Miami Beach

1. Miami, Le Rêve Américain

Lors des vacances d'été de 2018, Jules Verdier, jeune lycéen va partir seul à Miami, chez son oncle.
Il fit son vol à côté d'une mère et de son enfant et il arriva avec une otite et un mal de tête qu'il oublie vite à la vue de la ville et des plages.
Son oncle et sa tante vinrent le chercher avec une magnifique Ford Mustang rouge et noire, décapotable.
Il pu voir les magnifiques buildings de Miami et, arrivé au pied d'un immeuble immense en fer, béton et verre, il fut impressioné et ne se doutais pas que c'était là qu'il allait passer ses vacances.
L'appartement était grand, trois chambres, une gigantesque salle de bain avec vue sur le centre ville, une salle à manger avec une vue à 270° sur Miami. Une cuisine à l'américaine avec une vue sur l'océan.
Sa chambre comportait un grand lit double place king size et une énorme armoire.
Un bureau en bouleau avec un ordinateur et une chaise étaient placés dans un coin de la pièce.
Le lendemain, Jules se reveilla vers 12 heures (heure américaine), prit un American Breackfast  et sortit dans la ville.
Il était habillé d'un short bleu turquoise et d'une chemise blanche. Des lunettes de soleil Ray-Ban pendait à la poche de sa chemise.
Ses cheveux noir était parfaitement coiffé en arrière et tenu par du gel "extra fort".
Sa coupe fit ressortir ses magnifiques yeux bleus.
Au bout de quelques minutes, il mit ses lunettes de soleil.
Au bout d'un moment, il passa devant un magazin de chapeaux où il vit une magnifique casquette plate grise.
Il l'acheta et la mit à l'envers sur sa tête.
Il passa sur la promenade qui longe Miami Beach.
Il se crut dans un film en voyant les skaters et les filles en bikini passer à côté de lui.
Au bout d'un moment, il se posa sur la plage et regarda les surfers dompter les vagues.
Il crut rêver puis, regardant l'heure avec sa belle montre G-Shock, il vit 16 heures.
Il se leva et se dirigea vers l'appartement de son oncle. Sur le chemin, il vit un Starbucks® et s'y arrêta pour prendre un macchiato au caramel.
En entrant, par reflex, il dit bonjour.
Se rendant compte de son erreur, il se corrigea en se dirigeant vers le comptoir.
C'est là qu'il vit Marine, travailleuse pendant ses étés au Starbucks.
C'était une belle fille brune, assez grande, assez mince, le teint légèrement bronzé, les yeux noisettes, un magnifique sourire, un air à la fois timide et sociable.
Il commença à lui parler anglais mais se rendit vite compte qu'elle était elle aussi Française.