Chapitre 4: Jean

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Aujourd'hui j'ai cours pas le choix, quel masque vais-je porter, l'humoriste, la joyeuse ou la blasée, je verrai bien là-bas. Journée banal, mes 'amis' discutent, je les entend mais je ne les écoutes pas ou que par morceau pour ne pas perdre le fils. Les heures interminables de cours passent si lentement, les paroles de mes professeurs me donnent mal à la tête. Mon seul moment de tranquillité c'est le midi, poser sous un arbre ronger par la vieillesse, ma musique dans les oreilles, je me met à réfléchir vat-elle le tuer où le fera-t-il lui même, à cette réflexion un sourire se dessine sur mon visage que personne ne remarque. Je fini à 15h aujourd'hui, c'est bientôt la fin de l'année, je suis partis de chez mes parents à mes 18ans et suis réfugier dans l'une des maison de mes grands parents. La dernière sonnerie retentis pour moi comme un soulagement, je prend ma voiture et vais dans leur tombeau, la 'zone'. Comme la veille je nettoie les restes de bouts de chaire puis je vais les jeter dans la faille. J'ai emmener un encas pour Anaïs non pas par sympathie simplement qu'elle soit en vie pour l'ultime épreuve. Je pose son plat sur une plateforme que je fais coulisser, la pièce est insonorisé je ne peut pas entendre si elle me remercie ou si elle veut me tuer lais je m'en fiche. Il ne me reste plus que lui es sélection, cet être est le diable, il n'as jamais rien fais de bon. Je vais dans une salle de bain, je souri lorsque je vois mon masque et ma cape. Dans le masque il y a un transformateur de voix, aujourd'hui je suis sur le terrain pour m'occuper personnellement de lui. Cet homme, en apparence si banal, bon collègue de bureau, aimé de tous mais ce n'est que la face visible de cet iceberg au cœur de glace. Car chaque soir lorsqu'il rentrait c'était le même rituel, il lui attrapait le bras, la tirais vers lui et la poussait sur le sol, à genoux, il se servait d'elle comme d'un pose pied, il sortait une de ces cigarette, l'allumais et de temps en temps lui écrasait sur la peau, il maltraitait sa fille, ma cousine et elle me racontais à chaque fois. Sa mère regardait la scène avec effroi car après c'était elle qui passait à tabas sous ces coup violent. Pas un jour il ne s'arrêtait mais un jour elle c'est effondrer ne tenant plus à cause de la fatigue, ce jour là il la frappa plus que d'habitude, ces bras bleu de la veille était violet/noir, même lorsqu'elle ne respirait plus il continua à lui donner des coup de pied dans son corps immobile, son visage était complètement déformer, il n'avait plus rien d'humain (NdA: Elephant-man XD), elle n'avait que 10 ans et le diable avait ôté la vie d'un ange. Aujourd'hui c'est moi l'archange vengeur et il devra payer son tribut. J'entre dans la pièce avec dégoût, il est tellement banal qu'il ne mérite même pas ma pitié. Je tourne le loquet de la porte et je me retrouve face à lui, il est attacher en hauteur par le coup avec des barbelé, il tiens sur des plaques de fer pour qu'il vive jusqu'à cet instant. Ces pied son posé sur une trappe qui le lâchera dans le vide si elle le décide. De chaque côté de lui il y a une machine de torsion pour le choix qu'il fera. Je retire ce qui calle ces bras pour que le métal s'enfonce dans son cou et le réveille. Cela à marché, les pics se sont planté dans son cou ce qui le réveille en sursaut avec du sang dégoulinant le long de cou. Il regarde autours de lui en cherchant des réponses et lorsqu'il me vois, la stupeur laisse place à la peur, tut le monde connais le tueur au puzzle, même si John est mort il y aura toujours quelqu'un pour le faire vivre. Il me demande ce que je veux et je vais tous de suite lui répondre pensais-je diaboliquement pendant qu'un sourire se forme sous mon masque: " Bonjour Jean, nous allons jouer à un petit jeu pour ne pas mourir, et atteindre le but de ce jeu une personne va déterminer ton sort mais patiente quelques minutes je reviens pour t'expliquer les règles. " Le faire attendre comme cela est tellement jouissif, j'en souris. Je vais dans une autre pièce, une femme attend, les poings lié, son sors. Je l'ai nourris, elle est juste attaché par précaution car elle aussi est une victime après tout, bien évidement c'est sa femme. Je l'emmène avec moi dans la salle à côté où elle ouvre de grands yeux en voyant son mari puis elle demande des explications. " Bonjour madame, nous allons jouer à un jeu, le but pour votre mari est de survivre. Votre rôle est une première étape, vous allez choisir si il doit mourir ou si il doit vivre, votre réponse ne vous portera pas préjudice. Vous êtes de ces femme battu qui reste avec leur bourreau..." Elle me coupe la parole et je déteste sa, de tout façon elle va souffrir moralement puisque qu'elle n'as pas arrêter ou même quitter son mari avant qu'il soit trop tard. Je reprend " Et qui ne peuvent avouer la vérité même aux policiers. C'est pour cela que Jean ici présent à tué votre enfant. Réfléchissez avant de dire qu'il doit vivre, souvenez vous de la douleur de votre fille et de ces yeux implorant votre aide avant sa mort. Je veux une réponse dans 5min. " Ses jambes ne tiennent plus, elle s'effondre en larme sur le sol. Jean essaye de se pencher pour lui dire des mots doux dissonants, complètements faux mais les barbelés l'en empêche ce qui appui un peu plus sur ces vaisseaux sanguins centraux et principaux ce qui fais redoubler le sang. Il tente de la convaincre que je suis folle mais elle n'écoute pas, le temps imparti est écouler. "Quel est donc son sort ?" Elle me répond qu'elle veut qu'il vive pour finalement être juger et qu'elle irai porter plainte mais je la croyais pas mais c'est son choix. Il soupira de soulagement pensant que c'est fini mais ce n'est que le début, comme une introduction. Je la raccompagne dans l'autre salle, elle me tourne le dos et j'en profite pour lui planter une seringue de somnifère dans le dos afin de la ramener plus tard chez elle. Je retourne avec se gros porc qui fière de lui, un sourire en coin me dit que c'est la fin du jeu mais je lui répond: " Pas tout à fais, désormais si vous voulez vivre il faut que je sois sur que vous ne recommencerez pas et pour cela il faut placer vos mains dans les orifices ou vous mourrez de faim. Cela fais 3j que vous êtes ici, vous avez la gorge sèche et la faim qui vous tiraille. Si vous placez vos mains elles vous serons retiré mais vous vivrez. Dans l'autre cas si vous n'avez pas le courage c'est une mort par longue agonie, à vous de choisir c'est votre partie du jeu qui commence. Il est énerver et tant pis pour lui, il me narguait en me disant que sa pute de femme est trop sympathique avec lui et d'autres immondices mais je m'en fous royalement car se sera moi la dernière à rien. Je vais me placer dans un espèce de petit centre de contrôle cacher pour lui par une vitre teinté qu'il ne peut pas remarquer. Il tente de ce débattre, il crie dans tout les sens mais je ne l'entend plus, quel soulagement pour mes oreilles si sensibles. Je me déplace jusqu'à un levier qui tire le barbelé un peu plus en arrière. La bonne odeur du bois de mon masque se mêle au sang provenant de la pièce d'a côté mais aussi des autres salles alentour, quel soulagement. Il semble réfléchir avec sa petite tête, le fera-t-il ou pas ? Après-tout il ne sais pas ce qui va exactement se passer s'il insert ces mains, il sais juste qu'il va les perdre. Pourquoi faire dans la dentelle quand on peut faire souffrir. Il approche tout doucement ces poignet de leur prison, rien ne se passe au premier abords, c'est normal le système de détection met la machine en marche. Sans le voir venir sa paume se fais sangler très fortement et ces mains ce referme comme machinalement. Un sourire se dessine sur mon visage, j'appui sur un énième bouton et le mécanisme s'enclenche, impossible de faire machine arrière. La partie de la paume de la main se met doucement à tourner pendant que son poignet est bloquer et lui coup légèrement la circulation du sang, de plus en plus et rapidement il se met a pousser des cris de douleur, je peux enfin voir la peur dans ces yeux, cette lueur si brillante de désespoir. Le mécanisme continu de tourner, sa peau est à la limite du déchirement puis elle se déchire par endroit, le sang gicle et coule sur la machine et sur le sol. La douleur le rend presque humain. Ses bras tournent encore je peux presque entendre de là où je suis ses os craquer, se tordre en se brisant avec la force de la machine jusqu'à ce qu'il n'y ai plus rien  entre sa mains et son bras. Il regarde horrifier ses avants bras déchiré et son sang couler toujours plus. Il est presque sur le points de mourir mais il a réussi donc il doit vivre jusqu'à la prochaine épreuve c'est pourquoi un sangle viens stopper l'hémorragie en faisant office de garrot. Je quitte ma salle de spectacle par un nouvelle porte pour me retrouver dans une deuxième salle de bain où je retire ma cape noir et mon masque, demain j'ai toute l'après midi pour un nouveau jeu, se sera leur fin ou leur porte de salut.

Jigsaw 9 nouvelle générationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant