Que de rivalité partie 2

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Soudain tout s'arrêta. Les coups, les insultes, tout. Une main géante s'était posée sur la tête de la fille qui tenait l'arme oppressant son cerveau. Les larmes aux yeux et la peur au ventre, l'arme lui tomba des mains. Un géant aux longs cheveux violets se tenait derrière elle.

Derrière lui Akashi, Kise, Aomine, Midorima, Satsuki et Himuro s'avancèrent vers les victimes

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Derrière lui Akashi, Kise, Aomine, Midorima, Satsuki et Himuro s'avancèrent vers les victimes. L'aura dégagée par chacun étouffa tout le monde. Himuro et Kise se dirigèrent vers Ita et Pika qui furent subitement relâchées. Himuro, un jeune homme aux cheveux noirs mi-longs et au regard doux, aida Pika à se relever, lui demandant si tout allait bien. Intimidée, celle-ci acquiesça en guise de réponse. Agenouillé à côté d'Ita, Kise s'excusa auprès d'elle. Ne répondant pas, elle tenta de se relever seule refusant son aide. Midorima lui vint en aide s'apercevant qu'elle peinait à marcher sous le regard attristé de Kise. Aomine quant à lui, servit de support à Nyssa qui épuisée ne dit pas non. Néanmoins l'aura la plus effrayante de toutes fut celle d'Akashi qui se dirigea vers Sayu. Le visage de plus en plus sombre il pétrifia tous ceux qu'il croisait.

« - Akashi san ! Tu as vu ce qu'on a fait c'est cool non ! Je pense qu'elle n'osera plus jamais te causer de souci ! S'empressa de dire une fille qui visiblement n'avait rien compris à la situation

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« - Akashi san ! Tu as vu ce qu'on a fait c'est cool non ! Je pense qu'elle n'osera plus jamais te causer de souci ! S'empressa de dire une fille qui visiblement n'avait rien compris à la situation. »

S'arrêtant devant elle, il la prit par le cou et d'un geste violent la jeta sur le côté. Apeurée, elle se mit à pleurer. Personne ne connaissait ce visage d'Akashi. Tout le monde le voyait comme un garçon doux et gentil, sans violence ni histoire. Cette nouvelle personnalité les effraya tous. Même ses coéquipiers de basket en eurent des sueurs froides. Seule Sayu qui avait déjà eu affaire à cet Akashi-là n'en fut pas effrayée. Le sang lui coulant d'un peu partout, il s'agenouilla devant elle et sortit de sa poche un mouchoir blanc qu'il tâcha de son sang en tapotant légèrement sur ses plaies. Cependant lui en voulant toujours, Sayu détourna le visage, refusant son aide. Le visage si effrayant qu'il affichait jusqu'à présent changea de nouveau et devint plus tendre, plus doux et plus gentil.

« - Ecoute Sayu ... Je suis désolé.

- ... 

-  Quand tu t'es retrouvé chez moi la dernière fois je me suis laissé emporter par mes fantasmes... Je te promets que cela ne se reproduira plus.

- ... 

- Laisse-moi t'aider. Je t'en prie. »

Ne répondant toujours pas, Sayu acquiesça de la tête pour accepter son aide et se laissa porter par cet homme qu'elle détestait mais commençait à apprécier en même temps. Grimaçant de temps à autre à cause de la douleur elle ne prononça pas un seul mot.

Examinées à l'hôpital Ita, Pika et Nyssa s'en tirèrent avec quelques hématomes et points de sutures

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Examinées à l'hôpital Ita, Pika et Nyssa s'en tirèrent avec quelques hématomes et points de sutures. Sayu eut par contre droit à quelques examens approfondis à cause de sa jambe qu'elle s'était volontairement blessée et de ses côtes cassées. Devant rester plusieurs jours à l'hôpital, Akashi resta quelques temps attendant les résultats des examens.

« - Monsieur. Dit une infirmière en s'adressant à lui.

 -  Oui ! Répondit-il en se levant.

 -  Nous avons fini les examens. Heureusement que vous n'avez pas retiré le morceau de verre qu'elle avait dans la cuisse, son artère fémorale a été légèrement touchée, mais sans grave conséquence. En ce qui concerne les côtes cassées de votre amie, les poumons n'ont pas été touchés. Deux semaines avec nous et elle sera remise sur pied. On peut dire qu'elle a eu beaucoup de chance. Nous avons cependant un léger problème.

 - Lequel ?

 -  Votre amie est arrivée dans notre pays il n' y a pas très longtemps si j'ai bien compris, et de ce fait elle ne possède pas encore d'assurance couvrant les frais de l'hôpital.

 - Ne vous inquiétez pas, je paierai ce qu'il faudra. 

 - Les frais s'élèvent à plus de 2 487 800 yens (20 000€) 

- Je me porte garant. Merci bien mademoiselle. » 

Tout pour le basket  "kuroko no basket "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant