Funde

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Hallo!  Voici enfin le nouveau chapitre de Family! Je m'excuse encore pour la gêne que ma panique a provoqué au sujet de cette fic. J'espère que vous me pardonnerez. Ce chapitre est encore un chapitre spécial! Je vous dis pas plus et vous laisse découvrir par vous même! 

Bonne lecture!

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Bonjour! Je suis Mouki! Je suis un carlin et je vis avec mon maître, Thomas. Il est un humain très gentil, j'ai de la chance d'avoir un maître comme lui. Il ne me donne que de bonnes choses à manger et me donne un bain de temps en temps. J'aime les bains car mon maître met toujours un peu de bulles et un jouet que je peux machouiller autant que je veux pendant qu'il me lave! J'aime vivre avec lui car il me donne toujours de l'affection. Mais j'ai eu peur de ne plus en avoir quand il a commencé à vire avec cet autre humain, Damien. Mais au final c'était idiot d'avoir peur, je reçois toujours autant de caresses et de papouilles qu'avant, voire même plus! Damien me caresse aussi beaucoup et me cajole énormément. J'aime ça.

En plus, on fait souvent de longues promenades les dimanches. Ou les mercredi. A moins que ce soit les samedis. Je ne sais pas car ça change souvent de jour, mais ça ne me gêne pas car ça fait comme une surprise! Pendant ces promenades, Damien ou mon maître Thomas détache ma laisse et me laisse courir, sachant que je ne fuirais pas. Parfois ils me lancent une balle et je la ramène, fier de l'avoir attrapé. Pendant que je cours, je les entends rire, je sais que ma manière de marcher et courir amuse mon maître, l'ayant déjà entendu dire qu'il trouvait ça adorable. Quand je reviens vers eux ou que je m'arrête pour les attendre, je les vois se tenir la main, se regarder avec ce regard que seuls les femelles et mâles humains en parade se lancent. Je suis sûr que mon maître et Damien sont compagnons, j'espère qu'ils le resteront longtemps, mon maître n'a jamais été aussi heureux.

Depuis quelques temps, je sens que quelque chose cloche chez mon maître. Le matin, il a souvent cette odeur qu'il a quand il n'est pas bien, et je peux parfois l'entendre vomir. A chaque fois que je viens le voir, il se relève et me caresse en disant que toit va bien. Son compagnon Damien aussi s'inquiète, il n'arrête pas de lui demander si il est allé voir un médecin mais à chaque fois mon maître refuse.
Mais ça change le jour où je le vois avec quelque chose dans les mains. Je ne sais pas ce que c'est mais ça a l'air de déranger mon maître. Je sens qu'il panique et a peur, même en me frottant contre lui il ne réagit pas. C'est inquiétant que quelque chose de si petit fasse ça. Je me demande ce que c'est. Mes oreilles se dressent en en entendant quelqu'un rentrer, ce doit être Damien! Je me dirige vers l'entrée et le voit. Il me sourit et me caresse la tête en me demandant
"Où est maman?"
Je sais que, quand il prononce ce mot, ça désigne mon maître. Repoussant ma tête contre sa grande paume, je retourne pour aller dans la salle de bain, le compagnon de mon maître suivant ma trace. Je les regarde discuter un moment avant de les laisser, c'est une affaire entre compagnons après tout. Je m'installe tranquillement sur le canapé, posant ma tête sur l'un des coussins et ferme les yeux. Je suis réveillé plus tard par du bruit dans la cuisine, remarquant qu'il commençait à faire sombre dehors. Sautant du canapé, je me dirigeai vers la source du bruit pour découvrir que c'était Damien qui tient deux grosses gamelles qu'ils utilisent pour préparer la nourriture. Il remarque ma présence grâce à un petit aboiement. Me souriant, il pose les deux gamelles et se penche pour me caresser.

"J't'ai réveillé? J'suis désolé mon pépère, mais je prépare la bouffe pour Thomas qui se repose."

Il reprit son affaire et je le regarde un moment avant de me diriger vers la chambre où je sais que se trouve mon maître. Heureusement, la porte est entrouverte, les portes le sont toujours car Thomas préfère les laisser ouvertes pour que je puisse aller partout. Entrant dans la pièce, je vois un corps allongé sur le lit. Je me rapproche pour être face au dos de Thomas. J'attends un peu pour qu'il se réveille, ne le quittant pas des yeux.

FAMILIEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant