p o e s i a e a m o r
poésie écrite sur des feuilles
poésie s'évadant de tes lèvres sucrées
poésie au coin de la rue
tes doux mots d'amour
non
plutôt, les miens, ceux que je rêve de pouvoir t'avouer
et les entendre
provenant de ta propre bouc...
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il y a une haine qui bouilli en moi. capable d'éclater à tout moment. le fait est que... je ne me permet pas de m'en prendre aux gens, contrairement à beaucoup. quand on s'en prend à moi sans aucune raison, parce que monsieur. madame est à fleur de peau, j'encaisse silencieusement. mais. pour le peu de fois où ça m'est arrivé à moi de faire des crises... personne ne l'a accepté. "t'es trop sur la defensive" "descend de tes grands chevaux, j'ai rien avoir avec ta colère"
? ? ?
bon. très bien... je me soumet donc à vos ordres. parce que je ne sais faire que ça voyons. je garde donc tout pour moi. et il y en a, des valises à porter... revenons au fait que j'encaisse silencieusement... ce ne sont pas de simples crises. non. c'est moi qui me prend tout à la gueule. la personne est à cran. alors je ne connais ni des lèvres ni des dents la raison du pourquoi elle s'en prend soudainement à moi... en prenant mes points faibles et en les retournant contre moi.
pour vous dire que... ça dure tellement longtemps que ça ne me touche plus. d'un côté je sais que la personne ne penses pas ses paroles. la colère... les mots fusent tout seuls... mais qui sait si c'est entièrement vrai ou faux ? voilà. alors ça ne me touche plus. que ce soit vrai ou pas... m'en fou. j'ai puiser toute ma peine dans les pleurs d'une nuit où c'est allé trop loin. depuis... c'est comme si mon esprit s'était entièrement protégé et n'est plus touché.
mais il y a peu... je crois qu'une flèche m'a touchée. Certainement à l'épaule, car je m'en suis rapidement remise. Ça n'a pas pris de l'ampleur. Mais je peux toujours ressentir la haine et la tristesse que j'ai pu ressentir quand l'on a utilisé certainement l'un de mes plus grands points faibles. s'en est suivi d'une critique sur ma personnalité ou mon physique, je ne sais pas, je m'en fou de cette critique : celle là ne m'as pas touché.
parlons sentiments... parlons du possible, de l'impossible...
un vieux sujet abordé il y a quelques semaines de ça. c'était pas mauvais comme ambiance. on en a plus reparlé.
jusqu'à
tu l'a reprit. et tu t'es permis.e de le détruire en mille morceaux dans la paume de ta main. "non" aussi violent que le séisme qui a frappé le Japon, en 2011. ya ta phrase qui se répétait en écho dans ma tête pendant la journée qui suivit. t'es allé.e trop loin. mais évidemment. j'ai pas rétorquer. merde. je suis conne aussi. bref. je suis désolée. mais j'espère... qu'un jour ça se retournera contre toi... et que tu comprendras...
(et après c'est moi la fautive. si je fais la gueule, si je décide d'être seule, de prendre mes distances un instant, bah ça suscite encore ta haine. je peux pas exprimer mes émotions d'humaine tranquillement. je me fais pas marcher dessus, je me fais écrasée littéralement.)
on dirait que... t'es tellement habitué.e à tout me faire bouffer, que quand c'est moi qui le fait, là t'acceptes plus. parce que t'es pas habitué. parce que tu sais que mes mots sont bien plus honnêtes.
