poème

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Avant je me mutiler,

mais heureusement j'ai arrêter,

parce qu'on m'a aider,

sinon sa n'aurai jamais cesser,

et je me serai même suicider,

la journée je souriez,

mais une fois seule le soir je pleurer,

je n'avait pas d'autre moyen pour me calmer,

que me couper,

pour ensuite regarder,

mon sang couler,

puis je m'endormez,

et le lendemain sa recommencer,

mais aujourd'hui tout est cicatriser,

et jamais je ne recommencerais,

mais jamais je n'oublierai,

à quel point je souffrer,

mais je n'éprouve aucun regret,

car j'ai su surmonter,

se douloureux passé.

RecueilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant