Chapitre II

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Eclatement de la tête
Aujourd'hui la chaleur ne peut plus s'y engouffrer
Torpeur, turpitude, esprit engourdi
et englouti dans l'impasse de la vie.
Je me sens coincée dans le malaise du silence,
Posture suprême indigne sublime essentielle
Retour de poussière dans ce vide ensoleillé.
Les cerisiers en fleur, l'âme meurtrie
par le flétrissement prématuré
Sans espérance
ma motivation s'est évaporée avec les rêves d'une grandeur immaculée.
Toi printemps tu ne crois plus à rien
Tu navigues dans les ordures
Je marché dans des ruelles jonchée de feuilles mortes qui traînait dans des flaques d'eau , les rayons de soleil commençais à apparaître entre les nuages gris , mes cheveux châtain se porter par la douce et légère brise , je rentre dans un parc et m'assois sur un banc , je met mes mains sur mon visage et je commence à pleurer . Pleurer ! pourquoi ? Je sais pas si c'est la perte de mon père ou que les fille de mon âge son entrain de s'amuser et moi je suis avec les plus dangereux amis c'est à dire la dépression et la solitude .
Sais tu que la chose la plus difficile dans se monde c'est de vivre sans aucun but , c'est comme si ta vis n'avais aucun sens , aucun goût . Tu ne t'amuse pas et le pire c'est quand tu vois des fille de ton âge vivre leur vis et tu reste solitaire dans ton coin à pleurnicher , tu te dis à toi même pourquoi moi je peux pas vivre comme eu ? Pourquoi ? mon dieu je crois que je vais devenir folle , dépressif , mais aussi faut voir mes amis , c'est eu qui me laisse parler toute seul et surtout de n'importe quoi . Je décide de me lever et aller dans un endroit très précieux pour moi . Après la mort de ma mère , moi et mon père on aller souvent dans cet endroit , pour parler ou parfois juste oublié notre souffrance , une fois il m'a dit :

<<Accomplie tes rêves et accepte ta souffrance , car aucun coeur n'a jamais souffert alors qu'il était à la poursuite de ses rêves >>

À cette époque là , je lui avais répondu que je n'avais pas compris , il m'avait répondu que en grandissant je comprendrais . Arrivée à cette dernière , je respire l'air frais puis je m'assois sur le sable doré encore mouillé , je plonge mes mains et mes pieds dans cette dernière et penche ma tête vers le côté puis respire encore une fois profondément , je n'arrive pas à le croire j'ai perdu toute ma famille , je ferme mes yeux et essaye juste de profiter de cette douce musique , le bruit des vagues , des oiseaux . Pourquoi je ne suis pas un oiseau , voler être libre , je sens les rayons de soleil sur ma peau , j'ouvre mes yeux et regarde le ciel , les nuages , mes larmes se prépare pour descendre en cascade puis soudain j'entend une douce musique qui provient d'un autre cote , je décide de suivre ces douce mélodies , arriver a celle-ci je trouve un groupe d'adolescent qui s'amuser en jouant de la guitare , je reste un peu loin pour pas qu'ils me vois , j'observe les fille qui avait le sourire au lèvre qui dansait sans se soucier de leur vie , je voyait dans leur visage qu'elles était heureuse . je décide de retourner ou j'étais , restais dans cette malheureuse vie . j'avais tellement envie que mon père me sers une dernière fois dans ces bras , me sentir protéger et aimer pour une dernière fois , je voudrais le serais très fort pour qu'il reste avec moi et qu'il m'oublie pas , ce que j'aimais chez lui c'était quand il m'apprenait un truc ou m'expliquer quelque chose , je l'observer toujours, même si j'était jeune je me disais toujours que j'ai la chance d'avoir un parent comme lui , c'est très douloureux quand on a se sentiment d'être abandonnée par tout le monde , quand tu vois que les gens qui comptais le plus pour toi partir loin de toi ou tout simplement disparaître.

Je décide de rentrer mais avant ça j'observe le beau spectacle de couleur sur le ciel , ce dernier teintée de couleurs pastelles , estompées peu a peu et annonça la nuit . arriver a la gare de bus , je m'assois sur le banc puis observe les passant presser , surement ils ont trop envie d'être chez sois , mais pourtant moi , je n'es aucune envie de rentrer, le bus me fait sortir de mes penser puis monte dans celui-la , tout les regards étais braquer sur moi , il avait une drôle d'odeur , l'odeur du cuir , de la cigarette , en même temps c'est un transport en commun , qu'est ce que tu veux sentir , l'odeur des rose . C'est décider je suis bête et folle , je lâche un petit sourire suite a cette petite déclaration , je suis dépressive et on plus de sa folle je dirais bien bonjour chagrin , salut tristesse .

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 25, 2018 ⏰

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