Kidnap Me !

3.M Yeah Baby !

   Je relevais les yeux vers la jeune femme devant moi.
Elle me scrutait toujours le sourire aux lèvres. Comme si la vue de celui qui pourrait devenir son futur patron ne lui fasait ni chaud ni froid. J'essayais de calmer les batements de mon coeur qui s'était  éveillé  à la vue de ce  petit bout de femme. Malgré son allure démoniaque au premier abord. Elle avait l'air aussi douce qu'un agneau.
 
- Bien Mademoiselle commençont. Mark tu peut disposer.

Mon garde du corps me lança un  long regard avant d'acquisser. J'ouvrais une fênêtre sur mon  ordinateur qui m'indiquais la plupart des informations  que je voulais sur cette chère  demoiselle.

Un  parcours scolaire exemplaire. Des notes toujours dans  l'excellence. Je jetais  un  regard surpris  à cette femme qui c'était levée pour regarder par la bais vitrée- je ne l'avais même  pas entendu se lever-. Je tombais sur une photo d'elle lors de la remise des diplomes et fut surprise de voir une jeune fille à l'allure pouponne les joues rougis par la timidité et le sourire aux lèvres. Diplomée à à peine seize ans,  son cursus universitaire était des plus impressionant trois licences en poche et une quatrieme en cours. Major de ses promo ma machoir en touchait le sol.
  Cette fille à l'ame d'une battante. Je n'ose même pas imaginer la dose de travail qu'elle a dut  fournir ! C'est impossible!

Et moi qui gallerais à obtenir la moyenne au lycée ...
 
Je me raclais la gorge en fermant  la fênetre, je n'en digererais pas plus. Aucune infraction à la loi, quelques petits boulots par-ci par-là c'était suffisant.

- Mademoiselle Ruby ! Vous pouvez vous assoire s'il vous plait ?
- Les gens sont tout petit ! C'est trop chou! Hein vous disiez ?
- Asseyez vous !
- Olala vous excitez pas hein ! Je vais m'assoir pas la peine de crier.

Je pressais fermement mes paupières, me contetant  pour ne pas faire éclater ma colère. Cette bonne femme allait avoir ma peau.
Je farfouillait dans mon bureau à la recherche du dossier que j'avais préparé.

- Bien voici les termes  et clauses du contrat qui nous unira. Enfin qui vous unira à l'entreprise !

Je vis  ses sourcils se froncer alors qu'elle regrdait avec une moi réprobatrice la centaine de feuilles qui composait le contrat.

Bah quoi fallait bien que j'exagère sur quelque chose.

Je me frottais les mains intérieurement.

- Vous lirez toutes les clauses, vous pouvez me poser des questions. Je vous conseille de commencer dès maintenant. Après nous être mis d'accord vous pourrez accepter ou refuser le contrat.
- Quoi ? Vous ne me posez pas de questions sur moi ? C'est pas comme ça qu'est sencé se passer un  entretien! Lire tout ça  non mais  je vais y passer toute ma vie !
- L'entretien se passe comme je le veux mademoiselle soyons bien d'accord. Et veuillez baisser d'un ton ! Le contrat comporte seulement les choses les plus importante  à connaitre sur ce poste. Mais si vous ne vous jugez pas assez competente pour remplir ces function, je vous en pris, la porte est derrière vous.

Les joues gonflées comme un enfant en plein caprice. Ma future employée  serrait  ces petits poings. Je me retenais de rire devant cette drôle de situation. Elle finit par se resigner à prendre le contrat en soufflant. Ma bouche frétilla d'un sourrire en coin.

Cela faisait bien une heure que je la scrutais par dessus l'écran de mon ordinateur. Répondant a certains  appels de mes associés. Elle lisais à la va vite les lignes  du contrat. Sautant la plupart des termes. Je me retenais d'éclater de rire.  Le poste en lui même ne comportait  pas de grande difficultés,le salaire conséquent. Mais avant le reconfort l'effort !

- Je dois habiter avec vous ?!
- Bien évidement ! Comment réponderiez vous à mes besoin sinon .
- Je ne pourrais pas venir tôt et rentrer tard ?
- Non.
- Mais...
- Mademoiselle les termes du contrat sont non discutable !
- Et le salaire est de combien? Ce n'est pas marqué sur votre fichu bout de papier.
- 10 000 $...
- Quoi ! Un avec un, deux, trois, quatre zéros dérrière! Et c'est femme de ménage vous êtes  sûre ?
- Laissez moi terminer ! Je disais 10 000 $ la première semaine à l'essaie. Puis 20 000$ les autre semaines . Pour un  total de 80 000 $ par mois. Et oui Mademoiselle Ruby c'est femme de ménage et rien d'autre.
- Trop cool !

  Les yeux et la bouche grands ouverts, elle  me regardait comme un enfant devant ces jouets  à noël. Cette femme me faisait sourrire plus que je ne l'avais fait de toute ma vie.

- Je commence quand ?

Je la scrutais supris par le choix qu'elle venait de faire.

- Vous êtes  sûre  de couloir de ce  poste ? Vous devriez completer votre lecture du contrat avant de prendre votre decision.
- A quoi va-t-il me servir de savoir combien de mêtres  carrés  fait la salle de bain de votre chambre?
- C'est toujours utile !
- À d'autres.
- Vous êtes  sûre de votre choix ? Il n'y aura pas de retour en arrière possible. Vous vous engagez  pour une durée de minimum 6 mois.
- Yeah Baby !

J'ouvrais grand les yeux devant cette phrase. Alors que la demoiselle en face de moi me lança un petit rire géné. Je secouais la tête resignée.  Elle me parlait comme personne et je ne faisais rien pour l'en êmpecher .Malgré son apparence de mauvaise fille, il se degageait d'elle une innocence sans égale.

Un ange dans la peau d'un demon

- Très bien. Mes hommes viendront chercher vos affaires dès ce soir. Vous laisserais votre adresse à la dame qui vous à acceuillit.

Elle acquissa les sourcils froncés. Se demandant pourquoi je voulais qu'elle me rejoignent aussi tôt. C'est un secret. Ses yeux lagons glissais innocement sur moi, alors que je sentais un long frisson me parcourir le corps et finir sa course dans un endroit des plus innaproprié. Je triffouillais dans mes tirroirs cherchant dans le bordel sans nom, le smartphone que je devais lui remettre.

- Tenez vous ne devez plus utiliser aucun autre télèphone. Un autre ordinateur vous attends chez moi. Mes employés  transfererons tout vos fichiers sur lui. Il ne faut prendre aucun risque. Vous vous présentrez demain à mon bureau pour signer le contrat de confidentialité.
- OK ! Je peux rentrer chez moi maintenant ? C'est pas que je vous aime pas, mais y en a qui doivent preparer leurs affaires pour un demenagement surprise.

Son ton enjoué en toute sirconstance m'impressionais.
- Je vous en pries.
- À ce soir Mikey.

Cette femme allait me rendre fou ...

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Je vous aimes !
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