"Ma bien aimée au yeux clairs"
Je vais vous raconter une histoire, qui se passe au XIXè Siècle.
C'est l'histoire de Jacques, un homme de bonne famille, un noble, très riche, vit à Paris, dans un des endroits les plus riches de la ville, bien entendu. Un jour, Jacques se rend à l'école, en carrosse, et sur la route il vit sur le trottoir, une jeune fille, qui semblait pauvre,très pauvre, ses vêtements sont usés tachés de boue, ne porte pas de chaussures... Jacques lui, fit abstraction de tout ces détails, et ne vit que ses beaux yeux bleus verts. Il ordonna l'arrêt du carrosse afin qu'il puisse la regarder plus longtemps. Jacques descendit de son carrosse luxueux, pour aller demander à la jeune fille quel était son nom, cette dernière ne lui répondit pas la première fois qu'il lui demanda et recommença jusqu'à avoir une réponse, en effet, la jeune fille ne voulait pas s'intéresser à un jeune homme de ce genre. Jacques, visiblement sous le charme de cette jeune fille, insista et elle finit par lui donner son nom, elle se nommait : Angéline. Jacques lui donna rendez-vous le soir même au même endroit, rue Sainte-Anne.
Le soir même, Jacques revint à cette rue, pour y revoir la fille qui a fait chavirer son cœur le matin même. Bien sur qu'elle était là, elle ne changeait pas de place depuis des mois, c'était par défaut qu'elle était là pas forcément pour Jacques. Angéline demanda à Jacques si il avait le droit d'aimer une femme comme elle, ce dernier répondit que non, si ses parents l'apprenait il le chasserai de la famille car il est un noble et, c'est une misérable jeune fille. Angèline lui fit donc comprendre que s'il voulait l'épouser, il devrait la présenter à ses parents, Jacques fut un peu surpris par la rapidité des choses aux yeux d'Angéline , mais il fit avec et couru jusqu'à chez lui chercher de l'argent pour habiller sa bien aimée aux yeux clairs, il allait la présenter mais pas dans cette tenue misérable qu'elle portait. Il habilla donc Angéline d'une robe de velours rouge, d'escarpins, et d'un chapeau rouge.
Quelques jours plus tard, Angéline était invitée à diner avec la famille de Jacques. Elle n'était pas nerveuse, ni angoissée de quoi que ce soit bien au contraire, elle était confiante. Le premier dîner se passa bien, elle n'avait pas vraiment discuter avec eux, de peur de paraître un peu trop irrespectueuse. Si on lui posait des questions elle y répondait mais sans trop s'attarder, si on lui demandait son avis elle le donnait. Tout s'était bien passé Jacques et Angéline se marièrent peu après et Angèline tomba finalement amoureuse de Jacques mais malheureusement c'est quelques mois après que l'amour va rencontrer la barrière sociale, en effet, les parents de Jacques vont s'apercevoir qu'Angéline était une misérable, et qu'elle ne pouvait donc pas faire partie de leur famille, mais tout cela, la famille ne le dit jamais directement à Jacques de peur de le blesser car, il était amoureux. Ils se mirent alors à chercher des prétextes pour convaincre Jacques qu'elle n'était pas une fille pour lui, et donc de la laisser tombée. Ils dirent à leur fils que "Angèline était une mauvaise fille", qu'elle "parlait mal Français" qu'elle "s'habillait mal" toutes ces choses dites par la famille, était transmises de Jacques à Angèline, et ces paroles la blessait énormément. Pour l'instant ils restent mariés, il s'aiment encore mais qu'en sera-t-il lorsqu'il auront des enfants ? Personne ne l'a jamais su car Angéline s'est donné la mort devant la maison de Jacques et sa famille, en laissant un lettre inscrite "Dieu vous le rendra".
Jacques et sa famille vécurent seuls dans la culpabilité, et l'image de cette fille morte, à cause de leurs horribles propos. Et bien entendu, il n'eurent plus jamais d'enfant, leur lignée s'était éteinte après la mort de Jacques.Morale de l'histoire :
L'amour est un sentiment que personne ne peut être gérer
Et encore moins par ceux qui vous ont élevés
Car on a tendance à braver l'interdit
Juste pour pouvoir se dire "oui"
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Des mots et des idéaux.
SachbücherVoici une sorte de recueil de tous les textes que j'ai écrit.