me lève directement et la tire dans la cabine d'essayage où je l'attrape par sa mâchoire et effectue une pression déçu.
- Tu dis quoi la? À qui tu parle comme ça toi? Moi? T'es qu'une pute, j'te baise et te jette croit pas tu es la reine d'Angleterre.
Dania- Lâche moi!
- Tu fais plus la grosse gueule hein? Tu l'ouvre plus? Tchoin va!
Je la lâche et sort de la cabine où finalement je sors du magasin mais une personne m'arrête en criant mon prénom. Je me retourne et tombe sur l'autre pute.
Dania- Qui paye la robe?
Elle est sérieuse elle m'arrête pour ça? Je la toise et prends la route pour chez moi où je trouve ma grand mère au fourneau.
- Tu fais quoi?
Elle sursaute et me frappe avec son torchon de cuisine.
Mamie- Noam putain!
- Quoi?
Mamie- Tu m'a fais peur.
- Mais nooon.
Je lui fais un petit bisou dans le cou qui la fais frissonner à l'instant.
Mamie- Arrête de me draguer!
- Mais...
Mamie- Non! Moi je ne suis pas ces filles qui rentrent et sortent comme elles veulent d'ici et en parlant de ça...
- Et nooooon! Bon je sors avec Malonne.
Mamie- J'ai pas fini de parler et ne t'avise plus jamais de me couper la parole moun fou*
- MALONNE?
J'entends des petits bruits ressemblant à des pas et une petite bouille apparaît vite.
Malonne- Papa?
- Vient on part au parc!
Elle hoche la tête et va mettre ses sandales puis revient en me tendant la main.
- Mamie on arrive!
Je la laisse pas répondre que je passe avec Malonne main dans la main.
Nous arrivons dans un parc où il y avait des enfants et des parents un peu partout, quelques couples ou des jeunes qui squattent y était présent.
Je lâche la main à Malonne et lui dit d'aller jouer vers le parc. Tout à coup elle se braque et ne veut plus me lâcher à croire c'est la première fois elle voit un parc.
- Vas-y toi!
Malonne- Je veux pas papa.
- Quoi tu veux pas? Bouge!
Malonne- Non.
Dit elle en bougeant la tête de gauche à droite.
- Malonne, fait pas crier papa et va t'amuser.
Elle me lâche la main méfiante et par. Je sors un paquet de cigarettes et me cale un peu à l'écart des enfants, je dirais même dos à eux.
Trois cigarettes fumé, je me retourne la tête qui tourne et cherche Malonne mais ne la trouve pas. Je m'assois sur un banc et des heures passent sans que je ne vois ma fille. Je me rapproche de l'air de jeu où il y avait des enfants mais rien! J'ai perdu ma fille...
moun fou* = Imbécile
L'or de la nuit
VOUS LISEZ
Nalia - L'or de la nuit
Tiểu Thuyết Chung@Unerestachic_ Date de publication: 09/ 01/ 2018 Fin de l'histoire: 09/02/2018 Sur les ailes du Temps la tristesse s'envole ; le Temps ramène les plaisirs. Les jours de tristesse sont longs, les jours de joie sont bien courts. Triste et seul, on se...