Tru love

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Ce jeu macabre s'apprêtait a devenir délicieux. Comme je vous aime bien je ne vous cacherai aucun detail. Bon, pour commencer, je m'étais attaqué a ses genou avec le fabuleux briseur de genoux. Cet engin de torture était vraiment genial, sous ses hurlement à pêne réduit par le bâillon qu'il avait sur la bouche, je l'avait  placé avec ses pointes acérées sur les genou de mon « frère » et avais commencé a les enfoncer dans sa chaire. Ses genoux on été légèrement déchiqueté pendant l'opération. La chaire en lambeaux, si rose, si rouge, si délectable. Je n'ai su résister et ai léché la blessure pour après mettre du citron dessus. Il n'avait plus de voix a force de hurler, a force de me traiter de tout les noms, a force de faire comme si c'était moi le monstre ici. Et en toute sincérité quitte a ne plus hurler il devrai au moins avoir une bonne raison. Du coup je lui avais coupé les corde vocale sans le tuer mais il se vidait de son sang, il pleurais,il se pissait littéralement dessus. Il me répugnait comment avait-je fait pour me sentir attiré par un mec, non ,une tapette comme ça. La simple vision de son visage m'était a présent insupportable. Alors  comme punition adéquate pour un enc*** le berceau de judas était parfait. En effet l'anus se dilatant grace a la pyramide du berceau, la chaire se déchiquetant dans d'atroce douleur, d'horrible cries de terreur et le sang jaillissant en un festival de teinte, et de sons mélodieux était un spectacle magnifique. C'est définitivement jouissif de faire souffrir. Il est évidement mort par hémorragie des suite de ses égratignures. Cependant je ne pouvais évidement pas laisser des traces. Ils allaient finir par savoir. Alors je m'était donc introduit dans la chambre de Dougue qui dormait profedement, il ne m'avait rien fait et en toute sincérité, c'était un gentil garçon je lui donc juste tranché la gorge, rapide, indolore, une mort barbante et pleine de compassion. Puis ce fut le tour des parents, eux aussi très gentils, de brave personne avec de tres bon goûts. Cependant, il le fallait. Alors, j'ai trouvé le moyen de décrocher le climatiseur pour qu'il écrase leur crâne et qu'il meurt rapidement. J'ai un cœur tout de même. Non mais franchement, un accident est vite arrivé si vous mettez votre lit en dessous du climatiseur. Ainsi est morte ma troisième famille. Des parents pris d'une folie meurtrière on tuez leur deux fils et sont mort dans un tragique accident avant d'avoir pue tuer leur fille adoptive. En tout cas c'est ce que le rapport de police dit. Après cela, le printemps arriva et avec, l'amour. Sébastien Micheal, beau, grand, intelligent, brun ténébreux, en gros, a mes yeux, il était parfait. Quand ses yeux croisaient les miens je me sentait comme emporté, un peut comme quand on mutile quelqu'un. C'est une forme de poésie romantique que seul quelque privilégiés connaissent. Nous étions dans la meme classe et chaque jour, il se retournait vers moi et me souriait. Nous nous sommes rapprochés jusqu'à finalement sortir ensemble. Il m'avait parlé de ses espoirs et de ses rêves, de son avenir dans la médecine, de la manière où il voulait aider les gens. Il était généreux, peut-être même un peut trop. Tout les matins, connaissant ma passion pour le morbide, il m'apportait des photos des opérations les plus sanglantes. Il était si attentionné, nous étions si heureux, alors pourquoi?
Un jour il est venue chez moi et alors que nous parlons, il m'a annoncé qu'on devait se séparer. Il m'avait dit que c'était a cause de ses parents ou une co****ie de ce genre, mais je savait que c'était faux c'était inscrit sur son visage qu'il me cachait quelque chose. Alors, droit dans les yeux, je lui ai demandé de me dire la vérité, ce qu'il n'a pas fait, alors j'ai fait couler son sang.
Là , c'est le moment ou vous vous demandez qu'est-ce que je raconte. Pour la faire courte j'avais vu juste. Il avait rencontré une autre fille, une fille « normal » comme il dit. Une petite fille au cheveux courts, roux, au yeux vert et qui avait un affreux sourire collé en permanence sur la tronche. Elle s'appelait Rose , même son nom était gonflant, Rose, c'est un prénom encore plus pédant que Blanche neige. Non mais franchement, Rose, en lui même, aurait pue être jolie si c'était pas cette p**e qui portait ce nom. Enfin bref. Je l'ai frappé à la tête avec le poids de ses mensonges, c'est à dire la tête de sa Rose pour bien lui faire comprendre que j'était au courant.
Cette petite s***pe était venu s'excuser, elle me demandait de pardonner cet en**iré. Elle me suppliait en disant que l'amour était incontrôlable. Et bien, la seul chose qui a été incontrôlable a mes yeux était ma soif de sang. J'avoue, je n'avais pas la tête très poétique, mais c'est ça la passion non? Elle nous fait perdre la raison et nous rend un peut violent.
Alors franchement, elle ne méritait pas mes soins et ma tendresse, donc j'ai été un peut sale sur le coup. Ma tendresse et ma délicatesse habituelle ont quelque peu disparu un instant pour laisser place à la bête.
Elle était venu chez moi...
Elle qui avait embrassé mon bien-aimé...
Ou même plus....
Une seul image était dans ma tête à cet instant, la bouche de cette sa**pe arraché de son visage, sa peau en lambeaux sur le sole et des cries de douleur résonnant dans la maison. Alors, le couteau de cuisine à la main et toute ma passion à évacuer, je lui avait lacérer le visage. C'était maladroit, bâclé, mais ça me faisait du bien. C'était délectable comme le plus doux des nectars. Sa peau se détachant petit à petit sous ma lame. Ses cries a n'en plus finir, la détresse dans son regard, la crainte que je lui inspirais et le sang, si beau, si rouge, si délectable. Son sang giclait partout, même sur moi, j'avais le goût de son sang dans la bouche. Je ne m'était même pas rendu compte que je m'était mise à rire. Et je buvais ce sang, symbole de vengeance, d'amour, de haine, ce sang qui me libérait. Je doit vous avouez que si j'avais pue, j'aurais continué jusqu'à la fin des temps tellement c'était jouissif, mais toute les bonnes choses ont une fin. Celle de Rose est arrivé beaucoup trop vite à mon goût, je voulais continué mais son cœur s'est arrêté.
Ce n'était que partie remise puisqu'il me restait encore quelqu'un avec qui jouer. J'avais donc coupé sa tête et l'avait mise dans un sac en plastique lui-même dans un sac à dos. J'avais rapidement nettoyer la maison et avais gentiment entendu mon plat de résistance.
Sébastien ne s'était pas trop fait attendre. Il me parlait comme d'habitude, mais je savais. Il me regardait comme d'habitude mais je savais. Oh, oui je savais tout, alors quand il m'a dit vouloir rompre je n'était pas surprise mais lui, il l'était. Il n'a pas voulu me dire la vérité alors je lui ait fracassé la tête avec celle-ci. Il n'a pas tout de suite compris, mais lorsque mon rire résonna dans la maison, il a deviné, il a deviné que cette chose ensanglantée était celle avec qui il m'a trompé. Enfin juste sa tête. Il commença a hurler, à retirer le sang sur son visage, mais j'avais d'autre plans. En récupérant mes deux couteaux que j'avais caché sous le canapé, je lui ai coupé les deux bras, c'était si beau, c'était comme couper les ailes d'un ange. Il luttait avec force et m'a fait tomber au sol, mais rien n'arrête une femme trahi. J'ai sauté sur lui et lui ai enfoncé une lame dans le ventre et l'autre dans un des poumons. Ça lui a coupé la parole. Il avait la bouche grande ouverte mais aucun son ne sortait. J'ai ainsi pue lui enfoncer des morceaux de Rose dans la bouche pour lui faire avaler son péché.
Il s'étouffait, il se vidait de son sang et jusqu'au dernier instant je suis resté face à lui pour contempler mon œuvre.
Il voulait sauver mais à cause de lui, il est mort et elle est morte. Alors que moi, j'ai sauvé leur âme.
Je me suis alors dit, « pourquoi je ne deviendra pas médecin? »

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 17, 2018 ⏰

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Le Journal D'une PsychopatheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant