Jigsaw 9 nouvelle génération

Chapitre 3: Laure

Je vais dans ma cuisine pour me préparer à manger et ravitailler mon chat, je retourne ensuite avec mon assiette dans la pièce illuminer des 5 écrans, je pose mon plat sur le bureau afin de regarder à nouveau les fichiers que j'ai former, des personnes que j'ai enfermé. Les documents sont composé en majorité par des photos des personnes et des informations, personnelles ou non, mais regarder ces déchets me conforte dans le bienfait de mon action. Je repose les papier sur le clavier devant moi et mon chat saute sur mes genoux, je l'ai appeler Justin, je l'ai recueilli  après l'avoir vu à moitié conscient, au bord de la mort et en sang dans une rue près de chez moi, ses anciens propriétaires l'avaient probablement maltraité et battus. Ce fus la goutte d'eau, ou de sang, qui fais déborder le vase, j'ai regarder autours de moi à ce moment là, dans la rue j'ai vus toutes ces horreurs qui ce passe au quotidien, les vieux pervers des trains, les drogués de cités, la corruption et bien d'autres. Il fallait un vrai juge impartial car les victimes sont la paix, l'amour et la vie et l'accusées est le monde, la population. J'ai pris ce pauvre petit chat avec moi, je l'ai soigné et maintenant il est le seul être vivant à encore voir mon sourire et mes yeux remplis d'espoirs, ce chat qui fus maltraité est bien plus humain que les Hommes eux-mêmes. Il m'a reconnus une fois hors de danger, il est rester et me témoigne sa gratitude en me tenant compagnie, je lui parle souvent mais même si il ne comprend pas tout de mes mots, il comprend mon expérience et me montre sa gratitude et je lui donne un maximum d'amour, ce dont il n'as pas eu le droit dans sa vie, dans ces dernières années. J e relève la tête tout en continuant de câliner le pelage soyeux de ce petit trésor, la fille dans le moniteur commence à bouger. Sa pièce est relier à un autre, dans cette autre salle, des barreau séparent deux côté, d'un il y aura Laure et de l'autre ces amies enfin ces complices, car il y a quelques années au collège, elle était là. Mais elle n'était pas las seule, j'y était aussi, je le connais d'une certaines façon, elle avait pour habitude de martyriser et maltraiter ces jeunes camarades dont je faisais partie mais ce n'était pas moi qui ait le plus souffert, c'était leur souffre douleur favori, je ne le connaissais pas trop mais il était plus vieux que moi d'un an et elle l'a tué. Un jours j'ai entendu des cris venant d'un escalier cacher et peu fréquenter dans le collège, ses deux meilleurs amis étaient entrain  de le battre sous ses ordre à elle. Les coup pleuvaient, j' entendais parfois des bruis d'os qui craque et du sang qui tombe autant que les coups. Lorsque je suis arriver devant il était trop tard, Laure avait la mains dans son dos à lui, il tombais, le temps s'emblais ralentis, j'ai vu mon premier meurtre mais je n'éprouvais rien, je ne ressentais rien et elle riait à gorge déployer, il a dégringoler dans les escalier puis les pompier et les secours sont arriver alors que je m'étais éclipser. Au final ils ont conclus à un accident, rien de plus mais aujourd'hui qui de nous deux rira, elle va devoir choisir sa vie, celle de ces amis ou les trois. Elle ouvre les yeux doucement, ce demandant probablement où elle est et comment elle est arriver ici pendent que mon regard vide et froid se tourne vers l'horloge, il est 20h, sa me soulage, cela ne devrai pas prendre trop de temps, 1/2h va suffire, car demain j'ai cours moi, heureusement qu'aujourd'hui nous somme un lundi férié. Elle se lève et regarde autours d'elle à la recherche d'une issue en vain, seul le murs de séparation coulissant l'interpelle, il doit sonner creux. Elle essaye de le frapper de plus en plus fort, lamentable et inutile action, elle ne réussit qu'à se faire saigné, le sang coule le long de ces avants bras, elle ne l'as pas remarquer car elle est en panique. Il faut enfin que j'intervienne, j'appuie donc une nouvelle fois sur ce bouton, le modificateur à la mains et je recommence mon numéro: " Bonjours Laure, tu est ici pour jouer à un jeu, il faut si vous y arriver, survivre. Les règles de ce jeu sont simple, derrière ce mur il y a vos amis, très chères complice de votre assassinat. Il va falloir faire un choix, les murs vont tenter de vous écraser tout les trois mais il y a une solution, récupérer la clef de vos libérations dans un bocal d'acide. Seul conseille: attention à vos pas. " Sa y est c'est à elle de jouer. J'ai placé des pièges autours du bocal soudé mais sa plus dur épreuve sera peut-être de faire face à ces deux amis. Elle semble en panique, je crois qu'elle hurle de la laisser sortir. Franchement si je l'ai placé là c'est par l'y en faire sortir comme de rien, quelle débilitée je ne suis pas si bête franchement. Je me met à regarder l'écrans avec dégoût devant tant de stupidité, quelle idiote. Le murs se met à coulisser vers le bas, le compte à rebours de 30 minutes se déclenche, je peut désormais voir la tête paniquer des deux amis, oh ils pleurent les pauvres petits, dérisoire. En voyant Laure arriver par la gauche, ils firent une tête d'espoir, dégoutant, quel supplice. Elle tourne la tête et s'approche des barreaux fermer où les trous pour voir sont plutôt petits, ils ont l'aire de communiquer, quelles belles retrouvailles, rha c'est écœurant mais le bip sonore du minuteur annonçant 20min les ramenas à la réalité et en plus les murs derrière les 3 jeunes se rapproche de 5cm comme une menace. Ils se regardent avec panique et moi je sourire doucement devant ce spectacle, allez les enfants vous allez mourir ici dans 20min. Laure regarda ces amis en panique, ils semble en désaccord, que j'aime les règlement de compte. La fille supplie son amie et le garçon lui cri dessus mais elle pleure, oh la pauvre petite ne veut pas ruiné sa manucure en plongeant une mains dans de l'acide très concentré, je me dis sarcastiquement. Dérisoire. Elle se rapproche  du récipient que j'ai souder au socle, seul le mur pourrait le décrocher mais elle veut essaye, que c'est bête. Elle avance  les yeux en pleure de terreur, elle semble vraiment vouloir le faire pour ces amis mais elle n'as pas tenus compte de mon avertissement, elle marche sur une des trappes piéger d'où en sortent de piques qui rentre dans son pied et sa jambe sur 20cm de hauteurs, elle hurle de douleurs, elle pleure, elle doute, voilà une partie du prix à payer pour la mort que vous avez provoqué. Le sang s'écoule abondamment sur le sol, le piège en est recouverts et Laure ne peut plus poser son pied ensanglanté, elle boite. Il ne reste plus que 12min. Elle ne semble pas pouvoir avancer mais les murs bouge encore une fois il va bientôt le écraser. Laure n'as pas l'aire de vouloir avancer et ces amis sont terroriser, le gars lui crie encore dessus de les sauver mais elle appui ces mains sur ces oreilles elle ne semble pas vouloir l'entendre hurler. Finalement au bout de 2min elle se décide à allez chercher la clef qui déverrouillera la porte commune aux deux parties, elle le fais au moins pour sa meilleur amie. Elle regarde avec peur le récipient, ce pauvre petit récipient, elle n'avais pas peur de pousser un élève dans les escaliers pourtant et sa, sa a le don de m'irrité, ces personnes qui se croient tout permis. Elle commence en trempant un doigt comme pour tester mais je vois son visage se tordre de douleur, la brûlure est infernal c'est pourquoi elle retire se qui reste de son doigt, de la chaire à nu et son os éroder, elle regarde ces amis avec les larmes aux yeux et un sourire d'excuse, cette garce n'as rien de courageux, le jeu est fini, elle ne reviendra pas sur sa lâcheté, je les connais  les personnes comme ça, elles se prennent pour des reines mais ne sont que des bouffonnes. Je pense être un peu comme leur dieu, ils prient presque pour que j'ai pitiés d'eux et j'ai le droit de vie ou de mort sur ces ignorants. Plus que 60s, le mur avance vraiment cette fois-ci, sans s'arrêter, ils vont mourir tant pis. Ils ont beau chercher une issue, ils n'ont nul part où allez. 30s, Laure est coucher au sol, elle rampe vers ces amis, le gars à arrêter de lui crier dessus, il s'en veut pour sa mais tuer un collégien lui importe peu, mon regard sur l'écran se fais donc encore plus froid, ils tentent en vains de stopper le mur, ils essayent de grimper mais Laura commence déjà à avoir les os qui se brise coincer au sol, le sang gicle de partout, se répand sur le sol, un carnage, même Justin mon petit chat regarde cette viande avec faim mais aussi de dégoût, il es crache une boulle de poil parterre, je nettoierais après. Leurs bras, en large pour retenir le mur, craquent, l'os se brise et ressort du bras par en dessous à travers la peau et les muscles, le sang s'échappe des entailles causer par la fracture de leurs os et finalement les murs sur eux, leurs crânes éclatent sous la pression, le peu de cerveau qu'ils ai eu se fais finalement écraser entre ces murs. Il ne reste que de la charpie des trois corps. Ici aussi le jeu est fini, je vais pouvoir me coucher tranquillement.