Sœur de sang ?

Chapter two

Je me réveil il n'est encore que cinq heure et déjà je sors du lit et pars me préparer aujourd'hui je vais faire les courses dans mon royaume natale mais je ne veut pas infliger cette torture mentale de revoir les paysage qui ont bercer notre enfance. C'est donc ainsi vêtue d'une robe pourpre me descendent jusqu'au pieds et donc les bretelles descendent sur mes épaule mettent en valeur mon imposante poitrine que je pars sur les chemins vers la frontière de notre pays.

Il est dix heures quand enfin j'atteint la frontière de mon pays natale et que je traverse la rivière du village déjà pleine activité. Je me dirige alors vers les habituelles marchands et couturière pour acheter et faire réparer toute sorte d'objets et de vêtement. Soudain une veille femme m'interpelle: Mademoiselle comment vous appeler vous, demanda telle, comme moi même je ne connaît pas mon nom je lui répondit simplement: Madame j'en suis désoler mais je n'en possède pas en revanche dans le lieu ou je travaille on me surnomme Elyria . Elyria voila un bien beau nom pour une bien belle fille, me répondit elle songeuse et bien ma petite Elyria un grand avenir t'attend, je vois deux fille des filles que lon aurait fait passer pour jumelle mais que l'aine est d'une autre famille qui a disparut il y a tres longtemps, cette famille pratiquais la magie... Se fut les dernier paroles que je l'entendis prononcer avant de rescentir une vive douleur au crane et de m'évanouir. Quelqu'un me parle mais je ne comprend pas se qu'elle dit, puis je comment enfin a comprendre les mots que cette personne prononçait. Elle parlais de jumelle d'un sang diffèrent et que l'ainée viendrait de je ne sait où, qu'elle possède la magie ultime. Une magie qui d'apres se que je comprend rassemmblerait toute les magies des mages passe, présent et même future...

Grande sur !!!!! Lève toi aujourd'hui madame dit que nous devions bien nous habiller car elle va recevoir quelqu'un de haut rang!!!!!!

Il n'y a pas de réveil plus pénib... J'était pas en train de faire des courses moi ?? Bon pas le temps pour sa on enfile nos tenues pour les gens de important ( voir média ) se n'est pas forcément les meilleurs vêtement de l'univers mais se sont les meilleurs que nous avons enfin sans conter nos affaires de petite fille, celle tachée de sang que pourtant nous n'avons pas pus nous résigner a les jeter. Ils représente notre passer, mais soudain les paroles de la femme au village te de celle de mon rêve me revienne en mémoire, si je croyait a se qu'elles avaient raconter je ne serait pas du même sang que la fille que j'ai prise pour ma sur depuis toute petite. Bon plus le temps pour se poser des question aux qu'elles je ne pourrait de toute manière pas répondre. Je me lève et descend, un des avantage du fait que quelqu'un d'important vienne ici est qu'il n'y a personne en bas mi a par ma sur et madame qui n'est que très souvent je dirais même exceptionnellement levée a une heure aussi matinal, meme parfois lorsque c'eest inviter n'etait pas tres tres important elle ne se donnais la peine de descendre que quelque minute en retard. Mais passons je n'est pas le droit n'y le besoin d'interferer avec cela se n'est absolument pas mon probleme apres tout. Lorsque les inviter de madame arrivèrent je sentie ma sur se raidir alors je lui pris la main pour la rassurer, il y aviat un homme qui devait avoir notre age blond aus yeux noir et asser miggnon il fallait pas se mentir devant lui se trouvait un homme sans doute son pere la seule difference est la couleur de ses yeux, il sont bleu et non noir. Je m'araitais dans ma description physique mental des deux inviter lorsque le jeune demanda a madame dans le plus grands des calme : pourquoi se tienne elles la main, sont elles en couple ?

Je resta choquer puis dans une sncronisation parfaite ma sur et moi ettoufont un leger rire se qui semble intriguer le garcons, puis il se penche vers madame et lui murmure quelque chose a loreil, je fais vite fait le point depuis toute petite j'ai des sens bien plus déveulopper que ceux des humains normaux, mes cheveux perturbant :on ouil je les passe furtivement deriere mon oreil et ecoute :

Gars : pourrait je monter leur parler un instant ?

Madame : bien sure

Il nous fit signe de le suivre je commenca donc a avancer deriere tirant tant bia=en que mal ma sur par la main ...

A suivre... kisssssss