Amel, mon prénom sigifie l'espoir mais sa j'y croit pas enfin j'y croit plus.
Vous allez découvrir mon vécu dans ces écrits.
Je suis solitaire de nature, j'ai un coeur dur et j'aime personne c'est simple.
Pourquoi ? Comment ? Je vous laisse découvr...
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Je voulais aller a panam, voir la tour effeil et tout mais sauf que j'allais y aller le soir, il était 19h quand je sort.
J'avais prévenu isma et adel en sms. Bref je prend ma voiture et roule jusqu'à paris je la stationne et je vais me posser juste en face, je fais des photos et tout.
Après je décide d'aller au cabaret j'suis jamais y aller et j'ai envie de voir ce qu'il y'a.
Je paye ma place 200€ sa pique grave mais bon, c'est pas ce qui manque. C'était un gay qui nous a accueilli, il était trop marrant bref après je m'asseois a une table et le spectacle commence, y'a des meufs en sous vêtement enfin c'est limite si elles étaient a poils mais bon, elle dance et tout
Serveur- Un wiskhy menthe pour madame.
Amel- J'ai rien commander.
Serveur- C'est de la part d'un homme.
Amel- Hm d'accord merci...
Il repart, je regarde autour de moi et je vois le gars de la dernière fois avec sa balafre il me sourie et se lève pour aller je sais pas ou.
Je prend une petite gorgée et je le suis, il traverse un rideau rouge, j'entend des bruits de personnes qui enfin vous avez compris.
Je le vois rentrer dans une salle, j'attends et j'entre je le vois avec une meuf qui le touchait.
Homme-*sourire en coin* Tu me suis ?
Amel- C'est toi pourquoi tu ma donner ce verre ?
Homme- ooh.... ta pas aimer la... procha...prochaine fois je prendrait un autre alcool.
Amel- Bon je vais y aller, je vous laisse..
Femme-Joint toi a nous si tu veut ma belle.
Amel- Euh non merci en revoir !
Je sort vite de cette endroit, j'ai croiser que des gars pervers c'est trop. Je vais me rasseoir a ma table et j'attends que le spectacle termine bha oui j'ai pas payée pour rien. En sortant j'ai vue le gars a la balafre sortir, je le suis il parle au téléphone, il se retourne vers moi mais je me cache derrière un mur, moi et la discrétion putein.
