poème

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Je suis la devant toi,

attendant que tu fasse le premier pas,

mais tu ne bouge pas,

tu fini par repartir,

tu as préférer fuir,

plutôt que d'agir,

j'ai envie de pleurer,

mais je refuse de laisser mes larmes couler,

même si les libérer,

me soulagerer,

je commence à agoniser,

parce que mon cœur est briser,

à cause de ta naïveté,

tu n'a pas remarquer que je t'aimer,

ou alors tu as préférer l'ignorer,

mais moi je ne peux pas t'oublier,

car j'ai toujours penser,

que tu était,

le prince charmant qui viendrait me sauver,

je rêver,

que tu m'emmène sur ton cheval blanc,

dans un monde aimant,

je pensait,

qu'on se marirait,

et qu'on vivrait,

avec le verbe aimer,

que l'on aurait partager,

ensemble jusqu'à la fin des temps.

RecueilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant