Effectivement, je le saisN'ayez pas peur de le dire
Voyez-vous, me la raconter
Reste ce que je fais de pire
Alors je vous prie d'excuser
Infiniment tout mon imbus.
J'ai dit être quelqu'un de parfait
En vérité, je suis mains nues...
Malheureusement, je n'ai pas d'armes
Et puis je ne suis pas si douée ;
Ne vous fiez plus qu'à ces larmes :
Finalement, serais-je pardonnée ?
Offrande en guise de repentir :
Un ou deux poèmes damnés
Sentant la brise du zéphyr.
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Médecine du coeur
PoetryDocteur ! Je souffre, mes sentiments sont piétinés. C'est si douloureux ! Est-ce une déchirure ? Docteur ! Pour cette plaie-là, fait-on des ligatures ? Il s'agit-là d'un mal que je ne peux soigner... Quand la médecine n'y peut rien, voici la poésie...