Une seconde chance 《 Im Jaebum 》

Partie 2: Une erreur ?

Moi : Malia, qu'est-ce-que tu racontes ?

Malia : Tu dois sûrement croire que je suis folle, mais j'en ai envie, alors s'il te plait, fais-moi l'amour. Je sais que toi aussi tu en a envie, Wonho.

Sa demande me fit l'effet d'une bombe. Elle m'avait clairement dit que je ne l'intéressais pas, et aujourd'hui, elle me demande de coucher avec elle. Il est vrai que j'en avais envie, mais au fond de moi, je savais très bien qu'elle faisait ça pour se consoler de JB.

Moi : Je ne peux pas Malia...

Malia : Pourquoi ? Tu en a envie, ne me dis pas le contraire. Alors pourquoi tu refuses ?

Moi : Parce que je sais très bien pourquoi tu fais ça, et je sais que tu le regretteras ensuite.

Je n'eu pas le temps d'ajouter quoique ce soit qu'elle avait retiré sa nuisette, laissant sa poitrine face à moi. Je dus lutter comme un fou pour ne pas fixer ses seins, fièrement dressés vers moi.

Moi : Malia, je t'en prie, arrête...

Elle s'approcha de moi à chaque seconde. Elle était de plus en plus près, et je pouvais sentir sa respiration sur mon visage.

Elle ne parla pas, elle se contenta de prendre ma main et de la poser sur un de ses seins. Je voulus me retirer, mais elle me maintenait. Je ne savais pas quoi faire. La femme que j'aimais était là, devant moi, nu, et moi j'avais ma main posée sur sa poitrine. Quel homme ne résisterait pas ?

Moi : Malia, s'il te plait, je te le redemande, arrête et rhabille-toi, s'il te plait.

Malia : Non.

Je levai délicatement la tête pour plonger mes yeux dans les siens. S'en était trop.

Moi : Et puis merde.

Je l'attrapai par les hanches et la fit se hisser sur mes genoux. Je passai une main derrière sa nuque pour l'attirer à moi, et plaqua violemment mes lèvres contre les siennes. Elle poussa un petit cri de surprise lorsque nos lèvres se heurtaient, ce qui m'excita.

Mes mains parcourraient son corps tout entier, j'avais rêvé de ce moment tellement de fois. Je descendis petit à petit mes baisers vers son cou, en n'oubliant pas de laisser quelques marques au passage. Malia bascula la tête en arrière pour me faciliter l'accès à son cou. Elle était tellement délicieuse, j'aurai pu continuer comme ça pendant des heures.

Je me résignai et la porta. Elle enroula instinctivement ses jambes autour de ma taille, en veillant à bien s'accrocher à mon cou avec ses bras. Je la déposai sur la table de la salle à manger et la fit s'allonger. Je lui retirai son short et le jeta à travers la pièce.

Malia : Wonho...

Moi : Chut, détend toi, tu es magnifique, ne te cache pas Malia.

Je lui fis quelques baisers sur le ventre avant de descendre ma bouche vers son intimité. Je ne savais pas si je devais le faire, si elle le voulait aussi. Je relevai la tête vers elle et rencontra son regard. J'attendis quelques secondes, comme pour lui demander la permission de continuer, ce qu'elle fit en hochant timidement la tête.

Malia : Oh ! Wonho... Hmm...

Après lui avoir procuré du plaisir, je me relevai. Je ne l'avais pas laissé avoir un orgasme, ce qui la frustra.

Elle se rassit sur le bord de la table et m'attira contre elle. Je l'embrassai avec fougue, comme si ma vie en dépendait. Malia commença à déboutonner mon pantalon, puis me le baissa. Elle fit de même avec mon boxer et sa main rencontra mon sexe. Un frisson parcourut tout mon corps. Elle baissa sa tête, je savais très bien ce qu'elle s'apprêtait à faire, et il en était hors de question, tout le plaisir était pour elle, en tout cas pour aujourd'hui.

Moi : Non, Malia.

Malia : Wonho... Emmène-moi dans la chambre, je t'en prie.

Je ne me fis pas prier et la porta jusque cette dernière. Une fois la porte ouverte et le lit en ligne de mire, je jetai Malia dedans, d'une façon tellement sexy. Son corps tout entier était un appel au pêché, et elle le savait bien car elle joua avec celui-ci pour m'exciter.

Je me ruai sur elle et la parsema de baiser. Je m'attaquai ensuite à sa poitrine, lui faisant décoller le bassin.

Malia : Enh, Wonho...

Moi : Que veux-tu Malia ?

Malia : Hmmm...

Moi : Dis le Malia.

Malia : Toi, je te veux toi, maintenant.

Je n'attendis pas une seconde de plus et la pénétra violemment, lui arrachant un cri de douleur mêlé à du plaisir. Je ne bougeai pas immédiatement, la laissant se familiariser avec mon sexe. C'est elle qui entama la chose en remuant le bassin, m'incitant à bouger. Je fis d'abord quelque vas et viens léger, pour ne pas la brutaliser, mais j'en voulais plus, elle en voulait plus.

Malia : Encore, plus vite...

Moi : Hmmm... Princesse...

J'accélérai mes coups de reins, ce qui la fit crier.

Moi : Vas-y Malia, joui pour moi.

Malia : Wonho...

Quelques coups de bassin plus tard, Malia jouit, et je la suivis de près. J'étais totalement à bout de souffle, et elle aussi. Je me retirai et m'allongea à ses côtés.

Moi : Tu vas bien ?

Je ne reçus aucune réponse, elle s'était déjà endormie. Pas très résistante cette petite, mais avec de l'expérience, je lui ferai en avoir.

Je pris alors la couverture et la couvrit. Je déposai un doux baiser sur son front, m'allongea, passa un bras autour d'elle, et m'endormi à mon tour.