Nature dangereuse

Partie 2 : Hugo

Ca y est! Enfin! Après avoir insisté durant 2 jours, j'ai finalement l'autorisation de mes parents pour aller à cette sortie! A moi la nature ! A moi le grand air! Je me suis fait et refait la scène mille fois dans ma tête!

Je rentre dans la voiture comme un boulet de canon ! 

C'est parti ! 

Les 3 heures de voiture ne m'ont pas du tout fatigué! 

Je vais enfin troquer cette jungle de béton contre le parfum des fougères !

Une fois la fiat arrêtée, je sorti instantanément puis dis aurevoir à mes parents en leurs faisant une grand mouvement de la main tout en courant vers le chalet !

Je suis arrivé 3 ém, j'ai fais connaissance le temps que tout le monde arriva. Tout le monde a l'air super gentil!

Une fois tout le monde arrivé, nous sommes aller en foret!Observer la nature, sentir cet air pur, quel bonheur !

-Crac-

 Merde ! J'ai écrasé un escargot !

Je sens les larmes me monter, je n'ai jamais tué quoi que ce soit de moi même... Le moniteur viens me rassurer. il me dis que c'est pas très grave, que ça arrive.

Je me calme doucement et en profite pour prendre des photos de la foret, des champignons et des vers de terre que notre accompagnateur nous à déterré.

Une fois retournés au chalet, les autres ont appelé leurs parents.

Ensuite, certain ont proposé d'aller chercher du bois pour faire un feu de camp ! 

J'ai hâte!

Voyant que je ne serais pas très utiles, je me décide d'appeler mes parents pour les rassurer. La voix de ma mère semble bizarre...

 Elle m'annonce que papa est malade et qu'il est chez le médecin... 

Je sens ma gorge se nouer, je commence à sangloter et à faire les 100 pas, mais fini par taper du bout de mon pied une dalle qui dépassait.

Je fini par terre, avec mon genou blessé! 

Julien qui passait par la me demanda ce qu'il n'allait pas. Je ne lui dis ai rien dis, je n'ai pas envie d'inquiéter qui que ce soit avec mes histoires de famille!

 Il n'insista pas et me passas juste de l'arnica sur la blessure, je n'ai pas saigné, je vais surement avoir un gros bleu!

Une fois dehors je boitais un peu. 

Mais le feu était tellement impressionnant que je n'ai plus fait attention à la douleur.

Je m'assois autour du feu et discute avec un camarade... il me regarda bizarrement...D'un seul coup, un camarade se leva difficilement, il doit avoir les jambes engourdies!

Il s'appelle Maxime je crois, il est très sympas mais un peu étrange parfois.

Je le regarde en souriant.Puis il se mis a courir rapidement en trébuchants jusqu'a la lisere de la foret.Quelle envie pressante !

Ma tête commence à tourner...

L'accompagnateur, qui avait commencer à aller voir Maxime me demanda si ça allait. J'ouvre la bouche, mais rien ne viens... 

Je suffoque et vomi par terre.

Mes autres camarades semblait être dans la lune, ils parlaient mais avec une voix inaudible en souriants ...

Je réussis à me lever puis toucha l'épaule de mon voisin de gauche. Il tomba à la renverse!

On m'ordonna d'aller directement dans le chalet, je ne su de quelle direction la voix me venait , mais j'obéis et me mis à retourner dans le salon en courant.

Julien fait plusieurs aller retour pour rentrer tout mes nouveaux ami dans le salon. Il les mit sur des matelas puis prit leur tension et température, ensuite regarda son téléphone puis le ferma presque sur le moment !

Pas de réseaux !

Il me demanda de garder un œil sur eux et de fermer la porte à clés une fois qu'il serait sortit pour aller chercher des secours.

Il entra rapidement dans l'obscurité armé d'une lampe torche et d'un manteau.

La nuit passa silencieusement et tranquillement, j'entendais parfois des toussotements, mais sans plus.Il ne revint pas de la nuit...

Le matin des policier sont venu, ont tout d'abord encerclé le chalet puis une personne cria dans un microphone quelque chose que je n'ai rien compris.

J'étais juste ... rassuré. 

J'ai perdu connaissance à se moment ... j'étais juste... fatigué....

Je me suis réveillé le lendemain dans un lit d'hôpital avec mes parents à mon chevet.

Je ne sus la vérité que dans le journal du lendemain.