«MOUTARDE»

9 3 0
                                    

Nous sommes le 24 février 1916, le bataillon 7 de l'unité 14 se trouvent au première ligne dans les tranchées de Verdun. Le Major Férdinand TOMSON  était dans les premières lignes lorsqu'il découvrit que les tranchées adverse était menée par son  beau-frère. Le Major paniquer rédige une missive en toute vitesse . Des balles perdue viennent perforé la lettre , un angle s'enflamme à cause d'une cigarette qui traînait là. Dans sa lettre il explique clairement à son colonel qu'il ne pouvait combattre les troupes ennemis car un membre de sa famille y était. Une fois sa lettre finis il l'a confia au postier de son régiment se trouvent au poste de télécommunications à l'autre bout de la tranchée . Il a dû traversé des marres de boue lui arrivant à mi-mollet , ses mouvements sont lent , il perd souvent l'équilibre . Les bourrasques de vent froid , s'engouffre dans son manteau . Il passe à travers les différents tubes du long boyaux . Il rencontre ses hommes , baïonnette à la main , casque sur la tête, cigarette à la bouche . Certains on trouvé des caisses et joue au carte , attendant la prochaine offensive. Férdinand arrive au poste qu'il cherchait et donne sa lettre à un jeune homme , à la carrure athlétique et à la sacoche de messager . Il insiste longuement sur le caractère urgent de sa lettre. Après avoir donné la missive au jeune homme en lui ayant précisé son destinataire. Sur ce la Major Férdinand repart vers ses troupes , sa silhouette noir tangue au grès des bourrasques.

Le jeune Guillaume d'Orléans , salue de la main ses collègues , remet son casque à bord plat sur son crâne , il fait demi-tour et s'en va . Il cour dans la boue , celle-ci s'infiltre dans ses bottes en cuir souple et vient détrempée ses chaussettes. Sa sacoche ballotte contre sa hanche au gré de sa course . Il dépasse trois boyaux , les tubes dans lequel il avance son de vrai  labyrinthe . Souvent il tombe sur un cul-de-sac , obligé de faire demi-tour , il s'embourbe . Bloqué à mi-cuisse dans une flaque à laquelle il n'a pas prêter attention . Il ce débat depuis , ce qui lui semble deux heures , alors que cela ne fait que dix minutes. La boue ne cède pas contre ses assauts. Les bourrasques de vent vienne , accompagné de flocons de neige . Un sifflement aiguë lui provient au loin mais trop occupé par ses jambes il n'y prête pas attention . Soudain , un tube plus bas , un obus vient s'écraser sur les planches de passage . Des débris de bois volent de part et d'autre du tube . Les oreilles de Guillaume siffle furieusement , les débris de l'explosion l'atteignent . Le jeune homme ce couvre le visage comme il peut . Une soudaine monté d'adrénaline fait pulsé son sang violemment. La peur remplacer par l'instinct de survie , il ce dégage violemment de ce bourbier et cour . Les cris d'agonie et de terreur fendent l'air , à travers les bourrasques , les relents de l'explosion ainsi que de chaire grillé monte à ses narines. Il cour , saute au-dessus de cadavres déchiquetés, ventre ouvert , cervelle éparpillé . La vue est horrible , Guillaume ce retient de toutes ses forces pour ne pas rendre son maigre repas . Il cour toujours , croisant les brancardier , il sait qu'il est proche du site de commandement.

Il boite , sa jambe gauche est traversé de quasiment , toute part , par des morceaux de bois . Guillaume puise dans ses dernières forces pour allé jusqu'au bureau commandement. Le jeune homme passe la porte , il est presque entièrement recouvert de boue , du sang sur le visage , les épaules recouverte de flocons de neige. Il cherche le colonel des yeux, celui-ci est , trois bureaux plus loin , il hurle sur un sous-officier . Bizarrement le colonel à un accent très prononcé alors qu'il l'insulte l'incapable . Pourquoi cela rappelle à Guillaume la voie du Major Tomson ? Guillaume s'approche du colonel furrybonde  et lui tend la précieuse lettre couverte de boue , froissé ..... Le colonel ce l'accapare tout en présentant une chaise au messager. Ce même homme , le colonel Fränze VON KEINST  , appel des infirmiers pour qu'ils s'occupent du fils d'Orléans . Au même instant ou le colonel commence sa lecture , une voie qui parvient des boyaux hurle

«MOUTARDE»













——————————————————
Bonjour tout le monde voilà une petite nouvelle que j'ai faite avec  GegeLeTueur . Ce petit pros du gaming à quelques idées en tête et on c'est amusée à écrire tout ça . Je vous laisse mes loulous .
Con et Fous , j'vous aime !!!!

La folie.

La folie

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.







short storyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant